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Blanch-trench et les sept Gunz
par Séphy-Roshou Lun 25 Juin - 1:20
Attention, ceci est un message du comité de préservation de matière grise française:
DANGER, DANGER! FONTE DE NEURONES, FONTES DE NEURONES
Le texte suivant contient de la violence, du sexe, des scènes traditionnellement coupées au montage, des références subversives et une très grosse mais alors VRAIMENT TRES GROSSE perte de contrôle de la part de l'auteure et du co-auteur.
DANGER, DANGER! FONTE DE NEURONES, FONTES DE NEURONES
Merci de votre compréhension.
Nina, fondatrice du comité de préservation de matière grise française
Staff (dans l'ordre d'apparition) :
La reine Ifalna : Ifalna
Le roi Hojo dit Jojo l'Alcoolo : Hojo
La princesse, dit Blanche-trench : Aéris
La Dame, reine et marâtre de Blanche-trench : Séphy-Roshou
Le miroir magique, Mir'IL : IL
Le chasseur : Orochissamaru dit Orounet
La biche, remplacée par un jeune draco-Sasuke : Sasuke
Les sept nains dit également les sept Gunz :
Prof => Pénible : Aran
Grincheux => Râleuse : Sephiroth
Dormeur => Obsédé : Kuja
Atchoum => Malade : Rochel
Simplet => Gourmande : K-ro
Joyeux => Bourée : Raza
Timide => Dépressif : un membre éminent du forum qui a tenu à rester anonyme
Le Mestre Kabuto dit le Fourbe : Kabuto
Le Prince blanc monté sur son fier destrier : Cloud
Le Prince opportuniste : Omega
Enjoy ^__^
_______________
Il était une fois, une reine nommée Ifalna qui souhaitait ardemment avoir une fille.
Un jour qu'elle cousait à sa fenêtre, elle se piqua le doigt et, voyant, le sang perlé sur la blanche neige, elle soupira.
Iflana : Ah que je voudrais une fille blanche comme la neige, brune comme les bois, et les lèvres rouges comme le sang. Ainsi je serai comblée.
Il advint que les dieux entendirent le souhait de la reine (ou bien que son mari mit un coup de turbo dans ses devoirs conjuguaux) et qu'elle tomba enceinte. La jeune princesse fut nommée Miracle de la petite Rosée du Matin dit Aéris en ancien language.
C'est affreux.
Malheureusement, alors que la jeune reine comblée tricottait des chaussettes en laine rose et blanche, elle se piqua à nouveau et tomba gravement malade.
Avez-vous déjà vu un morceau de viande pourrir au soleil pendant quatre jours ? Et bien là c'était pareil. Avec les vers blancs en plus.
C'est abominable.
Le roi Jojo pleura de longs jours la mort de sa femme adorée. Surtout les vignes de côte du Chartreux 2345 que le père de la reine avait brûlé en un ultime hommage à sa fille.
C'est atroce.
Aussi décida-t-il de proprement disséqué le ladre son ex-beau père.
C'est abj ...
Bon, on a compris.
... il se remaria avec une femme plus jeune, plus riche, plus belle et avec un père aussi producteur de liqueur (d'Amour). On l'appelait La Dame.
Faîtes pas les innocents, vous savez tous qui c'est.
Elle détestait sa belle-fille Aéris, qu'en grandissant on appelait Blanche-trench, à cause du long manteau blanc qu'elle portait par-dessus ses atours de dentelle rose. Elle la détestait à cause de sa gentillesse inneffable. Et les trois bonnets qu'elle avait de plus qu'elle (surtout les bonnets). Ainsi que sa manie de mettre des fleurs blanches partout. Ainsi que celle de prier à toute heure de la journée et lui faire la morale lorsqu'elle trompait son royal époux.
Et ... et beaucoup d'autres choses en fait.
La Dame possédait un miroir magique qui ne pouvait dire que la vérité. Aussi un jour, alors qu'elle s'admirait devant lui (en complet lingerie de cuir noir si vous voulez savoir), elle lui demanda :
La Dame : Miroir magique au mur, dis-moi qui est la plus belle et pure ?
Mir'IL : Heu mais vous savez vous êtes toujours très très très jolie.
La Dame : Qu'est-ce que c'est que cette réponse ? *froncement de sourcils*
Miri'IL : Mais ma Dame ...
La Dame : Tu n'es censé dire que la vérité Mir'il ...
Mir'IL : Mais je ne mens pas en disant que vous êtres très jolie.
La Dame : Je ne t'ai pas demandé si j'étais jolie mais si j'étais la plus belle !
Mir'IL : Techniquement, vous avez demandez qui était la plus belle, pas si vous étiez ...
La Dame : PARLE ! Ou subis mon courroux ... *yeux qui tournent aux rouge vif*
Mir'IL : Heu bon d'accord, je ne tournerai pas autour du pot, je n'irai pas par quatre chemins, je vais vous le dire dans quelques instants, je vais tout vous expliquer sans vous faire languir, je cherche mes mots pour le dire sans ambages et en toute honnêté, un ptit whisky et un gros pétard avant ? Asseyez-vous vous serez mieux, si vous voulez je peux aussi vous appeler quelqu'un pour vous masser et ...
La Dame : Tu veux vraiment que je te donne à ma mère ? *air sournois*
Mir'IL : Nooooon pas la vieille qui se masturbe nue devant le miroir avec la peau flasque et la cellulite !
La Dame : Alors ?
Mir'IL : Laplusbellec'estBlanchtrench.
La Dame : Pardon ? Qu'entends-je ? Recommence, j'ai crû mal entendre ...
Mir'IL : Mais faut pas le prendre comme ça maîtresse, comme je le disais, vous êtes toujours très jolie et ... non ne me jetez pas cet objet lourd et contondant !
La Dame : Mais comment cela se fait-il ?!
Mir'IL : Et bah, déjà, elle frappe pas les gens, elle les menace pas non plus, elle les empoisonne pas avec des poisons qui les font se décomposer viv ...
La Dame : C'est bon ça va ça va, je crois que j'ai compris où tu voulais en venir.
Mir'IL : Et pis surtout ... elle a trois bonnets de plus quoi.
La Dame : ASSEZ !
Et dans un éclatage de vase en règle, la Dame quitta ses appartements de fort méchante humeur. Dans sa tête déjà germait de sombres idées pour mettre un terme à la vie de l'innocente princesse. Elle convoqua donc son sbire favori dans la salle du trône que seul occupait son royal alcoolique d'époux.
La Dame : Bon, Orounet, j'ai une grognasse à tuer.
Orochassimaru dit Orounet : Encore au poison ?
La Dame : Non, pas cette fois, ça paraîtrait louche. Faisons ça de manière moins subtile et qui lui pourrira son bonnet C ... emmène-la soit-disant pour cueillir des fleurs, et arrache-lui son coeur à la langue pour me le ramèner.
Orounet : Mais ... c'est une fille ! Je tripote pas les filles moi !
La Dame : Je m'en moque, je veux la voir ronger par les vers comme sa mère !
Orounet : Tu rimes ...
La Dame : BUTE-LA ! Ou Kabuto risque de perdre un membre, et sans doute le plus intéressant ...
Ainsi c'est un Orounet peu enjoué qui s'en alla chercher la princesse Blanch-trench. Celle-ci ne fut pas difficile à persuader pour une promenade en forêt, toute joie qu'elle était à l'idée de ramasser des fleurs.
Orounet : Mais qu'est-ce que je fous là ...
Blanch-trench : Ooooohh une fleur ! *air béat*
Orounet : Bon, c'est pour Kabuto que je fais ça ...
Et, alors que la langue de l'Orochissamaru, toute rosée et baveuse, prenait une taille considérable et s'apprêtait à frapper mortellement, sans que la princesse penchée sur ses fleurs ne s'aperçoive de rien, sortit du bosquet ...
Orounet : Mais qu'est-ce que ...*sortant son pokédex*
Jeune draco-Sasuke :
Taille : 1m55
Poids : 45 kg (55 plein d'amour)
Le jeune draco-Sasuke n'a pas encore fini sa croissance (et ne la finira jamais). Ses attaques principales sont Puppyeye no Jutsu et Uke attack. Le jeune draco-Sasuke est une créature sensible, carrément emo-boy. Il peut aussi chanter et danser à l'horizontale.
Jeune draco-Sasuke : Pourquoi moi ?
Il n'en fallut pas plus pour Orochissamaru pour complétèment oublier la présence de la princesse, et se jeter sur le jeune draco-Sasuke dans le fourré de fougères proches.
Pov draco-Sasuke.
...
En fait, non, il ne mérite que ça. De toute façon grâce à ça il évoluera au bout de cinq cents heures de danse et de chant.
La princesse (qui n'entendit point les échos de danse et de chant venant des fourrés) quant à elle, poursuivit son chemin en toute innocence. Et se perdit ainsi dans les bois. Les bois de la Mort lente.
Pov Blanch-trench.
...
En fait non, elle ne mérite que ça elle aussi (elle va faire du chant et de la danse grâce à ça).
La princesse erra donc, longtemps, seule, se nourrissant de champignons hallucinogènes et de vers (les mêmes que ceux qui mangaient sa maman - elle a crû que c'était des bonbons), fut poursuivit par une meute de loups-garous tentaculaires en rut conduite par un troll farceur qui n'avaient pas vu de jeunes vierges depuis des mois, avant de tomber sur un homme en cape noir qui lui proposa "de venir goûter avec nous cette bonne grosse glace salée", offre que bizarrement elle refusa.
Bref, après des jours et des jours à se prendre des branches dans la tronche et ainsi pourrir ses vêtements (en fait au final, elle était nue sous son trench ), elle arriva devant une chaumière. C'est la futur maison de tante-grand, avec des jouets aussi.
Mais pas les mêmes que d'habitude.
D'ailleurs devant cette maison, sept petits hommes (dont deux pour lequel on peut se poser des questions et deux aussi clairement féminins) en costard noir avec lunettes de soleil (même s'il fait sombre dans les bois, parce que ça donne plus huit en charisme même au dernier des pequenauds) étaient occupés à découper quelque chose.
Râleuse : Tiens-la, elle bouge encore cette conne.
Pénible : Ta gueule Râleuse.
Obsédé : Hey, découpez pas ça !
Malade : Arrête tu vas choper des maladies vénériennes.
Bourrée : Mais ... c'est rigolo ça rebondit !
Râleuse : Je savais bien que c'était des faux, c'est qu'un clone raté, il aime les contrefaçons.
Dépressif : Toute façon, personne m'aime.
Pénible : Va chier !
Dépressif : Toute façon, découper les gens, c'est triiiiiste ... et c'est moche !
Bourée : Chaussette ?
Gourmande : On peut la bouffer maintenant ?
Râleuse : Nan je vais la lui renvoyer en trois morceaux à ce connard de blond.
Pénible : Tout ça parce qu'il t'a largué ...
Râleuse : Il assumait pas !
Pénible : J'en connais un autre, je ne vise personne, suivez mon regard ...
Bourée : Chaussette ?
Obsédé : Je peux prendre l'autre côté alors ?
Gourmande : On a besoin de tout pour le râgout.
Malade : Je peux lui piquer sa peau ?
Râleuse : Quoi encore ?!
Malade : Bah chuis malade. *dit Malade*
Dépressif : Y a des gens qui arrivent, il va encore m'arriver des trucs ...
Pénible : Mais ta gueule ...
Dépressif : C'est du RP forcéeuh !
Bourée : Chaussette ?
Les sept nains levèrent le nez de leur ... boucherie ... repas ... don d'organes involontaire ... de ce qu'ils faisaient donc, pour apercevoir la Blanche-trench nimbée de sa tenue virginale. Blanche, impeccable. Et rien en-dessous. Surtout rien en-dessous.
Analyse de la situation :
Une jeune femme super bien foutue, vient d'arriver devant votre maison. Elles est nue sous son manteau, sans armes et non accompagnée, et ne semble pas dépasser les 5 en intelligence puisqu'elle n'a pas fui devant le corps découpé.
Vous êtes, vous, sept chacun avec son arme personnelle (lime, tronçonneuse, couteau de boucher, fourchette, scie, lames de rasoir, chaussette.) et conscients de la situation.
Que faîtes-vous ?
Six nains firent "Gollum". Le septième râla comme à son habitude.
Râleuse : J'aime pas les gonzesse !
Obsédé : Tu préfères les hommes ?
Râleuse : J'aime pas les hommes !
Pénible : Tu nous fais chier.
Râleuse : J'aime encore moins celle-là ! Elle m'a niqué au cours du jeu !
Malade : T'es hors-sujet.
Obsédé : Moi j'aimerai bien me faire niquer par une nana comme ça.
Bourée : Moi aussi.
Malade : Moi aussi.
Pénible : Moi aussi.
Dépressif : J'aime pas les filles non plus, les relations avec elles ça finit toujours mal
Pénible : T'as jamais essayé.
Malade : Dépressif, arrête de saouler, Dépressif, arrête de saouler !
Dépressif : Mais pourquoi c'est toujours moi ? C'est du RP forcé !
Râleuse : Mais quel chieur.
