Traumenschar: Les Bonus du Dvd.

TRAUMENSCHAR








ÉPISODE 0 :
LES BONUS DU DVD.



1. Le Pourquoi du Comment.

...ou Comment tenir plus de trois cents pages sur une idée de base qui n’avait rien à voir avec l’actuelle fiction qui vous est présentée.

Au départ, je veux dire, au tout départ, il y a donc un peu plus d’un an, j’assistais à la décrépitude d’un forum qui m’avait accueilli les bras fermés. Ce forum, c’était Traumen. Si je voulais vraiment, je pourrais débuter cette introduction aux Bonus du Dvd par le récit de mon arrivée sur ce forum, voire même par l’explication de mon accès tardif sur Internet. Mais tout le monde s’en fout, moi compris, alors je passe directement à ce qui concerne le sujet de toutes discussions dans les milieu Webbaire : Traumenschar.

(Comment ça, j’ai les chevilles qui enflent ?)

L’idée de départ m’est apparue vers Septembre ou Octobre 2004. Je passais sur Traumen depuis Juin, et déjà ce milieu me plaisait. Étant un écrivain amateur, constamment en proie à des idées nouvelles débarquant du ciel, je me suis éveillé un matin en songeant à ce point de départ : Séphy-Roshou (qui passait à l’époque souvent) disparaissait et des Trauméniens partaient à sa recherche. Au tout début, je comptais utiliser simplement le monde virtuel comme cadre pour mes aventures, mais en y réfléchissant, une histoire plus vaste s’est formée en prenant en compte le monde réel.

Traumenschar était en route.

Le délire de Viper Dragoon sur Traumen, nommé il me semble Hinnatack, a été un des éléments déclencheur. Puisque des histoires sont si facilement créées en un rien de temps, pourquoi pas moi ! De plus, je voyais que les récits un tant soit peu structurés étaient appréciés, que les histoires partaient en vrille rapidement et étaient (relativement) peu floodées, et que l’univers des fics me tentait. Autre élément déclencheur : Traumen’s Life, de IL, bien évidemment. Comment ne pas citer cette œuvre ? Mais n’en déplaise à certains, Traumenschar n’a pas été fait pour concurrencer ce symbole mais pour tenter de rétablir une cohérence dans un forum qui se tordait de douleur.

J’en reviens à mon idée de départ, lorsque j’ai rédigé les premières lignes d’une fic qui deviendra rapidement un passe-temps, puis un bouffe-temps : J’avais prévu de faire mes petits groupes qui partiraient donc dans les mondes des morts à la recherche de Séphy-Roshou. J’avais d’ores et déjà la fin en tête, même si aujourd’hui je me demande si je vais pouvoir l’appliquer sans faire grincer des dents.

Des délires étaient donc prévus, plutôt que l’ambiance sérieuse qui se dégage des chapitres actuels. Je voulais faire plus de n’importe quoi, plus de situations loufoques, de pouvoirs grosbills et autres folies furieuses. Mais je me suis laissé entraîner dans une histoire qui, après tout, s’envolait de ses propres ailes sans que j’aie mon mot à dire. C’est ainsi que Serge Thourn, mon personnage de commissaire de précédentes fictions, repartait à la chasse au François. C’est ainsi que des traîtres firent leur apparition. C’est ainsi que Mistrophera devint un méchant. Etc.

Et pour une fic qui ne devait pas dépasser les six mois, huit tout au plus (c’était ce qui était initialement prévu), je me retrouve avec trois cents soixante-six pages, presque un million de caractères, et un scénario développé mais loin d’être achevé. Cinquante deux semaines de Traumenschar, un chapitre par semaine. Eh oui, Traumenschar a un an aujourd’hui, jour pour jour. Il y a un an je postais sur Traumen, Eltanin et le forum de Séphy-Roshou, Manoir Compagnie, le premier chapitre de Traumenschar et j’attendais, anxieux, vos réactions. À l’époque, les seules personnes ayant lu au préalable les lignes mises en ligne le six novembre 2004 étaient peu nombreuses : Squall, Draco (mon frère) et DragonNoir, je crois, étaient les seuls à avoir eu une avant première.

J’en profite pour remercier Squall qui m’a poussé à reprendre ma fic depuis le départ, alors qu’un virus en avait effacé le premier jet (trois chapitres, tout de même). J’étais abattu et je ne comptais pas m’y remettre, et il a su finalement me pousser à retenter l’expérience. On peut donc dire que c’est grâce à lui que l’aventure a pu se continuer jusqu’à aujourd’hui.

