Tiens un truc dans un coin de mon tiroir qui s'appelle GTS .
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Tiens un truc dans un coin de mon tiroir qui s'appelle GTS .
Puisque j'ai fais l'erreur d'en parler sur l'horloge parlante, je vais ressortir GTS de son vieux tiroir poussiéreux ... *enlève toute la poussière*
Erf koff *tousse*
Hem ... donc ...
Disons-le tout de suite, je vais le réécrire toute seule donc .... laissez moi le temps XD
GTS sera sectionné en trois parties : GTS : le lycée, GTS : Repas de famille et GTS:La psychanalyse (avec changement de significations des intitiales pour chaque épisode mais faut encore que j'y réfléchisse ) .... plus un épisode bonus : La révélation finale XD
Bon, je n'ai remastérisé que l'intro, le reste viendra ... quand il viendra d'une inspiration divagative en écoutant OWA piano .
Bonne lecture.
“Aucune fanfiction n’avait atteint de degré de folie aussi dangereux pour la santé mentale”
Le Figaro
“Jamais le OOC n’avait atteint ses limites”
Marie-Claire
“J’ai faim”
L’auteur
Séphy-Roshou Hojo dit SR :
Oooohhh comme elle est grosse !
Séphiroth dit Séph, Séphy, Séphy-chan, Dieu etc ... :
Qu’ai-je fais pour arriver là-dedans ?
Kuja ou le pevers taré yaoiste qui pense rarement :
Hmmm c’est que tu as une jolie baguette dis moi ...
Rochel ou le second perver taré yaoïste mais qui pense lui :
Aimez moi, je suis si beau ... aimez moi ou je vous réduis en charpie !
Furioso306 dit Fury dit baka hentaï à la chantilly double boules vanille et banana crème cerise .... hm :
Ah non je vais encore m’en prendre plein la poire !
It was once, it is very a long time , theres is a little house in a prairie …
Sarah : Oooh maman une étoile filante dans le ciel !
La mère donc j’ai oublié le putain de nom : Quoi en plein jour ?
Météore avec un ruban rose et un panneau « Bon baisers » : Estuan interius, ira vehementi, la la la la la, la la la la la, Sephiroth ! *chantonne*
Séphiroth était matinal comme à son habitude : à peine 9h qu’il sirotait son thé – sans sucre – tout en lisant le journal de la SR.Inc, après avoir envoyé un météore dans une galaxie quelconque …
Tandis qu’il surveillait du coin de l’œil les deux dépravés yaoïstes qui se faisaient honteusement du pied sous la table tout en se lançant des regards plus que suspects, il pensa (oui il pense) :
Séphiroth : « Ils font ça juste sous mon nez pff … *jaloux* et en plus ces abrutis du câble ont viré ma série pour mettre cette foutue maison dans la lande …. Pfff ... bande de tarl … »
Rochel : Bien dormi Séphiroth ? Lui demanda-t-il tout innocent qui fit tomber sa tartine beurré pile sur la baguette de Kuja.
(Qui a hurlé bigu ? Si si je l’ai entendu ...)
Séph parce que c’est plus court et que mon petit doigt à la flemme d’aller au Y : Aussi bien que l’on peut avec deux pervers qui imitent un accouplement d’orang-outan en rut, répondit l’interpellé d’une voix où perçait le sarcasme, ne levant même pas les yeux de son journal.
Kuja se sentant visé avec insistance par la remarque de l’argenté soi-disant dieu qui s’est fait battre par une grenouille fausse blonde à coupe de chocobo, demanda :
Kuja : Vas-y dis nous tout, t’as tes règles pour que tu sois te si mauvaise humeur ?
Rochel : Ca change pas beaucoup de d’habitude tu sais …, dit-il en beurrant la baguette de son amant.
L’espace d’un instant, Séphiroth sembla se demander si cela valait la peine de rembarder les deux pervers qui pensaient seulement à étaler le plus de confiture sur leurs baguettes
(mais non y a pas de bigu, c’est le ptit déj ….).