Gourmande : Vous croyez qu'elle est bonne ?
Obsédé : Moi je suis sûre qu'elle est bonne
Gourmande : Mais non, t'as rien compris !
Obsédé : Pourtant, enduite de chocolat ...
Gourmande : ...................................... à bien y réfléchir ...
Pénible : Hey, c'est moi qui passe en premier.
Râleuse : T'es vraiment pénible !
La princesse, serrant son manteau sur sa poitrine, dit alors d'une toute petite voix timide :
Blanche-trench : Heeuu ... bonjour, je ... je suis perdue et j'erre, seule, dans ces bois sinistres et lugubres, où j'ai été poursuivie par des monstres affreux et puis je me sens ... sale ! Vilaine ! Je pourrais utiliser votre salle de bains, s'il vous plaît ?
Pénible : Oh ouiiiiii !
Obsédé : Viens chercher bonheur dans notre maison, viens !
Gourmande : On pourra même te manger après ...
Malade : Non, on la mange pas, pas comme ça et pas tout de suite ...
Râleuse : Moi je veux PAS !!
Pénible : Mais tu fais vraiment chier !
Râleuse : J'veux la noyer ! CHAUSSETTE !!
Bourée : CHAUSSEEEEETTE !!!
Malade : Ils sont complètement malades *dit Malade*
Obsédé : Bon, on la monte ?
Bourée : Ouaaaaiiis, je serai plus la seule à être bourée !
Gourmande : Avec une sauce au chocolat, moi je dis ...
Râleuse : J'veux la noyer ! CHAUSS ...
Obsédé : Si tu la bourres d'Amour, peut-être qu'elle coulera ...
Dépressif : Moi de toute façon ...
Pénible : Toi tu te tais et tu remballes le matos.
Dépressif : Maiheu, c'est du RP forcé !
Six nains répondirent : Ta gueule !
Blanch-trench entra donc dans la chaumière en compagnie des nains, qui, très vite, lui apprirent les petits plaisirs simples de la vie. Comme le chant et la danse à l'horizontale. En biais aussi. De travers. A l'endroit et à l'envers. Les petits plaisirs seins-ples quoi. Seins-ples. Seins-ples. Calembour. Vous aller rigolez merde ?
Ahem.
Pendant ce temps, au château, Orochissamaru, son draco-Sasuke empaqueté sur le dos, revint voir la reine pour lui raconter que la princesse avait échappé à sa surveillance et s'était perdue dans les bois. Chose qu'elle prit plutôt bien, après trois heures de description du dressage du nouveau poke-bisho d'Orochissamaru (qui s'empressa d'aller retrouver le mestre Kabuto une fois sa besogne faîte, pour s'assurer qu'il ne lui manquait rien.).
C'est donc d'un pas léger que la Dame alla trouver son époux dans les caves royales pour lui annoncer la nouvelle.
La Dame : Mon époux, j'ai une sinistre nouvelle à vous annoncer.
Roi Hojo dit Jojo l'Alcoolo : Nyééé ? Ma bouteille est, hips!, vide ?
La Dame : Non, elle est encore pleine.
Jojo : J'm'en fous alors, hips!, ...
La Dame : Même si je vous annonce que votre fille s'est malheureusement perdue dans la forêt et est morte dans d'atroces souffrances ?
Jojo : Vous avez l'air, hips!, ravie en disant cela ma mie ...
La Dame : Oh ? *sourire innocent*
Jojo : Bon, elle est morte ... hey, ça veut, hips!, dire que je vais devoir accomplir, hips!, mes devoirs conjuguaux ?
La Dame : Non, pas la peine, j'ai de quoi vous remplacer dans mon lit.
Jojo : Tant mieux, j'ai un nouvel arrivage de liqueur, hips!, j'aurai, hips!, pas le temps ...
DANGER, DANGER! FONTE DE NEURONES, FONTES DE NEURONES
Le texte suivant contient de la violence, du sexe, des scènes traditionnellement coupées au montage, des références subversives et une très grosse mais alors VRAIMENT TRES GROSSE perte de contrôle de la part de l'auteure et du co-auteur.
DANGER, DANGER! FONTE DE NEURONES, FONTES DE NEURONES
Merci de votre compréhension.
Nina, fondatrice du comité de préservation de matière grise française
Staff (dans l'ordre d'apparition) :
La reine Ifalna : Ifalna
Le roi Hojo dit Jojo l'Alcoolo : Hojo
La princesse, dit Blanche-trench : Aéris
La Dame, reine et marâtre de Blanche-trench : Séphy-Roshou
Le miroir magique, Mir'IL : IL
Le chasseur : Orochissamaru dit Orounet
La biche, remplacée par un jeune draco-Sasuke : Sasuke
Les sept nains dit également les sept Gunz :
Prof => Pénible : Aran
Grincheux => Râleuse : Sephiroth
Dormeur => Obsédé : Kuja
Atchoum => Malade : Rochel
Simplet => Gourmande : K-ro
Joyeux => Bourée : Raza
Timide => Dépressif : un membre éminent du forum qui a tenu à rester anonyme
Le Mestre Kabuto dit le Fourbe : Kabuto
Le Prince blanc monté sur son fier destrier : Cloud
Le Prince opportuniste : Omega
Enjoy ^__^
_______________
Il était une fois, une reine nommée Ifalna qui souhaitait ardemment avoir une fille.
Un jour qu'elle cousait à sa fenêtre, elle se piqua le doigt et, voyant, le sang perlé sur la blanche neige, elle soupira.
Iflana : Ah que je voudrais une fille blanche comme la neige, brune comme les bois, et les lèvres rouges comme le sang. Ainsi je serai comblée.
Il advint que les dieux entendirent le souhait de la reine (ou bien que son mari mit un coup de turbo dans ses devoirs conjuguaux) et qu'elle tomba enceinte. La jeune princesse fut nommée Miracle de la petite Rosée du Matin dit Aéris en ancien language.
C'est affreux.
Malheureusement, alors que la jeune reine comblée tricottait des chaussettes en laine rose et blanche, elle se piqua à nouveau et tomba gravement malade.
Avez-vous déjà vu un morceau de viande pourrir au soleil pendant quatre jours ? Et bien là c'était pareil. Avec les vers blancs en plus.
C'est abominable.
Le roi Jojo pleura de longs jours la mort de sa femme adorée. Surtout les vignes de côte du Chartreux 2345 que le père de la reine avait brûlé en un ultime hommage à sa fille.
C'est atroce.
Aussi décida-t-il de proprement disséqué le ladre son ex-beau père.
C'est abj ...
Bon, on a compris.
... il se remaria avec une femme plus jeune, plus riche, plus belle et avec un père aussi producteur de liqueur (d'Amour). On l'appelait La Dame.
Faîtes pas les innocents, vous savez tous qui c'est.
Elle détestait sa belle-fille Aéris, qu'en grandissant on appelait Blanche-trench, à cause du long manteau blanc qu'elle portait par-dessus ses atours de dentelle rose. Elle la détestait à cause de sa gentillesse inneffable. Et les trois bonnets qu'elle avait de plus qu'elle (surtout les bonnets). Ainsi que sa manie de mettre des fleurs blanches partout. Ainsi que celle de prier à toute heure de la journée et lui faire la morale lorsqu'elle trompait son royal époux.
Et ... et beaucoup d'autres choses en fait.
La Dame possédait un miroir magique qui ne pouvait dire que la vérité. Aussi un jour, alors qu'elle s'admirait devant lui (en complet lingerie de cuir noir si vous voulez savoir), elle lui demanda :
La Dame : Miroir magique au mur, dis-moi qui est la plus belle et pure ?
Mir'IL : Heu mais vous savez vous êtes toujours très très très jolie.
La Dame : Qu'est-ce que c'est que cette réponse ? *froncement de sourcils*
Miri'IL : Mais ma Dame ...
La Dame : Tu n'es censé dire que la vérité Mir'il ...
Mir'IL : Mais je ne mens pas en disant que vous êtres très jolie.
La Dame : Je ne t'ai pas demandé si j'étais jolie mais si j'étais la plus belle !
Mir'IL : Techniquement, vous avez demandez qui était la plus belle, pas si vous étiez ...
La Dame : PARLE ! Ou subis mon courroux ... *yeux qui tournent aux rouge vif*
Mir'IL : Heu bon d'accord, je ne tournerai pas autour du pot, je n'irai pas par quatre chemins, je vais vous le dire dans quelques instants, je vais tout vous expliquer sans vous faire languir, je cherche mes mots pour le dire sans ambages et en toute honnêté, un ptit whisky et un gros pétard avant ? Asseyez-vous vous serez mieux, si vous voulez je peux aussi vous appeler quelqu'un pour vous masser et ...
La Dame : Tu veux vraiment que je te donne à ma mère ? *air sournois*
Mir'IL : Nooooon pas la vieille qui se masturbe nue devant le miroir avec la peau flasque et la cellulite !
La Dame : Alors ?
Mir'IL : Laplusbellec'estBlanchtrench.
La Dame : Pardon ? Qu'entends-je ? Recommence, j'ai crû mal entendre ...
Mir'IL : Mais faut pas le prendre comme ça maîtresse, comme je le disais, vous êtes toujours très jolie et ... non ne me jetez pas cet objet lourd et contondant !
La Dame : Mais comment cela se fait-il ?!
Mir'IL : Et bah, déjà, elle frappe pas les gens, elle les menace pas non plus, elle les empoisonne pas avec des poisons qui les font se décomposer viv ...
La Dame : C'est bon ça va ça va, je crois que j'ai compris où tu voulais en venir.
Mir'IL : Et pis surtout ... elle a trois bonnets de plus quoi.
La Dame : ASSEZ !
Et dans un éclatage de vase en règle, la Dame quitta ses appartements de fort méchante humeur. Dans sa tête déjà germait de sombres idées pour mettre un terme à la vie de l'innocente princesse. Elle convoqua donc son sbire favori dans la salle du trône que seul occupait son royal alcoolique d'époux.
La Dame : Bon, Orounet, j'ai une grognasse à tuer.
Orochassimaru dit Orounet : Encore au poison ?
La Dame : Non, pas cette fois, ça paraîtrait louche. Faisons ça de manière moins subtile et qui lui pourrira son bonnet C ... emmène-la soit-disant pour cueillir des fleurs, et arrache-lui son coeur à la langue pour me le ramèner.
Orounet : Mais ... c'est une fille ! Je tripote pas les filles moi !
La Dame : Je m'en moque, je veux la voir ronger par les vers comme sa mère !
Orounet : Tu rimes ...
La Dame : BUTE-LA ! Ou Kabuto risque de perdre un membre, et sans doute le plus intéressant ...
Ainsi c'est un Orounet peu enjoué qui s'en alla chercher la princesse Blanch-trench. Celle-ci ne fut pas difficile à persuader pour une promenade en forêt, toute joie qu'elle était à l'idée de ramasser des fleurs.
Orounet : Mais qu'est-ce que je fous là ...
Blanch-trench : Ooooohh une fleur ! *air béat*
Orounet : Bon, c'est pour Kabuto que je fais ça ...
Et, alors que la langue de l'Orochissamaru, toute rosée et baveuse, prenait une taille considérable et s'apprêtait à frapper mortellement, sans que la princesse penchée sur ses fleurs ne s'aperçoive de rien, sortit du bosquet ...
Orounet : Mais qu'est-ce que ...*sortant son pokédex*
Jeune draco-Sasuke :
Taille : 1m55
Poids : 45 kg (55 plein d'amour)
Le jeune draco-Sasuke n'a pas encore fini sa croissance (et ne la finira jamais). Ses attaques principales sont Puppyeye no Jutsu et Uke attack. Le jeune draco-Sasuke est une créature sensible, carrément emo-boy. Il peut aussi chanter et danser à l'horizontale.
Jeune draco-Sasuke : Pourquoi moi ?
Il n'en fallut pas plus pour Orochissamaru pour complétèment oublier la présence de la princesse, et se jeter sur le jeune draco-Sasuke dans le fourré de fougères proches.
Pov draco-Sasuke.
...
En fait, non, il ne mérite que ça. De toute façon grâce à ça il évoluera au bout de cinq cents heures de danse et de chant.
La princesse (qui n'entendit point les échos de danse et de chant venant des fourrés) quant à elle, poursuivit son chemin en toute innocence. Et se perdit ainsi dans les bois. Les bois de la Mort lente.
Pov Blanch-trench.
...
En fait non, elle ne mérite que ça elle aussi (elle va faire du chant et de la danse grâce à ça).
La princesse erra donc, longtemps, seule, se nourrissant de champignons hallucinogènes et de vers (les mêmes que ceux qui mangaient sa maman - elle a crû que c'était des bonbons), fut poursuivit par une meute de loups-garous tentaculaires en rut conduite par un troll farceur qui n'avaient pas vu de jeunes vierges depuis des mois, avant de tomber sur un homme en cape noir qui lui proposa "de venir goûter avec nous cette bonne grosse glace salée", offre que bizarrement elle refusa.