C’est donc ainsi que j’entamais mon plus long récit depuis mes débuts d’auteurs en 2000 (où ma plus longue nouvelle ne faisait qu’une centaine de pages, soit l’équivalent du chapitre cinq ou du six) et que je mettais, semaines après semaines, ma prose sur les trois forums précités. Bien des choses se sont passées en un an : Fin de Traumen (qui m’a également fait perdre l’inspiration, et toute l’avance que je comptais depuis le départ), diverses brouilles entre membres sur lesquelles je ne m’étendrai pas, divers retards dus à ma paresse, ma fatigue ou à d’autres éléments perturbateurs (amis, sorties, jeux en ligne…).

Suivant ce que je lis, ce que je regarde, ce que je vis, mon écriture se retrouve parfois influencée par des éléments extérieurs. L’exemple le plus valable est certainement l’épisode six qui a été écrit suite au visionnage de la série Gungrave, et présente un développement similaire : Un immense flash-back dont on ne comprend le rapport avec le reste que bien après. D’autres exemples sont facilement discernables, surtout dans le style de narration. J’ai repris une écriture à la Stephen King en me replongeant dans les tomes de la Tour Sombre, j’ai recommencé à délirer lorsque je me suis mis à lire du Terry Pratchett. Et c’est sans compter les dizaines, les centaines d’influences diverses, d’idées qui me viennent en regardant un film, en lisant, en parlant.

Je m’étais dis : Une page ! Ne t’étends pas trop ! Une page ! Ne déverse pas des centaines de phrases sans sens et sans intérêt pour les autres ! Fais court ! N’ennuie pas le lecteur avec des conneries de détails ! Ne déblatère pas pendant des heures ! Et puis voilà, j’ai quasiment terminé ma seconde page Word. Youpi.

Où en suis-je aujourd’hui ?
Deux forums, Eltanin et la narmée n’à K-Ro, où Traumenschar est posté régulièrement (ou presque). Des critiques et commentaires parfois pertinents, parfois non (DragonNoir et Lord Delacroix sont ceux qui disent en manger moins, c’est pour ça qu’ils en parlent le plus !). Un correcteur attitré en la personne de Night-Beast, qui a la patience et le courage de prendre le temps de relire mes chapitres truffés de fautes et de relever mes erreurs. Trois drogués qui me harcèlent via divers moyens de pressions : Le Ionisateur Fou par MSN (si je n’ai pas mon ‘Salutations’ quotidien, je pleure), Gorgon_Roo qui m’a légué une partie de son sous pseudo en dédicace (merci à toi) et Hilde qui me menace par téléphone, par mails, partout et tout le temps (mais j’aime ça.). Bien sûr, je ne compte pas non plus ceux qui suivent toutes les semaines ma fic et que je remercie grandement.

Où en est-on aujourd’hui ?
Bien loin de mon idée de départ. Mes personnages sont confrontés non seulement à la visite des mondes de l’au-delà, mais également à un policier hargneux et ivre de vengeance et à un psychopathe mégalomane et (malheureusement) puissant. Des traîtres sont dans les rangs et, même si certains sont démasqués, il en reste encore peut-être dans le quartier général des « troupes du rêve ». Des membres du forum sont aux mains de Mistrophera, d’autres sont perdus entre les mondes, et des changements sont encore à venir. Mais que devient Séphy-Roshou dans tout ça ? Comment est-elle morte ? Est-ce que Mistrophera l’a récupéré ? Est-ce que Thourn va réellement poser problème ? Pourquoi Sylvain Detroit ne se rebelle-t-il pas contre son commissaire ? Tant de questions qui restent sans réponses…

Mais alors la question est : Où va-t-on ?
Eh bien nous allons vers une deuxième année de Traumenschar. Ceux qui me demandent quand Traumenschar va se terminer n’obtiennent de réponse qu’un ‘Chais pô.’ évasif. Je sais que j’ai encore deux ou trois épisodes en réserve. Je compte donc, au minimum, une dizaine d’épisode en tout et pour tout. Mais comment vous dire avec assurance qu’il n’y en aura pas un peu plus ? Je pense qu’on peut scinder la première ‘saison’ de Traumenschar à la fin de l’épisode six, avec la brève remise à jour des éléments disséminés. Donc, avec l’épisode suivant, le septième, celui qui est en cours (et dont j’ai déjà un chapitre de retard… Ahem…), nous entamons la seconde partie de Traumenschar.

J’ai d’ores et déjà prévu un Traumenschar deux, suite du premier (selon la fin que je réserve à celui-ci). Mais je pense qu’avant que je m’y mette, je prendrais quelques jours de vacances. Je lutte pour tout faire, depuis que je me suis lancé dans cette fic ! C’est horrible ! Donc ne prenez pas cette information au pied de la lettre, peut-être que cette idée n’aboutira jamais. Pour tout vous dire, je préfèrerais terminer d’abord mes deux autres fics (chronologiquement avant celle-ci) avant de me relancer dans une nouvelle. Comme on dit : Qui vivra verra.
Je verrai.