Seulement un instant car il soupira et monsieur perruque argentée avec ses deux antennes paraboliques intégrées faisant office de mèches, saisit lentement sa tasse de thé qui trembla légèrement – seulement 8 sur l’échelle de Richter – et dit d’un air grave :
Séph : Je sens très mal cette journée voilà tout …
Rochel : Mais tu les sens toutes mal, répliqua-t-il agacé.
Séph : Oui mais cette fois c’est différent, dit-il d’un ton polaire, avec un accent de piano lugubre en fond sonore, tel un prophète apocalyptique tandis que la température de la pièce passait à – 50° gelant le thé alors que les volets claquaient violemment, que les vitres se fissuraient dans un craquement sinistre, qu’un chat noir passait en courant dans la pièce en dessous une échelle tout en la faisant tomber qui dans sa chute fracassa un miroir qui éclata en sept morceaux juste quand un éclair éblouissait la cuisine au moment où une créature de cauchemar entrait dans la pièce.
- Bonjour tout le monde, fit une voix sensuelle à réveiller l’érectomètre du plus homo des homos.
Séph : Je savais que cette journée allait partir en couille, dit-il en regardant de la tête au pied sa fille SR vêtue en tout et pour tout d’une jupe plissée façon écolière japonaise supra courte, d’un chemisier à peine boutonné et de bottes. Le tour en cuir noir – sauf le chemisier blanc.
Après un instant de silence, Séphiroth prit le ton calme et patient de quelqu’un qui aurait a expliqué à un enfant en bas âge souffrant d’hyperémotivité que un plus un égale deux :
Séph : Tu ne sors pas et je ne veux d’ailleurs pas savoir où tu voulais sortir ainsi vêtue.
SR : Mais je vais au lycée !
Les trois pères de l’argentée se demandèrent pourquoi d’un coup ils avaient soudainement une superbe vue sur le micro string de SR et ô dieux qu’est-ce que c’est rafraîchissant un carrelage froid pendant une bouffée de chaleur … hem.
SR : … ça vous prend souvent de tomber à la renverse en me voyant ? Je sais que je fais de l’effet mais à ce point … *sourire de succube*
Rochel : Maismaismaispourquoiveux-tualleraulycéealorsque … que … queeuuu, se demanda-t-il perplexe et étalé sur le carrelage sans finir sa phrase.
Kuja : Bah si elle veut y aller elle fait ce qu’elle ….
Kuja jugea que pour sa survie personnelle, il serait préférable de s’abstenir de terminer sa phrase devant le regard meurtrier qui lui lançait un certain argenté à la longue épée et se beurra une tartine frénétiquement.
Rochel : Mais pour quoi faire ? Questionna l’ange à trois ailes toujours sur le carrelage et intrigué par un Kuja se beurrant les poignets sans s’en rendre compte.
SR : C’est pour complémen ... Complé… compli … Achever mes études, répondit-elle très sérieuse.
Pôpas : Etudes de quoi ? *soupçonneux*
SR : Hmmmm … infirmière *au pif*
Pôpas : ……….. *silence*
SR : Hem … maîtresse d’école.
Pôpas : …………….. *long silence*
SR : Heu … avocate ?
Pôpas : …………………..*très long silence*
SR : Hôtesse de l’air ? Proposa-t-elle tandis qu’une goutte de sueur apparaissait sur sa tempe.
Pôpas :……………………………. *lourd silence*
SR : Secrétaire alors ?
Pôpas : …………………………………….. *silence pesant*
SR : Heeeeeeeeuuuuuu … masseuse ?
Pôpas : ……………………………………………… *silence de mort*
SR : Mais quoi à la fin ?! *soupir agacé*
Séph : Avec qui tu y vas ? Exigea-t-il d’une voix tranchante.
SR : Mais ça te regarde pas ! Trouve toi une pouffe aux gros seins et fait moi pas ch*** !
Séph : Ah ah ! Ca sent le Fury à plein nez ! Dit-il triomphant debout sur une chaise en pointant SR du doigt, une tasse de thé à la main se déversant sur le sol.
SR : Mais je t’emmerde est-ce que je te demande si tu les masamunes par derrière tes pouffes moi ?!
Séph : Mais tu te rends compte de ce que tu …
SR : VA CHIER !
Séph : ESPEC DE *bip* !!!