Bref, après des jours et des jours à se prendre des branches dans la tronche et ainsi pourrir ses vêtements (en fait au final, elle était nue sous son trench ), elle arriva devant une chaumière. C'est la futur maison de tante-grand, avec des jouets aussi.
Mais pas les mêmes que d'habitude.
D'ailleurs devant cette maison, sept petits hommes (dont deux pour lequel on peut se poser des questions et deux aussi clairement féminins) en costard noir avec lunettes de soleil (même s'il fait sombre dans les bois, parce que ça donne plus huit en charisme même au dernier des pequenauds) étaient occupés à découper quelque chose.
Râleuse : Tiens-la, elle bouge encore cette conne.
Pénible : Ta gueule Râleuse.
Obsédé : Hey, découpez pas ça !
Malade : Arrête tu vas choper des maladies vénériennes.
Bourrée : Mais ... c'est rigolo ça rebondit !
Râleuse : Je savais bien que c'était des faux, c'est qu'un clone raté, il aime les contrefaçons.
Dépressif : Toute façon, personne m'aime.
Pénible : Va chier !
Dépressif : Toute façon, découper les gens, c'est triiiiiste ... et c'est moche !
Bourée : Chaussette ?
Gourmande : On peut la bouffer maintenant ?
Râleuse : Nan je vais la lui renvoyer en trois morceaux à ce connard de blond.
Pénible : Tout ça parce qu'il t'a largué ...
Râleuse : Il assumait pas !
Pénible : J'en connais un autre, je ne vise personne, suivez mon regard ...
Bourée : Chaussette ?
Obsédé : Je peux prendre l'autre côté alors ?
Gourmande : On a besoin de tout pour le râgout.
Malade : Je peux lui piquer sa peau ?
Râleuse : Quoi encore ?!
Malade : Bah chuis malade. *dit Malade*
Dépressif : Y a des gens qui arrivent, il va encore m'arriver des trucs ...
Pénible : Mais ta gueule ...
Dépressif : C'est du RP forcéeuh !
Bourée : Chaussette ?
Les sept nains levèrent le nez de leur ... boucherie ... repas ... don d'organes involontaire ... de ce qu'ils faisaient donc, pour apercevoir la Blanche-trench nimbée de sa tenue virginale. Blanche, impeccable. Et rien en-dessous. Surtout rien en-dessous.
Analyse de la situation :
Une jeune femme super bien foutue, vient d'arriver devant votre maison. Elles est nue sous son manteau, sans armes et non accompagnée, et ne semble pas dépasser les 5 en intelligence puisqu'elle n'a pas fui devant le corps découpé.
Vous êtes, vous, sept chacun avec son arme personnelle (lime, tronçonneuse, couteau de boucher, fourchette, scie, lames de rasoir, chaussette.) et conscients de la situation.
Que faîtes-vous ?
Six nains firent "Gollum". Le septième râla comme à son habitude.
Râleuse : J'aime pas les gonzesse !
Obsédé : Tu préfères les hommes ?
Râleuse : J'aime pas les hommes !
Pénible : Tu nous fais chier.
Râleuse : J'aime encore moins celle-là ! Elle m'a niqué au cours du jeu !
Malade : T'es hors-sujet.
Obsédé : Moi j'aimerai bien me faire niquer par une nana comme ça.
Bourée : Moi aussi.
Malade : Moi aussi.
Pénible : Moi aussi.
Dépressif : J'aime pas les filles non plus, les relations avec elles ça finit toujours mal
Pénible : T'as jamais essayé.
Malade : Dépressif, arrête de saouler, Dépressif, arrête de saouler !
Dépressif : Mais pourquoi c'est toujours moi ? C'est du RP forcé !
Râleuse : Mais quel chieur.
Gourmande : Vous croyez qu'elle est bonne ?
Obsédé : Moi je suis sûre qu'elle est bonne
Gourmande : Mais non, t'as rien compris !
Obsédé : Pourtant, enduite de chocolat ...
Gourmande : ...................................... à bien y réfléchir ...
Pénible : Hey, c'est moi qui passe en premier.
Râleuse : T'es vraiment pénible !
La princesse, serrant son manteau sur sa poitrine, dit alors d'une toute petite voix timide :
Blanche-trench : Heeuu ... bonjour, je ... je suis perdue et j'erre, seule, dans ces bois sinistres et lugubres, où j'ai été poursuivie par des monstres affreux et puis je me sens ... sale ! Vilaine ! Je pourrais utiliser votre salle de bains, s'il vous plaît ?
Pénible : Oh ouiiiiii !
Obsédé : Viens chercher bonheur dans notre maison, viens !
Gourmande : On pourra même te manger après ...
Malade : Non, on la mange pas, pas comme ça et pas tout de suite ...
Râleuse : Moi je veux PAS !!
Pénible : Mais tu fais vraiment chier !
Râleuse : J'veux la noyer ! CHAUSSETTE !!
Bourée : CHAUSSEEEEETTE !!!
Malade : Ils sont complètement malades *dit Malade*
Obsédé : Bon, on la monte ?
Bourée : Ouaaaaiiis, je serai plus la seule à être bourée !
Gourmande : Avec une sauce au chocolat, moi je dis ...
Râleuse : J'veux la noyer ! CHAUSS ...
Obsédé : Si tu la bourres d'Amour, peut-être qu'elle coulera ...
Dépressif : Moi de toute façon ...
Pénible : Toi tu te tais et tu remballes le matos.
Dépressif : Maiheu, c'est du RP forcé !
Six nains répondirent : Ta gueule !
Blanch-trench entra donc dans la chaumière en compagnie des nains, qui, très vite, lui apprirent les petits plaisirs simples de la vie. Comme le chant et la danse à l'horizontale. En biais aussi. De travers. A l'endroit et à l'envers. Les petits plaisirs seins-ples quoi. Seins-ples. Seins-ples. Calembour. Vous aller rigolez merde ?
Ahem.
Pendant ce temps, au château, Orochissamaru, son draco-Sasuke empaqueté sur le dos, revint voir la reine pour lui raconter que la princesse avait échappé à sa surveillance et s'était perdue dans les bois. Chose qu'elle prit plutôt bien, après trois heures de description du dressage du nouveau poke-bisho d'Orochissamaru (qui s'empressa d'aller retrouver le mestre Kabuto une fois sa besogne faîte, pour s'assurer qu'il ne lui manquait rien.).
C'est donc d'un pas léger que la Dame alla trouver son époux dans les caves royales pour lui annoncer la nouvelle.
La Dame : Mon époux, j'ai une sinistre nouvelle à vous annoncer.
Roi Hojo dit Jojo l'Alcoolo : Nyééé ? Ma bouteille est, hips!, vide ?
La Dame : Non, elle est encore pleine.
Jojo : J'm'en fous alors, hips!, ...
La Dame : Même si je vous annonce que votre fille s'est malheureusement perdue dans la forêt et est morte dans d'atroces souffrances ?
Jojo : Vous avez l'air, hips!, ravie en disant cela ma mie ...
La Dame : Oh ? *sourire innocent*
Jojo : Bon, elle est morte ... hey, ça veut, hips!, dire que je vais devoir accomplir, hips!, mes devoirs conjuguaux ?
La Dame : Non, pas la peine, j'ai de quoi vous remplacer dans mon lit.
Jojo : Tant mieux, j'ai un nouvel arrivage de liqueur, hips!, j'aurai, hips!, pas le temps ...
Séphy-Roshou- Floodeur en chef
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Re: Blanch-trench et les sept Gunz
par Séphy-Roshou Lun 25 Juin - 1:22
Pendant ce temps, dans la chaumière des nains, Blanch-trench s'habituait à sa nouvelle vie.
Pénible : Siiiiiiiiiiffler en découpaaaannnnt !
Blanche-trench : Pourquoi vous découpez cet homme ?
Râleuse : On t'en pose des questions nous ?
Blanche-trench : Pourquoi vous mettez ses membres dans ce coffre ?
Malade : C'est le travail, et j'ai besoin que de ses organes.
Blanche-trench : Pourquoi vous y ajoutez une carte "Bon baisers des sept Gunz" ?
Obsédé : C'est pour faire plus cute !
Râleur : T'es vraiment con !
Pénible : Tu vas la fermer et me passer cette scie à métaux ?
Blanche-trench : Pourquoi une scie à métaux ?
Gourmande : C'est plus pratique pour découper la boîte crânienne et retirer le cervelat pour en faire un met délicieux ...
Bourrée : Et pis il a des dents en or, avec ça on va acheter ... D'LA BIERE !!
Six nains firent : Ouais !!
Dépressif dit : J'ai l'alcool triste ...
Pénible : Si seulement il y avait que ça.
Râleuse : Moi je dis qu'il faut le noyer avec la grognasse ! CHAUSSETTE !!
Gourmande : Mais elle est top Blanch-trench, elle range la cuisine et fait la vaisselle.
Bourrée : Elle ramasse les bouteilles de bière vides et nettoie quand on dégueule.
Malade : Elle nettoie tout le sang qu'on ramène du travail, fait la lessive et le repassage.
Pénible : Elle se plaint jamais, quoi qu'on dise ou fasse, et elle jete même les cadavres.
Obsédé : Et surtout ...
Blanche-trench : J'ai perdu ma culotte !
Obsédé : On t'a déjà dit qu'ici elle te servirait à rien ...
Râleur : Ca n'empêche pas que c'est une connasse qui m'a baisé en pourrisant mon météore !
Pénible : T'es lourd, on t'a déjà dit que c'était pas dans le sujet de l'histoire.
Râleur : JE VEUX LA NOYER !! CHAUSSETTE !!
Pénible : Rah, mais va donc noyer Dépressif et tirer ton connard de blond, tu me gonfles ! On garde Blanche-trench, point !
Dépressif : Mais pourquoi c'est toujours moi ?
Pénible : Parce qu'on t'a pris avec nous uniquement par pitié.
Blanche-trench : Vous croyez qu'on peut attraper des petits animaux avec ce piège ?
Et les sept Gunz ne furent plus que six à dater de ce jour. Enfin jusqu'à ce qu'ils le raniment, quand ils se rendirent compte qu'ils n'auraient plus personne à frapper le dimanche.
Au château, cependant, l'humeur n'était pas au beau fixe ...
La Dame : QUOOOIIII ?!!!
Mir'IL : Non, maîtresseuh, non, pas la AAAAIIIIIIIE maîtresseeeuuuh, ça fait mal les brosses à cheveux en or massif ornées de rubis, j'y peux rien moi si elle vit encore, c'est la faute à Orochissamaru ! Sinon cette robe de velours carmin et lacets de cuir noir vous va bien ...
La Dame : BANDE DE CRETINS CONGENITAUX !!
Claquant la porte de ses appartements, la reine décida de s'en occuper personnellement. On est bien mieux servi par soi-même. Elle se rendit donc dans la tour nord du château, celle qu'on appelait la Tour Hurlante, à cause des salles de tortures et des laboratoires qu'elle abritait, afin de préparer de quoi mettre un terme aux jours de Blanch-trench. C'est dans cette tour d'ailleurs qu'oficiait Mestre Kabuto dit le Fourbe (ou Kabuchan pour les intimes), apprenti de feu Mestre Qyburn (mystérieusement décédé), qu'elle croisa justement.
Kabuto : Oh, Votre Grâce, que nous vaut le plaisir de votre présence dans ce sinistre endroit par une si belle journée ensolleilée ?
La Dame : Je déteste le soleil et je ne suis pas d'humeur à supporter tes manières doucereuses et ton petit air hypocrite, Kabuto.
Kabuto : Vous avez l'air contrariée.
La Dame : Et comment ! Tout est de la faute d'Orochissamaru !!
Kabuto : Il ne veut pas partager son draco-Sasuke ?
La Dame : Je me fiche de cette sardine sans expression ! C'est ma greluche de belle-fille toujours en vie qui me met en rage !
Kabuto : Ah, cette histoire de "qui est la plus belle". Je trouve ça d'une puérilité ...
La Dame : Je ne t'ai pas non plus autorisé à être condescendant avec moi *regard mauvais*
Kabuto : Pardonnez-moi ... *remonte ses lunettes*
La Dame : Comme il sonne faux ce "pardonnez-moi". Mais trève de bavardages. Je compte bien l'expédier moi-même dans la tombe. J'ai juste besoin de tes talents.
Kabuto : Lesquels ? *air sournois*
La Dame : Tes talents de fouine, je n'ai pas besoin de toi dans mon lit. Où est-elle ?
Kabuto : Hmmm, je ne sais pas, ce genre d'information, ça se négocie ...
La Dame : Ca dépend à combien tu estimes ta vie *sourire carnassier*
Kabuto : Chez les sept Gunz, dans la forêt de la Mort Lente.
La Dame : Elle a trouvé refuge chez des tueurs à gages ?!
Kabuto : Il faut croire que ses airs ingénus jouent en sa faveur ... et contre vous surtout ...
La Dame : ASSEZ !!
C'est de très fort méchante humeur que la Dame disparut dans une explosion de flammes vertes, pour apparaître devant la chaumière des sept Gunz, car elle était initiée aux arts noirs (comment croyez-vous qu'elle est devenue la sorcière dans la BABD des siècles plus tard ?).
