Le grand concours! *musique des césars*

J'ai deux choix : Soit je termine rapidement la fic à l'arrache et me justifie comme quoi c'est parce que de toute manière c'était la fin du concours, et que j'ai encore plein de fics à réécrire
Soit je termine bien la fic pour le prestige et me tape la honte de toute façon pour le retard.

....
Bon je prend vingt minutes et .....

Une histoire pas comme les autres. Enfin presque pas. (pas envie de me creuser la tête pour un titre)

Il était une fois… En fait, ça s’était déjà passé deux fois. Ou même trois. A vrai dire, la formule il était une fois est peut être un abus de langage, quoiqu’il en soit, il était quelque fois un petit animal, très mignon, et très aimable, toujours adoré par tous ses petits camarades de la jungle tropicale, puisqu’il était le seul écureuil qui eût trois têtes et qui sût si bien écouter ses amis lorsqu’ils lui contaient amour, gloire, beauté, et beaux pères méchants. Ce petit animal répondait au doux nom d’Hector, puisqu’il était capable de déchiqueter en morceaux quiconque l’appelait d’un autre nom, ou même surnom. On en déduisit qu’il devait se nommer Hector. Mais là n’était pas le problème. Hector venait d’avoir à peine cinq ans, l’âge de la raison chez les écureuils à trois têtes, pour peu que cette race existât, et il souffrait d’un affreux mal être. Car comment, se demandait-il, oui, comment, pouvait-il exister des animaux méchants, comme l’assurait son meilleur ami Valboun le crocodile, qui étaient capables des pires sournoiseries pour séparer deux êtres qui s’aimaient tendrement, tels le crocodile et sa douce aimée l’anguille des fonds amazoniens ? Même s’ils jouaient beaucoup au chat et à la souris n’était-ce pas la meilleure manière de s’aimer que de se mordre jusqu’au sang ? Du moins c’était ce qu’Hector croyait. Ainsi, il s’engagea dans une quête épique pour sauver le monde des beaux pères trop ennuyeux et pas drôles.