Ainsi continua la dispute entre le père et la fille, devant un Kuja et Rochel abasourdis, lorsque soudain …
Diiiiiiing doooooong.
- Je vais ouvrir, dit Rochel en se levant, soulagé de quitter la cuisine qui ressemblait de plus en plus à un champ de bataille avec ses éclats de vaisselle cassée et de supernova en attente, Kuja tartinant à présent son avant-bras en plus du poignet – Mince toute ce beurre et cette confiture gâchés … -, l’air de plus en plus abasourdi/blasé, au choix.
Rochel ouvrit la porte et vit en face de lui …
Fury : Heu salut, je viens chercher SR mais si je pouvais éviter l’autre tafiolle là avec son complexe d’oedipe ce serait bien … pas envie de me faire étripper …
Rochel : D’accord … *avec un mégaphone – bah oui entre le hall et la cuisine y a du chemin* SR Y A FURY A LA PORTE ET LA TAFIOLLE A COMPLEXE D’OEDIPE SI TU POUVAIS NE PAS ENTENDRE CE MESSAGE MERCI !!!
Fury : Merci beaucoup Rochel -_-
Rochel : Ah mais de rien, ce fut un plaisir
La scène sembla se figer dans la cuisine. Lentement, tel un prédateur venant de repérer sa proie, Séphiroth tourna lentement la tête à 180°.
Séph : Fury … *air psychopathe*
SR : Furyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyy !!! *petits cœurs qui flottent tout autour*
Et SR alla se jeter au cou de Fury – Kuja : Ouah elle saute vachement loin Oo –, et dans le mouvement sa jupe se souleva, révélant son string en cuir noir aux lanières si fines qui frottaient de manière sensuelle sur … revenons à nos moutons.
Mouton : Bééé
Séph : Mais qu’est-ce tu fais avec ce … avec ce … ce … ce … ceeeee … LUI QUOI ?! Demanda-il tout en scalpant avec une fourchette qui traînait le mouton qui s’était egaré.
SR : Bon bah on y va, ciao, bye bye, asta la vista, arrivedeci, sayonnara, au revoir a+ ! *petits cœurs*
Sur ce, SR attrapa un paquet indécis – Fury pardon –en soulevant un énorme nuage de poussière tandis qu’elle s’enfuyait loin très loin à travers une faille spatio-truc-chouette, tandis que la porte claquait violemment au nez de Rochel, laissant en plan les trois pères abasourdis – enfin au moins deux.
Kuja : Elle ressemble à SR AdB avec ses petits cœurs … *air songeur*
Rochel : …. Qu’est-ce qu’on fait ?
Séph, grinçant des dents : On va les suivre tiens.
Kuja : Et si en fait ……… merde, je me suis beurré le bras.
Et c’est sur cette élégante réplique de Kuja que les trois argentés se mirent en route, les deux androgynes chantant « A l’aventure compagnon, je suis parti à l’horizon… » tandis que Séphiroth se demandait grands dieux ce qu’il avait fait à part tenter de détruire le monde et tuer un tas d’innocents pour mériter pareil châtiment – et cela tout en chantant la suite de la chanson « J’aurai dû rester chez moi la suite vous le dira. ».
Fin de l’introduction.
Prochain épisode :
Episode one : The phamtom menace …
Heu non
Episode one : The phamtom menace …
Episode du lycée : GTS : Great Teacher Sephiroth
Erf koff *tousse*
Hem ... donc ...
Disons-le tout de suite, je vais le réécrire toute seule donc .... laissez moi le temps XD
GTS sera sectionné en trois parties : GTS : le lycée, GTS : Repas de famille et GTS:La psychanalyse (avec changement de significations des intitiales pour chaque épisode mais faut encore que j'y réfléchisse ) .... plus un épisode bonus : La révélation finale XD
Bon, je n'ai remastérisé que l'intro, le reste viendra ... quand il viendra d'une inspiration divagative en écoutant OWA piano .
Bonne lecture.
.
Bande annonce :Greats Teachers Sadists dit GTS: sera intégralement remastérisé par les professionels de la SR.Inc – qui rappelons-le fournit démons, dragons, malédictions et donjons en tous genres dans des délais imbattables sur le marché des méchants.com. Nous rappelons cependant que l’abus de Météore est dangereux pour la santé – avec de tous nouveaux effets spéciaux et éléments scénaristiques encore inconnu de l'auteur.