Et c'est là qu'elle se rendit compte ...
La Dame : J'ai oublié ce que je voulais faire avant dans le laboratoire, et galère ...
Blanche-trench : Bonjour bonjour !
La Dame : Et meeerde, elle est là en plus ...
Blanche-trench : Que je suis contente de vous revoir belle-maman !
La Dame : Le plaisir n'est pas partagé.
Blanche-trench : Rentrez, on a plein de choses à se raconter !
La Dame : En premier lieu pourquoi tu es à poil sous ton trench, ça serait pas mal ...
Blanche-trench : Vous croyez qu'on peut attraper des petits animaux avec ce piège ?
La Dame : Avec ça t'as plus de chance d'en faire du hachis ... *dit-elle en voyant le piège-hachoir*
Blanche-trench : Où est-ce que je peux faire du shopping dans cette forêt ?
La Dame : Mais comment cette conne a fait pour survivre ici ?
Blanche-trench : Vous auriez du shampooing Loreliane ?
La Dame : Pourquoi ces tueurs à gages l'ont gardé avec eux ?
Blanche-trench : Aaah, on se sent bien au milieu de toute cette verdure, non ?
La Dame : Je crois que je viens de comprendre : c'est justement qu'elle est conne.
Blanche-trench : Vous savez où je pourrais acheter un ptit sac à main ?
La Dame : Raaaah tu vas la fermer !
Et c'est avec une absence totale de subtilité et de réflexion, que la reine se jeta sur la princesse pour l'étrangler.
Dans le même temps, les sept Gunz revenaient d'une dure journée de massacre, de meurtres et autres joyeusetés.
Sac-euh d'os, sac-euh d'os
Sac-euh d'os, sac-euh d'os
C'est lui qui nous suit au boulot
Bourré de guns et de couteaux
Tout ce qu'il faut pour les dégommer
Dans leur ventre on va les fourrer
Sac-euh d'os, sac-euh d'os
Sac-euh d'os, sac-euh d'os
A la scie on les a dépouillé d'leur peau
Parce qu'on trouvait ça rigolo
Puis pour le dîner on va les préparer
Et Blanch-trench on va la tirer
Sac-euh d'os, sac-eu ...
Râleuse : Arrête de chanter Bourée, tu me les brises.
Pénible : Briser quoi donc ? *air innocent*
Râleuse : Le matos dont se sert jamais Dépressif entre ses jambes ...
Dépressif : Mais pourquoi c'est toujours moi ?
Pénible : Parce que c'est vrai, hé hé.
Obsédé : Vous étiez pas obligés de les découper tout de suite !
Malade : Ecoute Obsédé, on t'a déjà dit qu'on voulait pas que tu refiles des vers à Blanch-trench, ça va la rendre malade *dit Malade*
Obsédé : Alors moi on m'empêche de tirer un ptit coup histoire de me détendre et Gourmande, elle, on lui laisse bouffer ses rognons au chocolat !
Gourmande : Tu peux crever pour que je t'en donne ...
Obsédé : Sans-coeur !
Gourmande : Frustré...
Obsédé : Ventre à pattes !
Gourmande : Queue sur pattes ...
Bourrée : Chaussette ?
Râleuse : Raaah fermez vos gueules, putain !
Malade : La prochaine fois t'auras qu'à emmener des capotes, Obsédé.
Bourrée : Hey les mecs, y a une nana qu'est en train d'étrangler Blanch-trench.
Pénible : Tu sais plus ce que tu vois, Bourrée.
Bourrée : Mais c'est vrai, elle a une robe, des cheveux argentés et une absence de poitrine !
Pénible : C'est un homme que tu décr ... attends, qui étrangle Blanch-trench ?
Alors que la Dame plongeait la tête de Blanch-trench dans un tonneau plein de tripes (les restes de la semaine), les sept nains dégainèrent leurs guns, des Jackal, Willis ... enfin, plus exactement, Gourmande finit tranquillement ses rognons, Obsédé boudait en se limant les ongles, Bourrée s'ouvrit une bière, Dépressif déprimait dans son coin en parlant avec un bonzaï, le bras de Malade tomba en lambeaux quand il voulut prendre son Jackal, il se mit donc à en chercher un dans leur sac de courses pour se le recoller ... au final, seul Pénible avait dégainé et armé son arme, alors que Râleuse s'entretenait posèment avec la Dame ...
La Dame : Non, JE vais la noyer !!
Râleuse : Non c'est MOI qui la noie !
La Dame : Non c'est moi !
Râleuse : Non moi !
La Dame : Moi !
Râleuse : Moi !
Pénible : Heeuu, je suis là ... youhooouu ... je vous menace, j'ai un gros calibre, très très très gros ... hey, s'vous plaît ... je peux vous tuer ... bordel de merde vous allez m'écouter ?!! Et qu'est-ce que vous glandez vous là derrière ?!
Obsédé : Bourrée et moi on se disait que Râleuse et cette nana devait être de la même famille
Bourrée : Ouais, carrément, ils râlent de la même façon, et ça expliquerait sa petite taille et son absence de poitrine ...
La Dame : Chuis pas petite !
Râleuse : Chuis pas son père !
Pénible : Bizarement, je crois que vous avez raison.
La Dame : Comment osez-vous ?! Je suis la Dame, reine de ce royaume, Maîtresse de la guilde des nécromanciens, Ecoutante de la Confrérie Noire, Soeur des Ombres, Reine des Poisons, Duchesse du neuvième enfer de Baator ... et maire d'un petit village sur la côte. C'est très joli au printemps, vous devriez y passer, c'est tout près d'ici, en passant par le Défilé de Deathwings ...
Pénible : Ouais ouais on a compris. Et après ?
La Dame : Je vais vous péter la gueule !
Aussi tôt dit, dix milles épées d'acier valyrien d'un noir sinistre en lévitation apparurent derrière la Dame et, d'un geste impérieux de sa main, se précipitèrent sur le nain Pénible. Mais celui-ci sortit alors sa seconde arme, le 454.Cassull, avec balles explosives 13 mm chemisée en argent de la cathédrale de Lanchester.
Pénible : Hey, mais j'ai pas mes lunettes jaunes !
La Dame : Et moi, j'ai pas mon armure en plates et lanières de cuir qui ne couvre rien mais donne +10 en charisme !
Pénible : T'en as bien besoin avec ton bonnet A, hé hé.
La Dame : Crevez bande de débiles !
Râleuse : Hey, on a rien à voir là-dedans ! Sauf Dépressif, il est fait pour ça.
Dépressif : Mais pourquoi c'est toujours ...
Tous : Ta gueule !
... reprenons.
Balles et lames sifflèrent dans les airs tels des funestes présages de mort, et se recontèrent en une terrible étreinte. De leurs baisers d'acier naquit d'immenses gerbes de flammes, calcinant l'orée des bois en une balafre fumante qui des siècles mettrait à se réparer, tandis que les deux belligérants semblaient pris de folie ; Ils paraient, esquivaient, attaquaient, contre-attaquaient sans relâche, avec toujours plus de violence et de rapidité.
Une balle finit par toucher l'épaule de la Dame, pulvérisant son bras en une giclée sanglante d'os et de chair, alors que dix épées valyriennes dans le ventre de Pénible se plantaient.
Et ils souriaient tous deux comme deux déments.
Malade : Vous trouvez pas qu'ils bourrinent un peu de la même manière ?
Râleuse : Hélas ...
Des ombres noires suintèrent de l'épaule pulverisée de l'argentée et reconstituèrent le membre arraché, tandis que le nain en costard retirait les épées de son ventre le plus naturellement du monde.
Pénible : Reprends tes cure-dents, planche à pain.
La Dame : Je vais te réduire en cendres, toi et tes petites moucheronnes, nabot.
Tendant son doigt vers le ciel, un cercle orné de runes occultes y apparut, et un dragon de lave sortit du vortex ainsi créé. La bête fondit sur le nain, gueule béante, vomissant des flammes puant le souffre et le sang. Pénible exécuta quelques signes de ses doigts, utilisant un doton no jutsu pour s'enfouir dans le sol, et ainsi esquiver l'attaque ... ce qui ne fut pas le cas de la chaumière, dont la moitué fut engloutit dans le déluge de feu.
Râleur : Putaaaaiiinnnn, boulets que vous êtes, vous avez touchés la maison !
Obsédé : Hmmm, c'est qu'elle est bien foutu malgré son manque de poitrine. J'aime beaucoup comment elle se penche pour invoquer des ombres pour les modeler à sa guise ...
Bourrée : Moi j'aimerai savoir pourquoi Pénible nous avait caché qu'il avait un jumeau ...
Malade : Ca, c'est parce que tu es bourrée, comme toujours.
Bourrée : Et la tronçonneuse qui sort de l'intérieur de la veste de Pénible ?
Malade : Aucune foutre idée, mais s'ils continuent à éparpiller les tripes du tonneau sur le sol, je vais être malade *dit Malade*
Gourmand : Noooooooooonnn je voulais faire une quiche pour ce soir !
Malade : Ca y est je suis malade *dit Malade* *part vomir*
Blanche-trench : Mais arrêtez-les, ils vont se faire mal !
Râleuse : S'ils pouvaient tous crever, ça me ferait vachement plaisir.
Obsédé : Hmmm et cette position lascive quand elle invoque ces gerbes de feu grégeois pour contrer les roquettes de bazooka de Pénible ... je me la taperai bien ...
Râleuse : Toi de toute façon tu te tapes tout ce qui bouge.
Obsédé : Et même ce qui ne bouge plus. Et puis, je connais le corps de Pénible de fond en combles ...
Râleuse : Mais arrête !
Gourmand : Hey à votre avis, s'ils restent des tripes en état, vous croyez qu'elles vont giller avec toutes ces explosions ? Il me reste de la sauce au chocolat dans le sac ...
Malade : Je crois que je vais être encore malade *dit Malade* *retourne vomir*
Blanche-trench : Par le pouvoir des aaaaarbres ! Je vous somme de cesser le combat !
Râleuse : Mais tu vas la fermer sombre conne !
Et Râleuse assoma Blanch-trench avec une batte de base-ball tout droit sortie du sac.
Pénible : Siiiiiiiiiiffler en découpaaaannnnt !
Blanche-trench : Pourquoi vous découpez cet homme ?
Râleuse : On t'en pose des questions nous ?
Blanche-trench : Pourquoi vous mettez ses membres dans ce coffre ?
Malade : C'est le travail, et j'ai besoin que de ses organes.
Blanche-trench : Pourquoi vous y ajoutez une carte "Bon baisers des sept Gunz" ?
Obsédé : C'est pour faire plus cute !
Râleur : T'es vraiment con !
Pénible : Tu vas la fermer et me passer cette scie à métaux ?
Blanche-trench : Pourquoi une scie à métaux ?
Gourmande : C'est plus pratique pour découper la boîte crânienne et retirer le cervelat pour en faire un met délicieux ...
Bourrée : Et pis il a des dents en or, avec ça on va acheter ... D'LA BIERE !!
Six nains firent : Ouais !!
Dépressif dit : J'ai l'alcool triste ...
Pénible : Si seulement il y avait que ça.
Râleuse : Moi je dis qu'il faut le noyer avec la grognasse ! CHAUSSETTE !!
Gourmande : Mais elle est top Blanch-trench, elle range la cuisine et fait la vaisselle.
Bourrée : Elle ramasse les bouteilles de bière vides et nettoie quand on dégueule.
Malade : Elle nettoie tout le sang qu'on ramène du travail, fait la lessive et le repassage.
Pénible : Elle se plaint jamais, quoi qu'on dise ou fasse, et elle jete même les cadavres.
Obsédé : Et surtout ...
Blanche-trench : J'ai perdu ma culotte !
Obsédé : On t'a déjà dit qu'ici elle te servirait à rien ...
Râleur : Ca n'empêche pas que c'est une connasse qui m'a baisé en pourrisant mon météore !
Pénible : T'es lourd, on t'a déjà dit que c'était pas dans le sujet de l'histoire.
Râleur : JE VEUX LA NOYER !! CHAUSSETTE !!
Pénible : Rah, mais va donc noyer Dépressif et tirer ton connard de blond, tu me gonfles ! On garde Blanche-trench, point !
Dépressif : Mais pourquoi c'est toujours moi ?
Pénible : Parce qu'on t'a pris avec nous uniquement par pitié.
Blanche-trench : Vous croyez qu'on peut attraper des petits animaux avec ce piège ?
Et les sept Gunz ne furent plus que six à dater de ce jour. Enfin jusqu'à ce qu'ils le raniment, quand ils se rendirent compte qu'ils n'auraient plus personne à frapper le dimanche.
Au château, cependant, l'humeur n'était pas au beau fixe ...
La Dame : QUOOOIIII ?!!!
Mir'IL : Non, maîtresseuh, non, pas la AAAAIIIIIIIE maîtresseeeuuuh, ça fait mal les brosses à cheveux en or massif ornées de rubis, j'y peux rien moi si elle vit encore, c'est la faute à Orochissamaru ! Sinon cette robe de velours carmin et lacets de cuir noir vous va bien ...