Dans l’immédiat, pour fêter l’anniversaire de Traumenschar (eh oui, un an ça se fête), j’ai décidé d’ouvrir un chapitre Hors Série, le chapitre zéro en quelque sorte, qui est complètement irrégulier. Pas de date fixe pour la sortie d’un chapitre en ces lieux, pas de limites non plus, ni d’ordre précis. Au menu : Des scènes coupées, des scènes ratées, des dialogues refusés, des trucs sans queue ni tête, mais également des récits alternatifs, des versions longues ou des chapitres commentés par le réalisateur (moi).
Tout ça, en vrac.

Bon, ça y est, j’ai terminé (trois pages, ah bravo) et la suite des bonus viendront en leur temps. Ah, et comme je suis en train de lire le Vade Mecum du Disque-Monde de Terry Pratchett (encore lui), il est possible (probable) qu’un inventaire soit prévu lorsque toute cette aventure prendra fin. Mais ce n’est pas pour tout de suite !



Merci encore à vous, et bonne lecture !

1. Script pour le film. Premier jet.

La toute première scène de Traumenschar, traduite en anglais pour l’adaptation cinématographique de Peter Jackson. Beaucoup de choses restaient à revoir.

1. Sad meeting...
The rain silently fell all around them.
All joined together in this holy place, all under cover of a sorrow lately formed in their hearts, they remained motionless in front of the open hole dug there is little in the fresh and wet ground. The pit seemed to them with all disproportionately large and well too deep with respect to the small coffin which was balanced slowly above, because of the light breeze which swept the whole of the people present in the cemetery.
The majority looked at their feet, without a word, in the meditation of the prayer which the priest had just finished. Others sanglotaient painfully, but without too much daring to break ambient silence. A girl, at the time of the ground setting of the coffin, threw herself to body lost in the arms of another, close to it, and which been able to repress long gémissements of sadness. The other woman cried, it also, without hiding.
But the tears were not the prerogative of the women, and certain men present had the streaming face, and not only of rain. Right in front of the tomb from now on full a young man, the hair hirsutes, the embués eyes of sorrow was held, which was held the hands joined to fix the cavity offered to him. A second man, capped of a tail of horse which fluttered, approached him and a hand posed to him on the shoulder. The first man broke down then with knees and burst in sobs under the filled up glances of compassion of the assistance.
The priest excused himself and left the scene, leaving these men and these women to their mourning. The man with the attached long hair hopelessly tried to comfort that which was now with knees tearing off large lumps of earth to full hands. The group behind them did not say anything and observed the scene of an anxious eye.
« Calms yourself, Fury... Please... » known as the man with the tail of horse. Another approached and helped called Fury to be thank you raised « Satana, it needs all possible help in this moment...
-I know. » answered Satana, the vague eye. « This is why I am there. » Then, after one moment of hesitation: « And for her also. »
The man with the tail of horse agreed without a word and looked at the two men moving away, Fury always in tears. He turned to the assembly whose attention remained fixed on the coffin plunged in the ground which became little by little muddy. He disfigured them all, almost one by one, and deferred to him also his glance on limps where his/her friend rested. He felt the tears to bead in his eyes, and preferred to close them.
Not, I cannot, I should not start to crack now. He will be high time after, if ever all it with what I thought of the hours lasting fails, then I could put to me to pour the totality of the tears of my body. But not front.
Not now.
He inspired a great blow of fresh air of this end of bruineuse morning, and he felt his lungs to fill of healthy and wet air. He réfréna the desire for coughing vis-a-vis the absorption of the tiny water droplets in his breathing apparatus and succeeds in outlining a pretence to smile before saying of a voice which he hoped for calms and posed:
« Well, I think that I will continue the preparations at the restaurant about which I spoke to you in my mall. You know all where it is located, about? »
Some shook the head, and the man with the tail of horse returned a weak smile to them. Those which had answered would bring the others in desired times. He pushed a long sigh added of an always serene voice: « I hope to find you there at midday and half, but we will wait up to one hour to be sure until everyone is present. For my part, I go there. All per hour. »
It started its half turn, but a tearing cry stopped it in its movement. The girl of all with the hor who had not been able to prevent himself from crying in the bosom of his friend raised towards the man to the tail of horse an exasperated glance, almost heinous.
« Why to inflict such a treatment, Magnum to us? it howled. You invite us to the burial of a very expensive person in our eyes, then you make us mysteries by inviting us to speak in a restaurant after that? What that means?!! »
All turned to Mr.Magnum at the end of this tirade and this last did not find what to answer, on the blow. It thus remained to look at the girl without word saying, whereas this one had recovered to cry with heats tears, but by looking at it opposite.