“Aucune fanfiction n’avait atteint de degré de folie aussi dangereux pour la santé mentale”
Le Figaro
“Jamais le OOC n’avait atteint ses limites”
Marie-Claire
“J’ai faim”
L’auteur
The staff : Les protagonistes principaux
Séphy-Roshou Hojo dit SR :
Oooohhh comme elle est grosse !
Séphiroth dit Séph, Séphy, Séphy-chan, Dieu etc ... :
Qu’ai-je fais pour arriver là-dedans ?
Kuja ou le pevers taré yaoiste qui pense rarement :
Hmmm c’est que tu as une jolie baguette dis moi ...
Rochel ou le second perver taré yaoïste mais qui pense lui :
Aimez moi, je suis si beau ... aimez moi ou je vous réduis en charpie !
Furioso306 dit Fury dit baka hentaï à la chantilly double boules vanille et banana crème cerise .... hm :
Ah non je vais encore m’en prendre plein la poire !
Résumé de la situation familiale et en gros de l’intrigue du pourquoi du comment j’ai chopé la varicelle vénusienne en mangeant des corns flakes avariés :
SR sors avec Fury et ça ne plaît à Séphy, bien décidé à le réduire en charpie
Rochel : C’est tout ?
Bah ouais au moins c’est clair et concis ...
Introduction – The Begnining of the cauchemar ou comment tout a commencé dans une cuisine mal rangé entre deux pots de confiture et une baguette bien ferme et dorée ... hmm...
It was once, it is very a long time , theres is a little house in a prairie …
Sarah : Oooh maman une étoile filante dans le ciel !
La mère donc j’ai oublié le putain de nom : Quoi en plein jour ?
Météore avec un ruban rose et un panneau « Bon baisers » : Estuan interius, ira vehementi, la la la la la, la la la la la, Sephiroth ! *chantonne*
Bref il était une fois une petite maison dans la prairie.
Par contre bien intact et bien réel, se trouvait dans une lointaine dimension, mais alors trèèèèèèèès lointaine, se trouvait un manoir où vivait une famille qui vivait dans un grand et beau manoir.
–
Bureaux de la SR.Inc également, rappelons que pour toutes plaintes il vous faut appelez entre 00 :00 et 00 :01 ou envoyez votre courrier de réclamations à Séphiroth qui se fera un plaisir de vous le renvoyer à coup de Masamune dans le … bref.
–
Dire que ce manoir était grand reviendrait à dire une absurdité comme « l’univers est grand». Quant au « beau », cela dépend si on est fan du style opulent-macabre-glauque-vieuxbâtimentgothiqueenpierrenoireavecpleindegargouilles-etremplidemonstres assoiffésdesangfraisetdevierges- avecdesoccupantsencorepire-ettellementgrandquemêmelesproprioss’yperdent.
Bref.
Dans cette demeure vivait donc une heureuse famille. Là encore le mot « famille » serait impropre vu le nombre de ramifications à l’arbre généalogique – ce serait à la limite du parasitisme vu leur prolifération qui ne tient guère compte des lois de la nature. Le « heureux » est très relatif, ils passent leur temps à se taper dessus. Mais ça vous le verrez en lisant.
C’est dans ce lieu, avec ces gens ou du moins une partie, que le drame commence par une belle matinée sans soleil …
L’on pouvait douter du moment de la journée, le soleil arrivant à peine à percer l’épaisse couche de nuages noirs qui encombraient les cieux, annonçant un orage certain – et permanent. Le vent hurlait entre les innombrables tourelles du manoir comme une centaine de dragons furieux. Tout ça grâce à l’écho – c’est magique l’écho la preuve dans la grotte nord pour One Winged Angla ça …. Je divague. D’ailleurs on entendit quelques uns grogner dans leur sommeil. Plus quelques hurlements de malheureux du village perdus dans les bois qui voulaient aller se rendre dans le supermarché paumé au milieu de la forêt. Car c’était un monde d’un silence polaire, où nul ne se serait permit de troubler cette quiétude mortuaire. Sauf la clameur de quelques lentes d’agonies.