La Dame : BANDE DE CRETINS CONGENITAUX !!
Claquant la porte de ses appartements, la reine décida de s'en occuper personnellement. On est bien mieux servi par soi-même. Elle se rendit donc dans la tour nord du château, celle qu'on appelait la Tour Hurlante, à cause des salles de tortures et des laboratoires qu'elle abritait, afin de préparer de quoi mettre un terme aux jours de Blanch-trench. C'est dans cette tour d'ailleurs qu'oficiait Mestre Kabuto dit le Fourbe (ou Kabuchan pour les intimes), apprenti de feu Mestre Qyburn (mystérieusement décédé), qu'elle croisa justement.
Kabuto : Oh, Votre Grâce, que nous vaut le plaisir de votre présence dans ce sinistre endroit par une si belle journée ensolleilée ?
La Dame : Je déteste le soleil et je ne suis pas d'humeur à supporter tes manières doucereuses et ton petit air hypocrite, Kabuto.
Kabuto : Vous avez l'air contrariée.
La Dame : Et comment ! Tout est de la faute d'Orochissamaru !!
Kabuto : Il ne veut pas partager son draco-Sasuke ?
La Dame : Je me fiche de cette sardine sans expression ! C'est ma greluche de belle-fille toujours en vie qui me met en rage !
Kabuto : Ah, cette histoire de "qui est la plus belle". Je trouve ça d'une puérilité ...
La Dame : Je ne t'ai pas non plus autorisé à être condescendant avec moi *regard mauvais*
Kabuto : Pardonnez-moi ... *remonte ses lunettes*
La Dame : Comme il sonne faux ce "pardonnez-moi". Mais trève de bavardages. Je compte bien l'expédier moi-même dans la tombe. J'ai juste besoin de tes talents.
Kabuto : Lesquels ? *air sournois*
La Dame : Tes talents de fouine, je n'ai pas besoin de toi dans mon lit. Où est-elle ?
Kabuto : Hmmm, je ne sais pas, ce genre d'information, ça se négocie ...
La Dame : Ca dépend à combien tu estimes ta vie *sourire carnassier*
Kabuto : Chez les sept Gunz, dans la forêt de la Mort Lente.
La Dame : Elle a trouvé refuge chez des tueurs à gages ?!
Kabuto : Il faut croire que ses airs ingénus jouent en sa faveur ... et contre vous surtout ...
La Dame : ASSEZ !!
C'est de très fort méchante humeur que la Dame disparut dans une explosion de flammes vertes, pour apparaître devant la chaumière des sept Gunz, car elle était initiée aux arts noirs (comment croyez-vous qu'elle est devenue la sorcière dans la BABD des siècles plus tard ?).
Et c'est là qu'elle se rendit compte ...
La Dame : J'ai oublié ce que je voulais faire avant dans le laboratoire, et galère ...
Blanche-trench : Bonjour bonjour !
La Dame : Et meeerde, elle est là en plus ...
Blanche-trench : Que je suis contente de vous revoir belle-maman !
La Dame : Le plaisir n'est pas partagé.
Blanche-trench : Rentrez, on a plein de choses à se raconter !
La Dame : En premier lieu pourquoi tu es à poil sous ton trench, ça serait pas mal ...
Blanche-trench : Vous croyez qu'on peut attraper des petits animaux avec ce piège ?
La Dame : Avec ça t'as plus de chance d'en faire du hachis ... *dit-elle en voyant le piège-hachoir*
Blanche-trench : Où est-ce que je peux faire du shopping dans cette forêt ?
La Dame : Mais comment cette conne a fait pour survivre ici ?
Blanche-trench : Vous auriez du shampooing Loreliane ?
La Dame : Pourquoi ces tueurs à gages l'ont gardé avec eux ?
Blanche-trench : Aaah, on se sent bien au milieu de toute cette verdure, non ?
La Dame : Je crois que je viens de comprendre : c'est justement qu'elle est conne.
Blanche-trench : Vous savez où je pourrais acheter un ptit sac à main ?
La Dame : Raaaah tu vas la fermer !
Et c'est avec une absence totale de subtilité et de réflexion, que la reine se jeta sur la princesse pour l'étrangler.
Dans le même temps, les sept Gunz revenaient d'une dure journée de massacre, de meurtres et autres joyeusetés.
Sac-euh d'os, sac-euh d'os
Sac-euh d'os, sac-euh d'os
C'est lui qui nous suit au boulot
Bourré de guns et de couteaux
Tout ce qu'il faut pour les dégommer
Dans leur ventre on va les fourrer
Sac-euh d'os, sac-euh d'os
Sac-euh d'os, sac-euh d'os
A la scie on les a dépouillé d'leur peau
Parce qu'on trouvait ça rigolo
Puis pour le dîner on va les préparer
Et Blanch-trench on va la tirer
Sac-euh d'os, sac-eu ...
Râleuse : Arrête de chanter Bourée, tu me les brises.
Pénible : Briser quoi donc ? *air innocent*
Râleuse : Le matos dont se sert jamais Dépressif entre ses jambes ...
Dépressif : Mais pourquoi c'est toujours moi ?
Pénible : Parce que c'est vrai, hé hé.
Obsédé : Vous étiez pas obligés de les découper tout de suite !
Malade : Ecoute Obsédé, on t'a déjà dit qu'on voulait pas que tu refiles des vers à Blanch-trench, ça va la rendre malade *dit Malade*
Obsédé : Alors moi on m'empêche de tirer un ptit coup histoire de me détendre et Gourmande, elle, on lui laisse bouffer ses rognons au chocolat !
Gourmande : Tu peux crever pour que je t'en donne ...
Obsédé : Sans-coeur !
Gourmande : Frustré...
Obsédé : Ventre à pattes !
Gourmande : Queue sur pattes ...
Bourrée : Chaussette ?
Râleuse : Raaah fermez vos gueules, putain !
Malade : La prochaine fois t'auras qu'à emmener des capotes, Obsédé.
Bourrée : Hey les mecs, y a une nana qu'est en train d'étrangler Blanch-trench.
Pénible : Tu sais plus ce que tu vois, Bourrée.
Bourrée : Mais c'est vrai, elle a une robe, des cheveux argentés et une absence de poitrine !
Pénible : C'est un homme que tu décr ... attends, qui étrangle Blanch-trench ?
Alors que la Dame plongeait la tête de Blanch-trench dans un tonneau plein de tripes (les restes de la semaine), les sept nains dégainèrent leurs guns, des Jackal, Willis ... enfin, plus exactement, Gourmande finit tranquillement ses rognons, Obsédé boudait en se limant les ongles, Bourrée s'ouvrit une bière, Dépressif déprimait dans son coin en parlant avec un bonzaï, le bras de Malade tomba en lambeaux quand il voulut prendre son Jackal, il se mit donc à en chercher un dans leur sac de courses pour se le recoller ... au final, seul Pénible avait dégainé et armé son arme, alors que Râleuse s'entretenait posèment avec la Dame ...
La Dame : Non, JE vais la noyer !!
Râleuse : Non c'est MOI qui la noie !
La Dame : Non c'est moi !
Râleuse : Non moi !
La Dame : Moi !
Râleuse : Moi !
Pénible : Heeuu, je suis là ... youhooouu ... je vous menace, j'ai un gros calibre, très très très gros ... hey, s'vous plaît ... je peux vous tuer ... bordel de merde vous allez m'écouter ?!! Et qu'est-ce que vous glandez vous là derrière ?!
Obsédé : Bourrée et moi on se disait que Râleuse et cette nana devait être de la même famille
Bourrée : Ouais, carrément, ils râlent de la même façon, et ça expliquerait sa petite taille et son absence de poitrine ...
La Dame : Chuis pas petite !
Râleuse : Chuis pas son père !
Pénible : Bizarement, je crois que vous avez raison.
La Dame : Comment osez-vous ?! Je suis la Dame, reine de ce royaume, Maîtresse de la guilde des nécromanciens, Ecoutante de la Confrérie Noire, Soeur des Ombres, Reine des Poisons, Duchesse du neuvième enfer de Baator ... et maire d'un petit village sur la côte. C'est très joli au printemps, vous devriez y passer, c'est tout près d'ici, en passant par le Défilé de Deathwings ...
Pénible : Ouais ouais on a compris. Et après ?
La Dame : Je vais vous péter la gueule !
Aussi tôt dit, dix milles épées d'acier valyrien d'un noir sinistre en lévitation apparurent derrière la Dame et, d'un geste impérieux de sa main, se précipitèrent sur le nain Pénible. Mais celui-ci sortit alors sa seconde arme, le 454.Cassull, avec balles explosives 13 mm chemisée en argent de la cathédrale de Lanchester.
Pénible : Hey, mais j'ai pas mes lunettes jaunes !
La Dame : Et moi, j'ai pas mon armure en plates et lanières de cuir qui ne couvre rien mais donne +10 en charisme !
Pénible : T'en as bien besoin avec ton bonnet A, hé hé.
La Dame : Crevez bande de débiles !
Râleuse : Hey, on a rien à voir là-dedans ! Sauf Dépressif, il est fait pour ça.
Dépressif : Mais pourquoi c'est toujours ...
Tous : Ta gueule !
... reprenons.
Balles et lames sifflèrent dans les airs tels des funestes présages de mort, et se recontèrent en une terrible étreinte. De leurs baisers d'acier naquit d'immenses gerbes de flammes, calcinant l'orée des bois en une balafre fumante qui des siècles mettrait à se réparer, tandis que les deux belligérants semblaient pris de folie ; Ils paraient, esquivaient, attaquaient, contre-attaquaient sans relâche, avec toujours plus de violence et de rapidité.
Une balle finit par toucher l'épaule de la Dame, pulvérisant son bras en une giclée sanglante d'os et de chair, alors que dix épées valyriennes dans le ventre de Pénible se plantaient.
Et ils souriaient tous deux comme deux déments.
Malade : Vous trouvez pas qu'ils bourrinent un peu de la même manière ?
Râleuse : Hélas ...
Des ombres noires suintèrent de l'épaule pulverisée de l'argentée et reconstituèrent le membre arraché, tandis que le nain en costard retirait les épées de son ventre le plus naturellement du monde.
Pénible : Reprends tes cure-dents, planche à pain.
La Dame : Je vais te réduire en cendres, toi et tes petites moucheronnes, nabot.
Tendant son doigt vers le ciel, un cercle orné de runes occultes y apparut, et un dragon de lave sortit du vortex ainsi créé. La bête fondit sur le nain, gueule béante, vomissant des flammes puant le souffre et le sang. Pénible exécuta quelques signes de ses doigts, utilisant un doton no jutsu pour s'enfouir dans le sol, et ainsi esquiver l'attaque ... ce qui ne fut pas le cas de la chaumière, dont la moitué fut engloutit dans le déluge de feu.
Râleur : Putaaaaiiinnnn, boulets que vous êtes, vous avez touchés la maison !
Obsédé : Hmmm, c'est qu'elle est bien foutu malgré son manque de poitrine. J'aime beaucoup comment elle se penche pour invoquer des ombres pour les modeler à sa guise ...
Bourrée : Moi j'aimerai savoir pourquoi Pénible nous avait caché qu'il avait un jumeau ...
Malade : Ca, c'est parce que tu es bourrée, comme toujours.
Bourrée : Et la tronçonneuse qui sort de l'intérieur de la veste de Pénible ?
Malade : Aucune foutre idée, mais s'ils continuent à éparpiller les tripes du tonneau sur le sol, je vais être malade *dit Malade*
Gourmand : Noooooooooonnn je voulais faire une quiche pour ce soir !
Malade : Ca y est je suis malade *dit Malade* *part vomir*
Blanche-trench : Mais arrêtez-les, ils vont se faire mal !
Râleuse : S'ils pouvaient tous crever, ça me ferait vachement plaisir.
Obsédé : Hmmm et cette position lascive quand elle invoque ces gerbes de feu grégeois pour contrer les roquettes de bazooka de Pénible ... je me la taperai bien ...
Râleuse : Toi de toute façon tu te tapes tout ce qui bouge.
Obsédé : Et même ce qui ne bouge plus. Et puis, je connais le corps de Pénible de fond en combles ...
Râleuse : Mais arrête !
Gourmand : Hey à votre avis, s'ils restent des tripes en état, vous croyez qu'elles vont giller avec toutes ces explosions ? Il me reste de la sauce au chocolat dans le sac ...
Malade : Je crois que je vais être encore malade *dit Malade* *retourne vomir*
Blanche-trench : Par le pouvoir des aaaaarbres ! Je vous somme de cesser le combat !
Râleuse : Mais tu vas la fermer sombre conne !
Et Râleuse assoma Blanch-trench avec une batte de base-ball tout droit sortie du sac.
Séphy-Roshou- Floodeur en chef
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Re: Blanch-trench et les sept Gunz
par Séphy-Roshou Lun 25 Juin - 1:23
Pendant ce temps, le combat grosbillique se poursuivait.