Hector décida de quitter un bien tôt matin le fin fond de la brousse brésilienne, il y rencontra ses amis auxquels il conta sa folle entreprise et tous sans exception l’encouragèrent vivement, notamment ceux qui n’aimaient pas trop leurs beaux-parents, sans pour autant faire le moindre geste qui eût pu l’aider dans ce voyage aux dimensions démesurées. La première tête d’Hector lui souffla qu’ils avaient sans doute d’autres femelles à aimer, une tâche beaucoup plus importante que la sienne, c’est pourquoi il ne s’en soucia point et continua sa route hors de la jungle et des marais trompeurs, et rejoignit en toute illégalité le Mexique rien qu’en sautant d’arbres en arbres, puis de flaques en flaques jusqu’au désert nord-mexicain. Il y rencontra un serpent qui tenta de l’avaler tout rond avant de prendre une noix carnivore entre les crocs. L’instant fut propice et étant le seul animal qu’Hector avait rencontré depuis le début de son voyage de trois heures, celui-ci avisa le moment et jugea qu’il était opportun de lui poser le problème qui l’avait emmené à voyager.
« -Dis moi, toi, Serpent du désert, sais-tu donc ce qu’est un beau-père ? »
Le serpent dans un premier temps tenta une réponse mais s’étouffa bientôt avec la noix dont l’ouverture remplie de dents laissait présager le pire. L’écureuil à trois têtes retira son arme de la gueule de l’autre animal et rangea le fruit sorti des pires films d’horreur de séries B dans sa poche. Le serpent éructa alors avec rage.
« -Les beaux-pères moi c’que j’en pense ?
-Non, si tu savais ce que c’est, corrigea l’écureuil en le coupant.
-Pour sûr que j’le sais, rétorqua le serpent. Le beau-père, c’est l’gars l’plus chiant sur Terre qu’tu puisses imaginer, p’tit gars. T’vois, j’d’vais m’marier, entre nous, l’gaillard avait déjà trois ans, et bah son père m’a bien envoyée b’lader, t’sais ? T’imagines ça à trois ans un beau cobra bien fort, bon gaillard, qu’a se cherchait une donzelle, j’viens comme ça sur le vif, j’lui dis « OUI ! » au mariage, la vie commune t’sais bien, j’rêve que d’ça comm’ toutes les pauvr’ serpents d’ce coin là et paf ! V’là c’paternel gênant qu’a rien à fout’ là. Et t’sais quoi en fait ? En fait, c’te gaillard là, son père j’te dis pô, il était d’un taré ! L’voulait pô l’lâcher, t’comprends ? C’était à s’demander s’il l’était pô gay en fait. Parce que j’peux t’le dire, j’en ai connu des belles cobrettes, pas tant qu’moi, mais ça s’vaut. Bah j’te l’dis, l’paternel les a toutes envoyer b’lader les unes après les autr’ puis l’a séquestré d’son trou !
-Vos jeunes amies ? intervint l’écureuil interloqué après une si grande tirade de son ex-prédatrice.
-Pire ! D’son fils, l’a foutu dans leur trou et l’a plus laissé r’ssortir ! On l’a plus jamais r’vu c’type, c’tait un sacré beau gosse, que’ gâchis j’te dis !
-Alors finalement ce cobra ne vous a jamais épousée ?
-Jama’ ! répéta la serpente. »
Elle s’enroula sur elle-même et enfouit sa tête au creux de son corps tapi.
« -C’tait du beau gâchis, j’te dis.
-Il n’a jamais été votre beau-père finalement alors, son père ?
-Na’.
-Ah c’est dommage, conclut l’écureuil à trois têtes avec regret. J’aurais bien voulu savoir votre opinion des beaux-pères. »
La femelle soupira d’une si grande bêtise et ne répondit pas. L’écureuil s’assit sur le rocher d’où il avait attaqué celle-ci avec son arme fatale, et commença à songer à voix haute.
« -Voyez-vous, j’ai des amis très chers en Amazonie, et ils souffrent de mauvais traitements de leurs beaux-pères, comme mon ami le crocodile Valboun, qui fut torturé par son beau-père après son mariage avec l’anguille des fonds. Aujourd’hui encore il souffre d’une haine atroce de sa part. Il ne manque jamais de se faire jeter du poison aux yeux dès qu’il franchit le seuil de leur demeure pour chercher son épouse, qu’il n’a finalement jamais vue depuis les noces.
-T’y étais à c’te noce ? demanda à tout hasard le serpent.
-Non, je n’ai malheureusement pu, j’étais en période d’hibernation amazonienne. Je ne reçus l’invitation que trop tard.
-C’te dommage. J’aurais b’en aimé qu’tu m’racontes un’ noce.
-J’aurais aimé aussi, soupira l’écureuil. »
Et ils restèrent là, en plein désert, dans un silence glacial sous les tropiques, à contempler le ciel, songeurs aux merveilles qu’ils n’avaient pu voir. Soudain l’écureuil à trois têtes sauta promptement sur le sol, et réveilla le serpent qui entre temps s’était endormi.
« -Ecoutez moi, amie serpente ! J’ai une fabuleuse idée ! Savez-vous que je cherche à éradiquer la méchanceté des beaux-pères sur Terre ? En cherchant à les comprendre puis à les vaincre, nous pourrions assister à de belles noces si vous me suiviez dans mon voyage ! »
L’animal le regarda avec toute la tristesse du monde qu’on eût pu rassembler en une décennie lorsque les gens contemplaient la bêtise de l’humanité. Puis se dit que finalement cela ne serait pas tellement mal de voyager avec un compagnon aussi aimable et prêt à servir en cas de besoin. Elle accepta et il lui demanda son nom.
« -Mequesse, c’mon nom. Et toi c’est quoi qu’tu t’appelles ?
-Hector. Je vous aurais bien serré la main si seulement j’avais pu, pardonnez moi si la plaisanterie est mal venue. »
Et Mequesse se dit alors que si elle avait eu des mains, elle eut pu se frapper le front devant autant de stupidité malgré la présence de trois têtes, qui ne devait pas contenir grand chose de plus d’un grain de sable en guise d’amas de neurones.