Ou d’exclamations démoniaques =>
« MWHAAAAAAAAAAAAAAAAA HA HA HA HA HA HA HA HA HA HA HAAA !!! I’M OVERLORARGH MERDE MON THE !!! »
Allons à la rencontre des habitants de ce manoir car c’est là que se déroule la pièce du drame – tiens c’est moi ou je me répète ?
Par contre bien intact et bien réel, se trouvait dans une lointaine dimension, mais alors trèèèèèèèès lointaine, se trouvait un manoir où vivait une famille qui vivait dans un grand et beau manoir.
–
Bureaux de la SR.Inc également, rappelons que pour toutes plaintes il vous faut appelez entre 00 :00 et 00 :01 ou envoyez votre courrier de réclamations à Séphiroth qui se fera un plaisir de vous le renvoyer à coup de Masamune dans le … bref.
–
Dire que ce manoir était grand reviendrait à dire une absurdité comme « l’univers est grand». Quant au « beau », cela dépend si on est fan du style opulent-macabre-glauque-vieuxbâtimentgothiqueenpierrenoireavecpleindegargouilles-etremplidemonstres assoiffésdesangfraisetdevierges- avecdesoccupantsencorepire-ettellementgrandquemêmelesproprioss’yperdent.
Bref.
Dans cette demeure vivait donc une heureuse famille. Là encore le mot « famille » serait impropre vu le nombre de ramifications à l’arbre généalogique – ce serait à la limite du parasitisme vu leur prolifération qui ne tient guère compte des lois de la nature. Le « heureux » est très relatif, ils passent leur temps à se taper dessus. Mais ça vous le verrez en lisant.
C’est dans ce lieu, avec ces gens ou du moins une partie, que le drame commence par une belle matinée sans soleil …
L’on pouvait douter du moment de la journée, le soleil arrivant à peine à percer l’épaisse couche de nuages noirs qui encombraient les cieux, annonçant un orage certain – et permanent. Le vent hurlait entre les innombrables tourelles du manoir comme une centaine de dragons furieux. Tout ça grâce à l’écho – c’est magique l’écho la preuve dans la grotte nord pour One Winged Angla ça …. Je divague. D’ailleurs on entendit quelques uns grogner dans leur sommeil. Plus quelques hurlements de malheureux du village perdus dans les bois qui voulaient aller se rendre dans le supermarché paumé au milieu de la forêt. Car c’était un monde d’un silence polaire, où nul ne se serait permit de troubler cette quiétude mortuaire. Sauf la clameur de quelques lentes d’agonies.
Ou d’exclamations démoniaques =>
« MWHAAAAAAAAAAAAAAAAA HA HA HA HA HA HA HA HA HA HA HAAA !!! I’M OVERLORARGH MERDE MON THE !!! »
Allons à la rencontre des habitants de ce manoir car c’est là que se déroule la pièce du drame – tiens c’est moi ou je me répète ?
Séphiroth était matinal comme à son habitude : à peine 9h qu’il sirotait son thé – sans sucre – tout en lisant le journal de la SR.Inc, après avoir envoyé un météore dans une galaxie quelconque …
Tandis qu’il surveillait du coin de l’œil les deux dépravés yaoïstes qui se faisaient honteusement du pied sous la table tout en se lançant des regards plus que suspects, il pensa (oui il pense) :
Séphiroth : « Ils font ça juste sous mon nez pff … *jaloux* et en plus ces abrutis du câble ont viré ma série pour mettre cette foutue maison dans la lande …. Pfff ... bande de tarl … »
Rochel : Bien dormi Séphiroth ? Lui demanda-t-il tout innocent qui fit tomber sa tartine beurré pile sur la baguette de Kuja.
(Qui a hurlé bigu ? Si si je l’ai entendu ...)
Séph parce que c’est plus court et que mon petit doigt à la flemme d’aller au Y : Aussi bien que l’on peut avec deux pervers qui imitent un accouplement d’orang-outan en rut, répondit l’interpellé d’une voix où perçait le sarcasme, ne levant même pas les yeux de son journal.