La Dame venait de convoquer depuis l'Ether un serpent, haut comme une maison, ses écailles à la blancheur d'os miroitant à la lumière des décombres enflammés. Il s'enroula autour d'elle avec la souplesse de la soie, parant de son propre corps les tirs de la mitrailleuse lourde browning de calibre 50 en uranium appauvri de Pénible. Celui-ci, bien à l'abri dans un bunker invoqué grâce à un "bunker no jutsu", pouvait ajuster ses tirs avec précision, cherchant à atteindre les points vitaux de l'animal ethéré, mais il avait la peau dure.
La bête perdait pesque un morceau de chair à chaque impact de balle, les lambeaux se détachant dans un bruit écoeurant, mais il ne semblait pas s'en émouvoir, gardant l'immobilité d'une pierre. De derrière les anneaux gigantesques ensanglantés, la Dame lança une simple formule : "Overlord's Wrath !". Sept boules de feu de la taille d'une lune chacune embrasèrent le ciel, avant de venir s'écraser sur le bunker du petit homme. Le métal rougit, fondit, se tordit en d'absurdes formes de mains décharnées.
Le nain abandonna au métal en fusion sa mitrailleuse lourde, lança une grenade dégoupillée pour achever le bouclier vivant de la Dame. Le serpent d'Ether mourrut, explosa en une pluie de sang, mais un sang noir et corrosif comme de l'acide. Pénible se protégea alors derrière ... Dépressif, toujours causant à son bonzaï.
Dépressif : Mais pourquoi c'est toujoHYYAaAaaRGH !!
Râleuse : On a du champagne dans le sac pour fêter ça ?
Gourmand : Je sais pas, par contre, j'ai des brochettes.
Obsédé : Vous croyez que ... non c'est dégeulasse en fait. Pas avec lui.
Bourrée : En plus il aimait pas l'alcool.
Malade : Il aimait rien en fait, c'était juste un malade *dit Malade*
Dépressif : Mais ... mais non, je suis pas mort ! J'avais un point de destin !
Râleuse : Mais c'est pas vrai, c'est pire que la peste ce type !
La Dame apparut dans une nuée de plumes noires derrière le nain, un sabre à double lame à la main. Pénible bloqua l'arme de l'argentée en sortant une lance en bois blanc, veinée de rouge, de l'intérieur de sa veste.
La Dame : Pas mal, pour une moitié d'homme.
Pénible : Je pourrais dire la même chose que vous. Quoique faudrait que j'aille voir sous votre robe pour être certain, hé hé.
La Dame : Sur ta tombe, je veillerai à ce qu'on grave "Ci-git un nain à la trop grande gueule".
L'argentée lâcha alors son arme, en lançant une nouvelle formule, "Seven Sins!". Son sabre à double lame se multiplia alors, six nouvels exemplaires apparurent ... et ce fut comme contrôlé par des fils invisibles qu'ils fondirent de concert férailler avec la lance du nain. La Dame se porta en retrait, les bras levés au ciel, une sombre énergie l'entourant peu à peu, la cachant peu à peu des yeux de tous.
C'est à ce moment là qu'un homme blond (très blond, très très blond, avec des lunettes que toi t'aurais l'air d'une mouche mais lui il a classe) pointa le bout de son nez.
Cloud : Je suis le prince blanc, monté sur son fier destrier.
Râleuse : T'es fringué en noir et bleu, et t'es perché sur une moto, gros naze.
Cloud : Pourquoi il est toujours là pour me pourrir la vie lui ?
Râleuse : Dégage de là, tu nous gâches le paysage.
Bourrée : C'est normal que le ciel s'assombrisse ou c'est que je suis encore bourrée ?
Malade : Non, je crois que la Dame est en train d'invoquer quelque chose des cieux. Ca n'empêche pas que tu es encore bourée ...
Bourrée : Oups !
Gourmande : Quelqu'un aurait du pop corn ? J'ai fini mon paquet ...
Malade : C'était le cinquième giant !
Gourmande : Et alors ?
Obsédé : Hmmm c'est lui le connard de blond qu'évoquait souvent pénible ? Il est mignon ... vient t'installer sur mes genoux mon mignon ...
Cloud : Heeeuu, une autre fois je suis là pour récupérer la princesse.
Râleuse : Va chier, connard.
Cloud : Mais je ...
Râleuse : J'ai dis va chier, on regarde le combat !
Cloud : Mais je dois récupérer la princ ...
Râleuse : On s'en branle !
Obsédé : Ooooooh ?
Râleuse : Obsédé, garde tes mains dans tes poches ...
Obsédé : Je pourrais pas les mettre dans les tiennes plutôt ?
Râleuse : Non !
Obsédé : Allez, fais pas ton coincééé, c'est pas comme si c'était la première fois ...
Râleuse : Ca sera une fois de trop !
Cloud : Heu excusez-moi mais ...
Râleuse : Ta gueule !
Et Râleuse assoma aussi Cloud.
Pénible, pendant ce temps, s'était débarassé des lames de la Dame. Il se jeta sur l'obscurité qui contenait la Dame, mais sa lanche fut détourné comme par un champ de force invisible. Et à mesure que s'obscurcissait la sphère autour de l'argentée, plus le ciel devenait noir lui aussi, et la température augmentait sensiblement.
Pénible : Ca sent pas bon.
Râleuse : Moi je sais pourquoi, na na nère !
Pénible : Elle est où Blanche-trench qu'elle pourrisse ce météore-ci ?
Râleuse : Je l'ai assomé, hé hé !
Râleuse : Gros con de nain !
Pénible : Je m'en fous, je vais la noyer ! CHAUSSETTE !!
Pénible : On a plus le choix.
Cinq nains dirent : Qui ça on ?
Dépressif : Moi de toute façon, je sais qu'on va tous mourrir ...
Pénible : Il faut que nous nous combinions !
Obsédé : Oh ouiiii !
Râleuse : Obsédé, remonte-moi ce pantalon ...
Pénible : Raaaah, vos gueules et faîtes pareil ! HENSHIN !
Râleuse : Moi je participerai pas à une attaque de naze ! Je veux la noyer ! CHAUSSETTE !!
Ce fut donc accompagné de Malade, Bourrée, Obsédé et Gourmande que Pénible conduisit l'attaque sentaï. Tous se retrouvèrent vêtus de costume moulant en latex (Vert, Bleu, Rose, Jaune et Rouge) dans une orgie d'effets spéciaux trop la classe, avec fumées colorées et pose de la grue, puis sautèrent dans un mécha de nain géant avec des lunettes géantes en V et une longue écharpe blanche.
Obsédé : It's six majeen !
Râleuse : Il a pas put s'en empêcher, c'est pas vrai !
Pénible : Toi tu te tais, t'as pas voulu participer !
Râleuse : Pfff, je vais la noyer !
Malheureusement, il n'y avait pas de rivière pour noyer Blanche-trench. Râleuse en concut une grande frustration, et, pour se venger, emmena le Cloud assomé dans un buisson proche pour une séance de danse et de chant à l'horizontale.
Quel chanceux ce Cloud. Mais revenons au six majeen et ses cinq pilotes.
D'abord, ils utilisèrent leurs supers magical roquettes, mais elles n'effleurèrent même pas la sphère de ténèbres de la Dame. Ils passèrent donc au stade supérieur : les pringer rayons of love.
Pénible : Mais pourquoi "of love" ?
Obsédé : C'est plus cute !
Mais même ceci ne perça pas la défense de l'argentée. S'enchaîna les "grenades of temptation", le "vol de la grue par un mois de mai" (enchaînement de technique de corps à corps sur la pointe des pieds), le poirier japonais (cherchez pas), "Rose Screamer" (des roses-grenades créant un champ de pression autour de la cible), "lagalettedulundimatin" spéciale Bourrée, "Virus Intruders Spyware Trojans Aware" une tentative de contamination bio-informatique par Malade, le "Boomerang of amitié" utilisant les lunettes du mécha, la "Fièvre du samedi soir", une sorte de danse tribale utilisant l'écharpe géante pour ligoter l'adversaire, et pour finir le "Giga Salsifi launcher".
Râleuse : Hey j'étais pas dans le mécha, vous avez pas le droit d'utiliser mon attaque !
Mais rien de tout ceci n'eut l'effet escompté. Le ciel noir comme de l'encre prenait une teinte d'un rouge enflammé et la température devenait insupportable. L'arrivée du Météore de la Dame semblat désormais iminente.
Pénible : On ne peut pas abandonner !
Malade : On a plus d'attaque en stock.
Bourrée : Je peux essayer de quicher encore un coup ?
Malade : Sans façon ...
Gourmande : On peut essayer de manger le tout ...
Pénible : Non, il nous reste cette attaque.
Malade : Non pas celle-là tout de même ?!
Obsédé : Oh siiiii !
Pénible : Tais-toi Obsédé ...
Obsédé : Mais j'aime bien cette attaque moi !
Pénible : Nous allons réussir ! Par le pouvoir des aaaaarbres ! DAAAAAAAAAHHHH !! CHAUSSEEEEEEEEETTE !!!
Bourrée : Il a bu ?
Malade : Non, il est juste malade *dit Malade*
Effectivement, ils n'avaient pas utilisé le super gros canon entrejambiale de leur mécha (no comment.) dont l'attaque s'intitulait "Prends ma lumière !".
Cloud : Tifa, c'est toi ?
Râleuse : Tais-toi et avale.
... ahem.
Sept rayons des couleur de l'arc-en-ciel émergèrent du groooos canon du mécha, pour se rejoindre et se combiner afin de ne former plus qu'un trèèèèès gros rayon de lumière lumineuse blanche ... et épaisse. Le rayon toucha de plein fouet le bouclier de la Dame, des coulées de lumière giclèrent en tout sens.
Il y eut un instant de flottement, durant lequel on aurait pû entendre une mouche se jeter du haut d'un ravin ... quand le ciel retrouva une belle teinte azurée, l'obscurité autour de la Dame dissipée. Elle apparut, plus pâle qu'elle ne l'était déjà, chose que l'on n'aurait pas pû croire possible, une tête à faire peur à une porte de prison ... et trempée de la tête au pied.
La Dame : Je suis ... humiliée ... non, je suis trempée ... même les chaussettes ... et en plus ... ça colle, c'est tout poisseux, et gluant ... et puis ... *montant dans les aigus* je me suis cassé un ongle ...
Une mouche sauta du haut d'un ravin, et tous l'entendirent.
Pénible : ... nan, attendez, elle déconne là ?
Malade : Je crois que ... non.
Pénible : Son ongle. Elle a pété son ongle. Je dois rire ou pleurer ?
Obsédé : Arrête c'est affreux ce qui lui arrive, déjà qu'elle a pas de seins !
Gourmande : Les ongles c'est bien pour assaisonner les salades, avec des oignons ...
L'argentée fit alors quelque chose de très étrange : elle éclata en sanglots comme une petite fille. Obsédé se porta auprès d'elle pour la consoler, non san arrière-pensées osbcènes, tandis que Pénible faisait le compte des dégâts causés par la Dame pour lui remettre la facture. Bourrée alla se préparer de la sangrilla, ces aventures lui ayant donné soif, Gourmande se fit des brochettes de serpent grillé, et Malade se mit en route pour la clinique la plus proche.
Restait Blanche-trench, toujours dans les vapes, que tout le monde avait oublié.
Une silhouette féminine apparaut d'entre les arbres (ou plutôt, ce qu'il restait de la forêt calcinée, brûlée, atomisée, cratèrisée, etc ...).
Elle avait les cheveux mauves coupés courts, les yeux de même couleur, et portait un costume de Turks, plus deux uzis automatiques sous ses aisselles.
Omega : Hé hé, je savais bien que j'avais bien fait de les laisser se taper sur la gueule ...
Dépressif : Oh non encore une gonzesse ... je leur avais dit que ça apportait que des problèmes ... hey, t'aurais pas une enveloppe ?
Omega : Non, j'ai mieux.
Et elle déchargea ses deux chargeurs sur Dépressif, avant d'embarquer Blanche-trench sans autre forme de procès.
Beaucoup plus tard, une fois la Dame consolée par les sucettes d'Obsédé et ses dégâts réparés à coup de sorts de magie de création grosbillique (ça coûte moins cher que les dragons), et que les nains se retrouvèrent seuls, ils s'apperçurent de la disparition de la princesse en trench. Après moult râlements, en remplacement, il fut décidé que Cloud serait la nouvelle bonne des sept gunz. Pas de bol Cloud.
Omega emmena la princesse Blanch-trench dans le royaume voisin et l'épousa, où elles eurent six petites filles nymphomanes, nées de père inconnu (enfin, presque ...), donna naissance aux premiers membres de la future famille royale d'Ennetaï (mais ceci est une autre histoire pas très racontable sauf pour les grands enfants que nous sommes).
Epilogue : Que fit la Dame après cela ?
Et bien, en tout premier lieu, elle se porta devant son miroir magique par qui tout était arrivé grâce au forfait "Clafôteàfurry", et qui vibrait d'appréhension à son approche (il faut dire qu'elle avait une masse à pointes vorpale buveuse d'âmes +5 à la main).
La Dame : Mir'IL, j'ai deux mots à te dire ...
Mir'IL : Heu attendez, on peut peut-être discuter, asseyez-vous et on va en par ...