Ainsi les deux animaux se mirent en quête d’autres animaux pour les questionner sur leur avis à propos du comportement des beaux-pères. Les uns leur firent des récits qui leur paraissaient similaires à celui du pauvre Valboun, d’autres identiques à quelques points près à celui de la malheureuse Mequesse, à tel point qu’Hector se demanda souvent s’ils n’avaient pas copié l’aventure de cette serpente dans un état pourtant bien douloureux. Et il ne manqua d’ailleurs pas de le signaler aux animaux en question pour leur intimer de ne pas accroître la douleur de sa compagne de route, à grands renforts de noix carnivores parfois, afin de les faire jurer. La vie n’était pas facile dans le voyage. Ils atteignirent le Nord des Etats-Unis, où ils croisèrent alors un loup, aux abords de grands lacs bleu glace, d’une étendue immense, si particulier qu’Hector qui n’avait jamais pu contempler ce genre de paysages, en fut tout troublé par ses trois paires d’yeux.
« -C’te truc t’e ! L’a failli nous bouffer et te v’la qu’tu mates les lacs, tu t’crois dans un vieux cont’ d’fées ? s’énerva la serpente en crachant du venin sur le loup qui hurlait de douleur, une noix carnivore accrochée à sa patte arrière droite. »
Hector s’arracha à sa contemplation avec tristesse et guérit le loup de sa blessure en appelant la noix qui sauta joyeusement dans sa poche, les crocs pleins de sang de loup. Ce dernier tenta alors de s’enfuir, mais avant qu’il n’eût pu faire un pas, il fut arrêté par Mequesse, enserrée autour de la patte encore souffrante.
« -T’vas pas p’rtir comme ça après avoir f’illi nous assassiner ! T’nous dois qu’que chose !
Le loup implora le pardon et Hector le pardonna en lui imposant de répondre à sa question sur les beaux-pères. Le prédateur blessé à la patte droite et dans son amour propre s’assit sur le côté et le supplia de jurer de ne pas relancer une noix sur lui lorsqu’il lui conterait son avis.
« -Voilà ce que je pense des beaux-pères, répondit le loup. Je suis un beau-père. »
Mequesse cria d’horreur à cette révélation qui aurait pu ne pas être aussi choquante si elle n’avait pas cru que tous les beaux pères étaient d’immondes êtres presque aussi humains que les chasseurs sadiques. Mais Hector avait promis, et une parole d’écureuil à trois têtes était une parole sans faille, il resta sur place et écouta le récit du loup tandis que Mequesse poussait un râle de détresse et s’éloignait.
« -J’ai été père d’une toute petite louveteaude, si vous saviez combien je l’ai chérie ! Ses frères étaient d’un naturel turbulent et son comportement sage la mettait tellement au dessus d’eux ! Elle me rappelait moi quand j’étais tout jeune. J’aimais contempler les arbres, elle aussi, j’aimais profiter du bonheur simple de me baigner dans les lacs, elle de même. J’ai tellement aimé ma toute petite fille, mais elle partit de notre clan… elle disparut. Je n’avais jamais été chef du groupe de loups, et je me faisais souvent martyriser par mes semblables, je ne compris jamais son départ. Jusqu’au jour où elle revint avec le fils du chef lui-même, je me fis verbalement injurier. Qu’auriez vous attendu comme réaction de moi ?
-C’simple, répondit Mequesse. Que t’l’envoies paîtr’ ! Ca s’fait bien pô d’inj’rier l’gens com’ça !
-Grand Dieu, non ! Vous vous doutez bien que je n’en aurais pas été capable. Ce jeune futur chef n’hésita pas à revenir toutes les semaines, à se pavaner, à vanter ses qualités par rapport à moi devant mon unique petite fille adorée, tandis que mes propres fils jacassaient à mon sujet. Vous devez comprendre ma honte. Pourtant on me demanda d’aller prouver ma puissance en chassant. Je n’avais jamais chassé de ma vie, ma chère compagne l’avait toujours fait pour moi, en me commandant de garder les enfants, elle nous ramenait toujours viande en abondance. J’entrepris de venir rôder à ces abords dans l’espoir de croiser un lapin mort ou un cerf achevé, du moins des restes de gibiers des chasseurs des environs. Cent fois je faillis être atteint par les balles d’argent de ces prédateurs, cent fois je les évitai de ma rapidité hors du commun. Mais j’avoue que tenaillé par la honte devant ma chère fille, je voulus vous attaquer pour en faire reconnaître ma force à ce fier loup chanteur. Ainsi je vous prie d’accepter toutes mes excuses, et vous prier de bien vouloir me croire : être beau-père n’est pas tellement un beau travail.
-Nous n’avons jamais dit le contraire, répliqua Hector. Mais vous me troublez très cher ami loup. Je suis en effet venu en ces lieux pour éradiquer les comportements mal venus des beaux-pères, cependant vous n’en avez point envers votre gendre. Je vous prierai donc de n’en avoir pour personne d’autre non plus, voici ma seule requête. Pouvez vous me l’assurer ?
-Bien évidemment. »