Kuja se sentant visé avec insistance par la remarque de l’argenté soi-disant dieu qui s’est fait battre par une grenouille fausse blonde à coupe de chocobo, demanda :
Kuja : Vas-y dis nous tout, t’as tes règles pour que tu sois te si mauvaise humeur ?
Rochel : Ca change pas beaucoup de d’habitude tu sais …, dit-il en beurrant la baguette de son amant.
L’espace d’un instant, Séphiroth sembla se demander si cela valait la peine de rembarder les deux pervers qui pensaient seulement à étaler le plus de confiture sur leurs baguettes
(mais non y a pas de bigu, c’est le ptit déj ….).
Seulement un instant car il soupira et monsieur perruque argentée avec ses deux antennes paraboliques intégrées faisant office de mèches, saisit lentement sa tasse de thé qui trembla légèrement – seulement 8 sur l’échelle de Richter – et dit d’un air grave :
Séph : Je sens très mal cette journée voilà tout …
Rochel : Mais tu les sens toutes mal, répliqua-t-il agacé.
Séph : Oui mais cette fois c’est différent, dit-il d’un ton polaire, avec un accent de piano lugubre en fond sonore, tel un prophète apocalyptique tandis que la température de la pièce passait à – 50° gelant le thé alors que les volets claquaient violemment, que les vitres se fissuraient dans un craquement sinistre, qu’un chat noir passait en courant dans la pièce en dessous une échelle tout en la faisant tomber qui dans sa chute fracassa un miroir qui éclata en sept morceaux juste quand un éclair éblouissait la cuisine au moment où une créature de cauchemar entrait dans la pièce.
- Bonjour tout le monde, fit une voix sensuelle à réveiller l’érectomètre du plus homo des homos.
Séph : Je savais que cette journée allait partir en couille, dit-il en regardant de la tête au pied sa fille SR vêtue en tout et pour tout d’une jupe plissée façon écolière japonaise supra courte, d’un chemisier à peine boutonné et de bottes. Le tour en cuir noir – sauf le chemisier blanc.
Après un instant de silence, Séphiroth prit le ton calme et patient de quelqu’un qui aurait a expliqué à un enfant en bas âge souffrant d’hyperémotivité que un plus un égale deux :
Séph : Tu ne sors pas et je ne veux d’ailleurs pas savoir où tu voulais sortir ainsi vêtue.
SR : Mais je vais au lycée !
Les trois pères de l’argentée se demandèrent pourquoi d’un coup ils avaient soudainement une superbe vue sur le micro string de SR et ô dieux qu’est-ce que c’est rafraîchissant un carrelage froid pendant une bouffée de chaleur … hem.
SR : … ça vous prend souvent de tomber à la renverse en me voyant ? Je sais que je fais de l’effet mais à ce point … *sourire de succube*
Rochel : Maismaismaispourquoiveux-tualleraulycéealorsque … que … queeuuu, se demanda-t-il perplexe et étalé sur le carrelage sans finir sa phrase.
Kuja : Bah si elle veut y aller elle fait ce qu’elle ….
Kuja jugea que pour sa survie personnelle, il serait préférable de s’abstenir de terminer sa phrase devant le regard meurtrier qui lui lançait un certain argenté à la longue épée et se beurra une tartine frénétiquement.
Rochel : Mais pour quoi faire ? Questionna l’ange à trois ailes toujours sur le carrelage et intrigué par un Kuja se beurrant les poignets sans s’en rendre compte.
SR : C’est pour complémen ... Complé… compli … Achever mes études, répondit-elle très sérieuse.
Pôpas : Etudes de quoi ? *soupçonneux*
SR : Hmmmm … infirmière *au pif*
Pôpas : ……….. *silence*
SR : Hem … maîtresse d’école.
Pôpas : …………….. *long silence*
SR : Heu … avocate ?
Pôpas : …………………..*très long silence*
SR : Hôtesse de l’air ? Proposa-t-elle tandis qu’une goutte de sueur apparaissait sur sa tempe.
Pôpas :……………………………. *lourd silence*
SR : Secrétaire alors ?
Pôpas : …………………………………….. *silence pesant*
SR : Heeeeeeeeuuuuuu … masseuse ?