Le mirroir vola en éclats avant d'avoir fini sa phrase. La Dame se tourna alors vers son lit à baldaquin six places.
La Dame : Je te le demande à toi : Qui est la plus belle ?
Omega : Déshabille-toi et je te le dirai ...
Des liens très étroits naquirent entre la monarchie naissante d'Ennetaï et l'ancienne Valyria qui, après une grande période de conquête, deviendra le pays de Bonduelle, terre natale des plus féroces guerriers lapins du Multivers. La Dame disparaîtra mystérieusemnt au sommet de sa gloire. Mais ça c'est une autre histoire. Aquatique, cette fois. Aquatique. Ou ptête orientaliste.
~ Fin ~
Note de fin : Celui ou celle qui trouvera toutes les références aura le droit de ne pas apparaître dans le prochain conte.
Sinon, je nie toutes formes de craquage.
La Dame venait de convoquer depuis l'Ether un serpent, haut comme une maison, ses écailles à la blancheur d'os miroitant à la lumière des décombres enflammés. Il s'enroula autour d'elle avec la souplesse de la soie, parant de son propre corps les tirs de la mitrailleuse lourde browning de calibre 50 en uranium appauvri de Pénible. Celui-ci, bien à l'abri dans un bunker invoqué grâce à un "bunker no jutsu", pouvait ajuster ses tirs avec précision, cherchant à atteindre les points vitaux de l'animal ethéré, mais il avait la peau dure.
La bête perdait pesque un morceau de chair à chaque impact de balle, les lambeaux se détachant dans un bruit écoeurant, mais il ne semblait pas s'en émouvoir, gardant l'immobilité d'une pierre. De derrière les anneaux gigantesques ensanglantés, la Dame lança une simple formule : "Overlord's Wrath !". Sept boules de feu de la taille d'une lune chacune embrasèrent le ciel, avant de venir s'écraser sur le bunker du petit homme. Le métal rougit, fondit, se tordit en d'absurdes formes de mains décharnées.
Le nain abandonna au métal en fusion sa mitrailleuse lourde, lança une grenade dégoupillée pour achever le bouclier vivant de la Dame. Le serpent d'Ether mourrut, explosa en une pluie de sang, mais un sang noir et corrosif comme de l'acide. Pénible se protégea alors derrière ... Dépressif, toujours causant à son bonzaï.
Dépressif : Mais pourquoi c'est toujoHYYAaAaaRGH !!
Râleuse : On a du champagne dans le sac pour fêter ça ?
Gourmand : Je sais pas, par contre, j'ai des brochettes.
Obsédé : Vous croyez que ... non c'est dégeulasse en fait. Pas avec lui.
Bourrée : En plus il aimait pas l'alcool.
Malade : Il aimait rien en fait, c'était juste un malade *dit Malade*
Dépressif : Mais ... mais non, je suis pas mort ! J'avais un point de destin !
Râleuse : Mais c'est pas vrai, c'est pire que la peste ce type !
La Dame apparut dans une nuée de plumes noires derrière le nain, un sabre à double lame à la main. Pénible bloqua l'arme de l'argentée en sortant une lance en bois blanc, veinée de rouge, de l'intérieur de sa veste.
La Dame : Pas mal, pour une moitié d'homme.
Pénible : Je pourrais dire la même chose que vous. Quoique faudrait que j'aille voir sous votre robe pour être certain, hé hé.
La Dame : Sur ta tombe, je veillerai à ce qu'on grave "Ci-git un nain à la trop grande gueule".
L'argentée lâcha alors son arme, en lançant une nouvelle formule, "Seven Sins!". Son sabre à double lame se multiplia alors, six nouvels exemplaires apparurent ... et ce fut comme contrôlé par des fils invisibles qu'ils fondirent de concert férailler avec la lance du nain. La Dame se porta en retrait, les bras levés au ciel, une sombre énergie l'entourant peu à peu, la cachant peu à peu des yeux de tous.
C'est à ce moment là qu'un homme blond (très blond, très très blond, avec des lunettes que toi t'aurais l'air d'une mouche mais lui il a classe) pointa le bout de son nez.
Cloud : Je suis le prince blanc, monté sur son fier destrier.
Râleuse : T'es fringué en noir et bleu, et t'es perché sur une moto, gros naze.
Cloud : Pourquoi il est toujours là pour me pourrir la vie lui ?
Râleuse : Dégage de là, tu nous gâches le paysage.
Bourrée : C'est normal que le ciel s'assombrisse ou c'est que je suis encore bourrée ?
Malade : Non, je crois que la Dame est en train d'invoquer quelque chose des cieux. Ca n'empêche pas que tu es encore bourée ...
Bourrée : Oups !
Gourmande : Quelqu'un aurait du pop corn ? J'ai fini mon paquet ...
Malade : C'était le cinquième giant !
Gourmande : Et alors ?
Obsédé : Hmmm c'est lui le connard de blond qu'évoquait souvent pénible ? Il est mignon ... vient t'installer sur mes genoux mon mignon ...
Cloud : Heeeuu, une autre fois je suis là pour récupérer la princesse.
Râleuse : Va chier, connard.
Cloud : Mais je ...
Râleuse : J'ai dis va chier, on regarde le combat !
Cloud : Mais je dois récupérer la princ ...
Râleuse : On s'en branle !
Obsédé : Ooooooh ?
Râleuse : Obsédé, garde tes mains dans tes poches ...
Obsédé : Je pourrais pas les mettre dans les tiennes plutôt ?
Râleuse : Non !
Obsédé : Allez, fais pas ton coincééé, c'est pas comme si c'était la première fois ...
Râleuse : Ca sera une fois de trop !
Cloud : Heu excusez-moi mais ...
Râleuse : Ta gueule !
Et Râleuse assoma aussi Cloud.
Pénible, pendant ce temps, s'était débarassé des lames de la Dame. Il se jeta sur l'obscurité qui contenait la Dame, mais sa lanche fut détourné comme par un champ de force invisible. Et à mesure que s'obscurcissait la sphère autour de l'argentée, plus le ciel devenait noir lui aussi, et la température augmentait sensiblement.
Pénible : Ca sent pas bon.
Râleuse : Moi je sais pourquoi, na na nère !
Pénible : Elle est où Blanche-trench qu'elle pourrisse ce météore-ci ?
Râleuse : Je l'ai assomé, hé hé !
Râleuse : Gros con de nain !
Pénible : Je m'en fous, je vais la noyer ! CHAUSSETTE !!
Pénible : On a plus le choix.
Cinq nains dirent : Qui ça on ?
Dépressif : Moi de toute façon, je sais qu'on va tous mourrir ...
Pénible : Il faut que nous nous combinions !
Obsédé : Oh ouiiii !
Râleuse : Obsédé, remonte-moi ce pantalon ...
Pénible : Raaaah, vos gueules et faîtes pareil ! HENSHIN !
Râleuse : Moi je participerai pas à une attaque de naze ! Je veux la noyer ! CHAUSSETTE !!
Ce fut donc accompagné de Malade, Bourrée, Obsédé et Gourmande que Pénible conduisit l'attaque sentaï. Tous se retrouvèrent vêtus de costume moulant en latex (Vert, Bleu, Rose, Jaune et Rouge) dans une orgie d'effets spéciaux trop la classe, avec fumées colorées et pose de la grue, puis sautèrent dans un mécha de nain géant avec des lunettes géantes en V et une longue écharpe blanche.
Obsédé : It's six majeen !
Râleuse : Il a pas put s'en empêcher, c'est pas vrai !
Pénible : Toi tu te tais, t'as pas voulu participer !
Râleuse : Pfff, je vais la noyer !
Malheureusement, il n'y avait pas de rivière pour noyer Blanche-trench. Râleuse en concut une grande frustration, et, pour se venger, emmena le Cloud assomé dans un buisson proche pour une séance de danse et de chant à l'horizontale.
Quel chanceux ce Cloud. Mais revenons au six majeen et ses cinq pilotes.
D'abord, ils utilisèrent leurs supers magical roquettes, mais elles n'effleurèrent même pas la sphère de ténèbres de la Dame. Ils passèrent donc au stade supérieur : les pringer rayons of love.
Pénible : Mais pourquoi "of love" ?
Obsédé : C'est plus cute !
Mais même ceci ne perça pas la défense de l'argentée. S'enchaîna les "grenades of temptation", le "vol de la grue par un mois de mai" (enchaînement de technique de corps à corps sur la pointe des pieds), le poirier japonais (cherchez pas), "Rose Screamer" (des roses-grenades créant un champ de pression autour de la cible), "lagalettedulundimatin" spéciale Bourrée, "Virus Intruders Spyware Trojans Aware" une tentative de contamination bio-informatique par Malade, le "Boomerang of amitié" utilisant les lunettes du mécha, la "Fièvre du samedi soir", une sorte de danse tribale utilisant l'écharpe géante pour ligoter l'adversaire, et pour finir le "Giga Salsifi launcher".
Râleuse : Hey j'étais pas dans le mécha, vous avez pas le droit d'utiliser mon attaque !
Mais rien de tout ceci n'eut l'effet escompté. Le ciel noir comme de l'encre prenait une teinte d'un rouge enflammé et la température devenait insupportable. L'arrivée du Météore de la Dame semblat désormais iminente.
Pénible : On ne peut pas abandonner !
Malade : On a plus d'attaque en stock.
Bourrée : Je peux essayer de quicher encore un coup ?
Malade : Sans façon ...
Gourmande : On peut essayer de manger le tout ...
Pénible : Non, il nous reste cette attaque.
Malade : Non pas celle-là tout de même ?!
Obsédé : Oh siiiii !
Pénible : Tais-toi Obsédé ...
Obsédé : Mais j'aime bien cette attaque moi !
Pénible : Nous allons réussir ! Par le pouvoir des aaaaarbres ! DAAAAAAAAAHHHH !! CHAUSSEEEEEEEEETTE !!!
Bourrée : Il a bu ?
Malade : Non, il est juste malade *dit Malade*
Effectivement, ils n'avaient pas utilisé le super gros canon entrejambiale de leur mécha (no comment.) dont l'attaque s'intitulait "Prends ma lumière !".
Cloud : Tifa, c'est toi ?
Râleuse : Tais-toi et avale.
... ahem.
Sept rayons des couleur de l'arc-en-ciel émergèrent du groooos canon du mécha, pour se rejoindre et se combiner afin de ne former plus qu'un trèèèèès gros rayon de lumière lumineuse blanche ... et épaisse. Le rayon toucha de plein fouet le bouclier de la Dame, des coulées de lumière giclèrent en tout sens.
Il y eut un instant de flottement, durant lequel on aurait pû entendre une mouche se jeter du haut d'un ravin ... quand le ciel retrouva une belle teinte azurée, l'obscurité autour de la Dame dissipée. Elle apparut, plus pâle qu'elle ne l'était déjà, chose que l'on n'aurait pas pû croire possible, une tête à faire peur à une porte de prison ... et trempée de la tête au pied.
La Dame : Je suis ... humiliée ... non, je suis trempée ... même les chaussettes ... et en plus ... ça colle, c'est tout poisseux, et gluant ... et puis ... *montant dans les aigus* je me suis cassé un ongle ...
Une mouche sauta du haut d'un ravin, et tous l'entendirent.
Pénible : ... nan, attendez, elle déconne là ?
Malade : Je crois que ... non.
Pénible : Son ongle. Elle a pété son ongle. Je dois rire ou pleurer ?
Obsédé : Arrête c'est affreux ce qui lui arrive, déjà qu'elle a pas de seins !
Gourmande : Les ongles c'est bien pour assaisonner les salades, avec des oignons ...
L'argentée fit alors quelque chose de très étrange : elle éclata en sanglots comme une petite fille. Obsédé se porta auprès d'elle pour la consoler, non san arrière-pensées osbcènes, tandis que Pénible faisait le compte des dégâts causés par la Dame pour lui remettre la facture. Bourrée alla se préparer de la sangrilla, ces aventures lui ayant donné soif, Gourmande se fit des brochettes de serpent grillé, et Malade se mit en route pour la clinique la plus proche.
Restait Blanche-trench, toujours dans les vapes, que tout le monde avait oublié.
Une silhouette féminine apparaut d'entre les arbres (ou plutôt, ce qu'il restait de la forêt calcinée, brûlée, atomisée, cratèrisée, etc ...).
Elle avait les cheveux mauves coupés courts, les yeux de même couleur, et portait un costume de Turks, plus deux uzis automatiques sous ses aisselles.
Omega : Hé hé, je savais bien que j'avais bien fait de les laisser se taper sur la gueule ...
Dépressif : Oh non encore une gonzesse ... je leur avais dit que ça apportait que des problèmes ... hey, t'aurais pas une enveloppe ?
Omega : Non, j'ai mieux.
Et elle déchargea ses deux chargeurs sur Dépressif, avant d'embarquer Blanche-trench sans autre forme de procès.
Beaucoup plus tard, une fois la Dame consolée par les sucettes d'Obsédé et ses dégâts réparés à coup de sorts de magie de création grosbillique (ça coûte moins cher que les dragons), et que les nains se retrouvèrent seuls, ils s'apperçurent de la disparition de la princesse en trench. Après moult râlements, en remplacement, il fut décidé que Cloud serait la nouvelle bonne des sept gunz. Pas de bol Cloud.