A partir de ce jour, Hector comprit le fonctionnement des beaux-pères. Il se mit alors à prêcher à travers les différentes parties de l’Amérique à tous les animaux masculins à ne pas haïr ni leur gendre, ni leur prochain d’ailleurs, du moment que ce n’était pas en tant que beau-père, ils auraient pu faire tout ce qu’ils voulaient, mais tant que cela avait trait à l’époux ou l’épouse de leur progéniture, ils se devaient de ne pas lui témoigner de haine. Mequesse avoua la stupidité de la chose sans hésitation mais aimait tant la détermination du jeune écureuil qui avait entrepris cette quête impossible au service unique de l’amitié de ses amis de l’Amazonie. Mais le jour où elle voulut lui avouer ces sentiments qu’elle aurait préféré se cacher, arriva le grand Mal de la Terre, qui lui aussi avait ouï parler d’Hector, l’écureuil à trois têtes qui prêchait et réussissait surtout, à convertir des beaux-pères par milliers à ne plus détester leurs brus ou leurs gendres, en tout cas pas en tant que beaux-pères, par des techniques des plus efficaces. En effet, il allait jusqu’à s’installer dans l’habitat des animaux qui s’intéressaient à ses paroles de bienfaisance et appuyait chaque parole de l’enfant qui défendait son époux, tout en s’opposant fermement à chaque parole de rage du père. Ce faisant, pendant des mois durant, le père devenait finalement le plus aimable des beaux-pères.
Mais vint le grand Mal. Et vint le Grand Mal. Et arriva le Grand Mâle, tout droit de l’Europe, il était envoyé par l’Esprit du Chaos des couples mariés. Le Grand Beau Père fut le début d’un cauchemar qui commença tout juste avec les sentiments de la pauvre Mequesse.