Pôpas : ……………………………………………… *silence de mort*
SR : Mais quoi à la fin ?! *soupir agacé*
Séph : Avec qui tu y vas ? Exigea-t-il d’une voix tranchante.
SR : Mais ça te regarde pas ! Trouve toi une pouffe aux gros seins et fait moi pas ch*** !
Séph : Ah ah ! Ca sent le Fury à plein nez ! Dit-il triomphant debout sur une chaise en pointant SR du doigt, une tasse de thé à la main se déversant sur le sol.
SR : Mais je t’emmerde est-ce que je te demande si tu les masamunes par derrière tes pouffes moi ?!
Séph : Mais tu te rends compte de ce que tu …
SR : VA CHIER !
Séph : ESPEC DE *bip* !!!
Ainsi continua la dispute entre le père et la fille, devant un Kuja et Rochel abasourdis, lorsque soudain …
Diiiiiiing doooooong.
- Je vais ouvrir, dit Rochel en se levant, soulagé de quitter la cuisine qui ressemblait de plus en plus à un champ de bataille avec ses éclats de vaisselle cassée et de supernova en attente, Kuja tartinant à présent son avant-bras en plus du poignet – Mince toute ce beurre et cette confiture gâchés … -, l’air de plus en plus abasourdi/blasé, au choix.
Rochel ouvrit la porte et vit en face de lui …
Fury : Heu salut, je viens chercher SR mais si je pouvais éviter l’autre tafiolle là avec son complexe d’oedipe ce serait bien … pas envie de me faire étripper …
Rochel : D’accord … *avec un mégaphone – bah oui entre le hall et la cuisine y a du chemin* SR Y A FURY A LA PORTE ET LA TAFIOLLE A COMPLEXE D’OEDIPE SI TU POUVAIS NE PAS ENTENDRE CE MESSAGE MERCI !!!
Fury : Merci beaucoup Rochel -_-
Rochel : Ah mais de rien, ce fut un plaisir
La scène sembla se figer dans la cuisine. Lentement, tel un prédateur venant de repérer sa proie, Séphiroth tourna lentement la tête à 180°.
Séph : Fury … *air psychopathe*
SR : Furyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyy !!! *petits cœurs qui flottent tout autour*
Et SR alla se jeter au cou de Fury – Kuja : Ouah elle saute vachement loin Oo –, et dans le mouvement sa jupe se souleva, révélant son string en cuir noir aux lanières si fines qui frottaient de manière sensuelle sur … revenons à nos moutons.
Mouton : Bééé
Séph : Mais qu’est-ce tu fais avec ce … avec ce … ce … ce … ceeeee … LUI QUOI ?! Demanda-il tout en scalpant avec une fourchette qui traînait le mouton qui s’était egaré.
SR : Bon bah on y va, ciao, bye bye, asta la vista, arrivedeci, sayonnara, au revoir a+ ! *petits cœurs*
Sur ce, SR attrapa un paquet indécis – Fury pardon –en soulevant un énorme nuage de poussière tandis qu’elle s’enfuyait loin très loin à travers une faille spatio-truc-chouette, tandis que la porte claquait violemment au nez de Rochel, laissant en plan les trois pères abasourdis – enfin au moins deux.
Kuja : Elle ressemble à SR AdB avec ses petits cœurs … *air songeur*
Rochel : …. Qu’est-ce qu’on fait ?
Séph, grinçant des dents : On va les suivre tiens.
Kuja : Et si en fait ……… merde, je me suis beurré le bras.
Et c’est sur cette élégante réplique de Kuja que les trois argentés se mirent en route, les deux androgynes chantant « A l’aventure compagnon, je suis parti à l’horizon… » tandis que Séphiroth se demandait grands dieux ce qu’il avait fait à part tenter de détruire le monde et tuer un tas d’innocents pour mériter pareil châtiment – et cela tout en chantant la suite de la chanson « J’aurai dû rester chez moi la suite vous le dira. ».
Fin de l’introduction.
Prochain épisode :
Episode one : The phamtom menace …
Heu non
Episode du lycée : GTS : Great Teacher Sephiroth
Séphy-Roshou- Floodeur en chef
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