Omega emmena la princesse Blanch-trench dans le royaume voisin et l'épousa, où elles eurent six petites filles nymphomanes, nées de père inconnu (enfin, presque ...), donna naissance aux premiers membres de la future famille royale d'Ennetaï (mais ceci est une autre histoire pas très racontable sauf pour les grands enfants que nous sommes).
Epilogue : Que fit la Dame après cela ?
Et bien, en tout premier lieu, elle se porta devant son miroir magique par qui tout était arrivé grâce au forfait "Clafôteàfurry", et qui vibrait d'appréhension à son approche (il faut dire qu'elle avait une masse à pointes vorpale buveuse d'âmes +5 à la main).
La Dame : Mir'IL, j'ai deux mots à te dire ...
Mir'IL : Heu attendez, on peut peut-être discuter, asseyez-vous et on va en par ...
Le mirroir vola en éclats avant d'avoir fini sa phrase. La Dame se tourna alors vers son lit à baldaquin six places.
La Dame : Je te le demande à toi : Qui est la plus belle ?
Omega : Déshabille-toi et je te le dirai ...
Des liens très étroits naquirent entre la monarchie naissante d'Ennetaï et l'ancienne Valyria qui, après une grande période de conquête, deviendra le pays de Bonduelle, terre natale des plus féroces guerriers lapins du Multivers. La Dame disparaîtra mystérieusemnt au sommet de sa gloire. Mais ça c'est une autre histoire. Aquatique, cette fois. Aquatique. Ou ptête orientaliste.
~ Fin ~
Note de fin : Celui ou celle qui trouvera toutes les références aura le droit de ne pas apparaître dans le prochain conte.
Sinon, je nie toutes formes de craquage.
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Re: Blanch-trench et les sept Gunz
par IL Lun 25 Juin - 3:21
Alors il y a du digaea, du drakengard , FF7 evidement, du Naruto et quelques autres dont je suis pas sur en tout cas elles sont bien utilisées 
Sinon j'adore le combat bien grobillesque de La dame mais ça 
(Pauvre miroir quand même XD )
Sinon j'adore le combat bien grobillesque de La dame mais ça (Pauvre miroir quand même XD )
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Re: Blanch-trench et les sept Gunz
par K-ro Lun 25 Juin - 14:14
Par le pouvoir des aaaaarbres !
>_____<
>_____<
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Re: Blanch-trench et les sept Gunz
par Lady Omega Lun 25 Juin - 16:13
Y'en a au moins deux, je paris ma chemise que personne ne va les trouver.
*Sourire en coin*
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Re: Blanch-trench et les sept Gunz
par K-ro Lun 25 Juin - 18:18
Tu es donc en train de nous dire que SR a rajouté des références impossible à trouver pour être sûre de n'avoir personne ne pouvant pas apparaître dans le prochain.. ahem... "conte"...
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Re: Blanch-trench et les sept Gunz
par Séphy-Roshou Lun 25 Juin - 18:49
Une référence c'est subtil, on vous le jette pas en pleine face ...
IL, tes propositions sont ...
REJETE.
Et pas un poil de Drakengard *sourire félin*
Il y en a neuf ou dix en tout. Y en a deux déjà tellement grosses que je me demande comment vous ne les avez pas vu. (ou pas encore citées)
Et sinon, oui, y en a deux que vous ne trouverez jamais ... bouhahahaha !
IL, tes propositions sont ...
REJETE.
Et pas un poil de Drakengard *sourire félin*
Il y en a neuf ou dix en tout. Y en a deux déjà tellement grosses que je me demande comment vous ne les avez pas vu. (ou pas encore citées)
Et sinon, oui, y en a deux que vous ne trouverez jamais ... bouhahahaha !
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Re: Blanch-trench et les sept Gunz
par K-ro Lun 25 Juin - 19:07
c'est vrai, IL n'a même pas parlé du CHAUSSETTE!
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Re: Blanch-trench et les sept Gunz
par Séphy-Roshou Lun 25 Juin - 19:10
Une référence c'est subtil, on vous le jette pas en pleine face ...
Donc ...
REJETE ! *tend la main façon Franziska*
SLASH! *coup de fouet*
C'est bien ma fille ... *donne un macaron*
J'ai fait le compte des références. En vérité, le compteur a été explosé. Il y a 20 catégories (jeux, romans, sagas MP3, émissions, films, etc), le but du jeu étant de trouver le ou les détails (objets, répliques, autres) appartenant à la catégorie.
Dans ces 20 catégories, j'ai quand même compté Disgaea et FF7, mais bon, c'est gros quoi ... ça vaut que des demi-point on dira (tout le monde peut trouver ça).
Amusez-vous les enfants. *sourire de T-rex*
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Re: Blanch-trench et les sept Gunz
par Gorgon_Roo Lun 25 Juin - 23:04
C'est moi le dépressif ?
Le coup du "rp forcé" me donne la puce à l'oreille, hum.
Enfin, ça me rassure, j'avais peur de ne pas faire parti de l'intrigue.
Le coup du "rp forcé" me donne la puce à l'oreille, hum.
Enfin, ça me rassure, j'avais peur de ne pas faire parti de l'intrigue.
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Re: Blanch-trench et les sept Gunz
par squallgofsc Lun 25 Juin - 23:32
bon, dans les plus visibles, il y a trois tonnes de naruto, blanche-neige, donjon de naheulbeuk (CHAUSETTES), FFVII, la moitié du fofo, disagea.
Pour el reste, a relire a tête reposée
sinon, me suis bien marré^^
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Re: Blanch-trench et les sept Gunz
par Séphy-Roshou Lun 25 Juin - 23:45
Trois tonnes de Naruto, heu, à part pour caser quelques rôles, pas tant que ça ...
Et bon sang, y a pas que chaussette qui vient de Naheulbeuk ! Êtes-vous geeks or not ?!
Et bon sang, y a pas que chaussette qui vient de Naheulbeuk ! Êtes-vous geeks or not ?!
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Re: Blanch-trench et les sept Gunz
par K-ro Mar 26 Juin - 0:14
Ben non, il y a aussi Loreliane pour naheulbeuk...
Sinon il y a du trône de fer aussi évidemment (pauvre Qyburn)...
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Re: Blanch-trench et les sept Gunz
par Séphy-Roshou Mar 26 Juin - 0:51
OUI TRONE DE FER.
*K-ro gagne 10 points pour avoir ouvert une porte*
Il y a plus subtil que Qyburn. Trois choses.
Pour Naheulbeuk, oui Loreliane ... mais que ça, hé hé hé ...
Edit : IL > Death Note > Précise, tu brûles peut-être sur une piste là ...
*K-ro gagne 10 points pour avoir ouvert une porte*
Il y a plus subtil que Qyburn. Trois choses.
Pour Naheulbeuk, oui Loreliane ... mais que ça, hé hé hé ...
Edit : IL > Death Note > Précise, tu brûles peut-être sur une piste là ...
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Re: Blanch-trench et les sept Gunz
par Gorgon_Roo Mar 26 Juin - 3:12
Hojo dit Jojo l'alcoolo qui boit tellement qu'il est devenu barjo et qui aime les côtes du chartreux, ça vient de Banal Fantasy 1, ça.
C'était gros, ça aussi.
Je vais peut-être chercher loin, mais la reine qui casse un vase, ça me rappelle un sketch des Inconnus. ("Non, tu peux pas me comprendre ! TU PEUX PAS M'COMPRENDRE !" *Bruit de vase qu'on éclate*)
C'était gros, ça aussi.
Je vais peut-être chercher loin, mais la reine qui casse un vase, ça me rappelle un sketch des Inconnus. ("Non, tu peux pas me comprendre ! TU PEUX PAS M'COMPRENDRE !" *Bruit de vase qu'on éclate*)
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Re: Blanch-trench et les sept Gunz
par IL Mar 26 Juin - 3:15
Pour le vase sa me rappel aussi pas mal Asterix et Cleopatre
Sinon Death note oui le coup des chaussettes me rappel un fabuleux roman photo que votre personne avait faite
Sinon Death note oui le coup des chaussettes me rappel un fabuleux roman photo que votre personne avait faite
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Re: Blanch-trench et les sept Gunz
par Nina Mar 26 Juin - 10:55
Raaah, moi, j'ai pas le droit de participer (en plus, je suis dans le casting du prochain T______T)
*va finir de peindre son elfette ailée pour se consoler*
(VEUUUUUUX PAS FAIRE LE CRABE :'( )
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Re: Blanch-trench et les sept Gunz
par Lady Omega Mar 26 Juin - 11:30
T'as une chance d'y échapper, sur les trois choix possible, Nina.
Moi, je suis baisé, je serais dans les trois.
^^;;
Moi, je suis baisé, je serais dans les trois.
^^;;
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Re: Blanch-trench et les sept Gunz
par Séphy-Roshou Mar 26 Juin - 13:40
Ouais, j'ai baisé mon oncle !
....
Quoi, vous devriez avoir l'habitude, avec tout ce qu'on raconte ...
Aradin me tente de plus en plus ... mais bon, herr petite zirène quoi ...
IL > Validé les deux, tu gagnes, 10 points (pour chaque)
Gorgon > Jojo, je valide, mais comme c'était gros, que 5, donc (je ne compte pas les inconnus, c'était effectivement Astérix et Cléopâtre)
K-ro > 15 points aussi (parce que trouvé le TDF, et Loreliane)
Mais ils vous en manque PLEIN
*rire machiavélique*
....
Quoi, vous devriez avoir l'habitude, avec tout ce qu'on raconte ...
Aradin me tente de plus en plus ... mais bon, herr petite zirène quoi ...
IL > Validé les deux, tu gagnes, 10 points (pour chaque)
Gorgon > Jojo, je valide, mais comme c'était gros, que 5, donc (je ne compte pas les inconnus, c'était effectivement Astérix et Cléopâtre)
K-ro > 15 points aussi (parce que trouvé le TDF, et Loreliane)
Mais ils vous en manque PLEIN
*rire machiavélique*
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Re: Blanch-trench et les sept Gunz
par Gorgon_Roo Mar 26 Juin - 14:15
Blanch-trench : Ooooohh une fleur ! *air béat*
Ca vient aussi de Banal Fantasy => Tifolle en extase devant la fleur tendue de Crad.
Mais, vu que Jojo a déjà été signalé, je me demande si ça compte.
Malade : T'es hors-sujet.
=> Un cul-te sein-ple ?Les petits plaisirs seins-ples quoi. Seins-ples. Seins-ples.
Reflets d'acide ?
Une pub pourrie pour un téléphone portable ?Obsédé : Viens chercher bonheur dans notre maison, viens !
Dépressif déprimait dans son coin en parlant avec un bonzaï
Cowboy Bebop, lorsque Jet ingurgite des champignons hallucinogènes et se met à philosopher avec des bonsaï..?
dix milles épées d'acier valyrien d'un noir sinistre en lévitation apparurent derrière la Dame et, d'un geste impérieux de sa main, se précipitèrent sur le nain Pénible.
Devil May cry, une des attaques d'Angelo ?
Blanche-trench
Référence à Magnum et son Trench-coat noir ?
Ce fut donc accompagné de Malade, Bourrée, Obsédé et Gourmande que Pénible conduisit l'attaque sentaï. Tous se retrouvèrent vêtus de costume moulant en latex (Vert, Bleu, Rose, Jaune et Rouge)
Bioman ?
le poirier japonais
Je vois que Banal fantasy est plus utilisé que jamais ici.
Par extension, ici, c'est aussi Souht Park.
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Re: Blanch-trench et les sept Gunz
par K-ro Mar 26 Juin - 14:53
Séphy-Roshou a écrit:Mais ils vous en manque PLEIN
C'est peut-être parce qu'on a envie de participer au prochain?
Et puis, moi j'aimais bien, mon rôle dans celui-ci...
Kefka: Parce que tu te gavais de chocolat...
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Re: Blanch-trench et les sept Gunz
par Lady Omega Mar 26 Juin - 15:52
Alors, pour ceux dont je suis sur :
Rien à voir.
Ca, c'est ce que j'appel un beau fumble.
Même joueur, essaie encore.
Rien à voir. Coincidence tout au plus.
Malade : T'es hors-sujet.=> Un cul-te sein-ple ?Les petits plaisirs seins-ples quoi. Seins-ples. Seins-ples.
Reflets d'acide ?
Rien à voir.
dix milles épées d'acier valyrien d'un noir sinistre en lévitation apparurent derrière la Dame et, d'un geste impérieux de sa main, se précipitèrent sur le nain Pénible.
Devil May cry, une des attaques d'Angelo ?
Ca, c'est ce que j'appel un beau fumble.
Blanche-trench
Référence à Magnum et son Trench-coat noir ?
Même joueur, essaie encore.
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Je vois que Banal fantasy est plus utilisé que jamais ici.
Par extension, ici, c'est aussi Souht Park.
Rien à voir. Coincidence tout au plus.
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