Alors qu’Hector avait décidé le blocus d’un terrier de lapins dont le chef de famille (qui pourtant n’était pas un représentant de la race lapine) qui lui même avait décidé d’ennuyer les jeunes époux jusqu’à épuisement de la patience du gendre et de sa propre fille, et des enfants plus que turbulents qui échappaient au contrôle et du père, et du grand père et même d’Hector, qui de toute manière ne s’en souciait guère, puisqu’il était là pour le beau-père, débarqua sur ces entrefaites un individu de forte corpulence, qui se déplaçait difficilement en haletant comme un certain loup fatigué d’être poursuivi par un gendre maso. Hector, très diplomate, salua l’inconnu qui avait pourtant brisé le blocus du terrier, et qui permit aux jeunes couples de s’échapper, tandis que l’écureuil continuait de menacer son « disciple », comme il l’affirmait, de sa noix carnivore.
« -Bonjour ! Que nous vaut l’honneur d’une visite ? demanda l’écureuil d’un ton jovial. Vous attendiez quelqu’un, ajouta-t-il dans un grand sourire en direction du beau-père qui pestait contre la fuite de sa fille et du maudit lapin. »
L’individu s’appuya contre un mur, la respiration sifflante, à tel point qu’il aurait pu faire peur à un phoque asthmatique. Alors que la noix sautillait pour mieux considérer l’inconnu d’un coup de dents, elle fut écrasée violemment et laissa échapper une longue plainte grinçante. Les six yeux d’Hector s’en agrandirent d’horreur, dans une hébétitude digne de celle d’un écureuil qui venait de voir ses meilleurs amis disparaître sous les énorme pieds énormes d’un ornithorynque.
« -Tu es Hector, l’écureuil à trois têtes ? grogna la bête.
-C’est moi, répondit celui-ci, les têtes hautes et les yeux brillants d’orgueil.
-Tu commences à ennuyer le monde avec tes paroles à la noix carnivore ! Laisse le monde des beaux-pères en paix !
-Qui êtes vous pour me donner des ordres ? rétorqua Hector.
-Je suis… ton père.
-Et ma mère est chanteuse de cabaret à Rio de Janeiro, je suis au courant, et alors ?
-Alors tu dois m’obéir, lança le vieil animal tout en se courbant pour reprendre son souffle. »
Alors que son vieux père tentait de respirer, Hector lui lança une tape formidable dans le dos qui faillit lui faire cracher ses poumons si seulement ce fichu bec ne les avait pas coincés. L’animal toussota et tenta de se redresser.
« -ça c’est pour avoir abandonné Maman dans un bar minable au Brésil ! »

Pendant ce temps Méquesse qui attendait des nouvelles de l’écureuil, comme tous les jours lorsque le soleil était au zénith à jouer de la guitare en passant pour un aveugle avec ses lunettes noires, elle s’inquiéta de ne pas le voir revenir du terrier. Elle risqua un œil à l’intérieur pour tenter de comprendre pourquoi il avait du retard et s’écarta juste à temps pour éviter un ornithorynque géant qui vola, malgré l’absence de membres qui aient pu ressembler à des ailes, à deux mètres derrière elle. La serpente s’éloigna pour se cacher derrière un bosquet d’arbres alors qu’Hector poursuivait l’autre animal avec ses noix meurtrières.
« -Attend, attend ! supplia ce dernier. Je ne suis pas ton père ! Je suis juste l’esprit du Grand Beau Père !
-Peu m’importe qui vous êtes, vous prétendez être mon père vous devez donc payer pour porter ce titre !
-Ce n’est pas un titre, protesta l’ornithorynque. Je veux que tu cesses d’importuner les beaux-pères, alors que tu sais que les beaux-enfants ne valent pas mieux !
-Les beaux enfants ont au moins la prétention de faire la fierté des beaux-parents en leur donnant un beau mariage, répondit placidement l’écureuil.
-En attendant, les beaux-parents allongent aussi la monnaie pour le mariage en question. »
Hector, surpris, s’arrêta net dans la discussion et se mit à réfléchir, ses trois cerveaux en ébullition. Son adversaire par contre, n’hésita pas à le frapper sans aucune réflexion et le coup de palme phénoménal éjecta l’écureuil vers d’autres cieux, là où il aurait plus de chance, vers les étoiles qui ne se marient pas et s’entendent toutes très bien.

Méquesse hurla à ce spectacle affreux qui lui avait enlevé son aimé et se jeta à corps perdu dans une lutte qui était perdue d’avance, et voulut empoisonner l’assassin de celui qui avait enfin pu lui faire oublier ses mauvais souvenirs du mariage. L’ornithorynque, qui était certes puissant et violent, mais n’en était pas moins un père, lui intima de s’arrêter gentiment, et lui demanda pourquoi tant de haine. Elle lui retourna la question.
« -Parce que, comprends tu, mon enfant, l’existence même d’un individu tel que lui menaçait la Terre ! Il risquait de rendre les beaux-pères tendres, les gendres mauvais, les enfants irrespectueux : Comprends tu le désastre ? Peut être même que les gendres iraient jusqu’à torturer les beaux-pères le jour du mariage en refusant pour mieux les faire souffrir d’avoir accepté dans la tourmente un mariage qu’ils ne désiraient pas. C’eût été terrible. Sa mort était nécessaire, conclut-il sur un ton mélodramatique, mais assuré. »
La serpente renifla et lui avoua qu’elle n’avait pas compris. L’ornithorynque sans nom soupira et écrasa une noix carnivore avant qu’elle n’ait fini de digérer sa palme arrière droite. Comment lui faire comprendre qu’un auteur en avait eu marre d’écrire les aventures d’un écureuil ridicule sans aucun autre but qu’un concours fermé avant l’heure, l’avait envoyé détruire la source de la future plus grosse bêtise de l’histoire de l’écriture qui était un héros imbécile et sans honte de ses trois tête ? Comment lui expliquer qu’il venait de sauver le monde et des paraboles sans sens d’un écureuil à six yeux et d’un avenir incertain pour les concours à thèmes ouverts ? A vrai dire, il ne savait pas vraiment, et il décida de l’adopter pour se faire pardonner ce qu’elle accepta avec joie, puisque les serpents oubliaient finalement vite après qu’on leur ait donné de quoi manger et de quoi jouer…

THE END

*fini de lire* Bon...
1) Le monde, là, il est pas sauvé d'une fin affreuse... (grande question philosophique, les beau-pères sont-ils une menace?)
2) Ouais! L'écureuil à trois têtes!! ^^
3) Euuuuh.. AA'? Tu sais... je t'aime bien... On est amie... mais.... Je crois.. enfin, je me disais... il est peut-être temps.. que tu ailles voir un psy, non?... Même deux, en fait.

*hurle de rage au mot de psy et se met à frapper Kefka parce qu'elle ne peut pas taper K-ro*
Tu crois que le coup de la carotte était plus dangereuse qu'un beau-père ?
En plus, j'ai prévenu que j'allais finir la fic dans un truc pas terrible parce que fin du concours.... ^o^

KILL PSY !

K-ro: Mouais... son comportement montre bien qu'elle est mal dans sa peau.
Kefka: A *BAM!* qui *BAM!* le *BAM!* dis *BAM!* tu! *BAM!* AA' *BAM!* tu *BAM!*voudrais *BAM!* bien *BAM!* arrêter *BAM!* de *BAM!* me taper la tête contre les murs!! *BAM!**BAM!**BAM!* Aieuuuu. T_T
AA': Nan!

*tend une batte de baseball cloutée a AA'*

Juste pour le cas ou le mur finirais par céder

*l'attrape et lance Squall contre le mur avec* *CRAC* Ah oui, il a cédé ^o^

K-ro, Maître, Généralissime, je te jure que je n'ai pas besoin de Psy !!

Ben alors... c'est quoi ton obsession des beaux-pères?

Est-ce que j'ai une telle obséssion, moi, heiN ?
Non !

*colle une baffe à Magnum*

Absolument pas !

*Colle un coup de hache à Magnum*

Aïe-eeuh!

Faites comme moi: débrouillez-vous pour coucher avec une orpheline!

Ouais;.. c'est vrai...

*Arme le fusils à pompe*