« I... I do not think that it is the place to speak about it, K-Ro. I must announce some information to you, but not now.
-And why not now? she retorqued.
-It is a place of meditation, and I do not feel courage to tackle the subject. » concluded here Mr.Magnum from an unusual severe air. It unfortunately often raised this serious face and concentrate since it had learned the terrible news.
« It is right, K-Ro... » gently murmured RazaëlAurélie by surrounding K-Ro of an arm. Another young man advanced in his turn and spoke of a mélodieuse and clear voice, a voice of leader of mass:
« That those which want to follow Magnum to the restaurant start from continuation. For my part, I prefer to remain still a few times here.
-Very well, DragonNoir. » approved Mr.Magnum by making half-turn again and while moving of a light step towards its car. It concentrated in vain on its Renault Five which approached him, it saw the decoration being duplicated, then to tremble with each one of its steps, and felt finally a tear then two to roll on its cheeks. It retains a sob and still accelerated walk, when a voice to resound behind him.
« Magnum!! Magnum!!! François!!! »
Erwan caught up with it and was placed at its height, agreeing at its speed of step. It was hardly blown and looked it with enthusiasm. Mr.Magnum diverted one moment the head to wipe the eyes, then slows down rate. « That is there?
-It is true this history of resurrection? » he asked while raising an interrogative eyebrow. Mr.Magnum stopped net its walk, and Erwan was taken with deprived and of remaking some steps with let us move back.
« Which spoke to you about that?
-Draco, at the time of a conversation on MSN yesterday evening, before one leaves. I... oh! I was unaware of that it was a secrecy...
-Does not speak about it with the others for the moment, here all the. » tone was dry and breakable, and Erwan felt a ball to appear in its throat. It had never seen it as serious since the few years as it knew it.
« I keep silent myself, affirmed he. You will speak to them there about it?
-I will subject information to them which I found, and will see what they think. But I suppose that they will take to me for insane. And if ever that does not function, I think that I would disappear completely from the forum... Forums... »
The glance lost in its disastrous thoughts, whereas Erwan attentively scanned the least changes of features of his face, they were made double by some groups of people who turned over to their vehicles. Time had been made ugly and it rained now with large drops. Gigantic black clouds ate the sky and threatened to make thunder the thunder soon. A gust of wind a little stronger than the others drew Mr.Magnum from its thoughts, and it looked at Erwan attentively.
« Perhaps even would entirely disappear I... »
Without him to leave time to answer, it caught his friend by the shoulders and involved it with him, taking again its walk. A smile misdeal to its face tired an air of sad clown, and a moment, Erwan was taken of pity towards him. Mr.Magnum of feeling it and it turned the head, always raising its smile which seemed to say All is well, why to be done some, all will occur as envisaged, t'en does not make my friend! whereas its eyes betrayed a major distress and perhaps even...
... of the fear.
« But let us stop speaking about that now, protested Mr.Magnum joyeusement. And we return before the others to the restaur... Han!!
-You could pay attention a little where you steps! » K-Ro fixed Mr.Magnum of a bad eye by rubbing the hip, the obviously annoyed air of this brutal confrontation. Its dye was empourpré in spite of the cold which reigned and its eyelids were inflated by the tears that it had poured... She reniflait besides of time to other between two breathings.
« I am afflicted, K-Ro, I had not seen you and...
-Too occupied discussing to see the others, isn't this? » She of a scorning tone sent to him. A tear was formed already at the edge of its right eye, without same as it realizes there « Just like you must be too occupied trying to make you recognize with your ideas to think would be one moment with the sorrow that one feels? »
Erwan looked at K-Ro, then Mr.Magnum, without a word. Draco joined them, as RazaëlAurélie which was placed slightly in withdrawal behind K-Ro. This one did not démordait any and continued to cause Mr.Magnum of the glance.
"K-Ro... started he.
-Not, it is too easy to present excuses, just like to make us gleam the impossible one... She died, beautiful and quite dead, and it is useless to stuff us the head with ineptitudes like the fact of being able the ressusciter!! »
The completed tirade, Mr.Magnum threw a short glance with Erwan, which returned to him while raising the shoulders surreptitiously. Not, it was not him which had sold the wick, and Mr.Magnum suspected that the whole of the community was to suspect the true reason of their presence here. It preferred to abstain from any comment, and was satisfied to look at K-Ro of a resigned and solemn air.
This one seemed to irritate even more attitude of the man opposite it, and sent its small fist in the shoulder of Mr.Magnum, then made half-turn without adding a word. Mr.Magnum showed the blow without stumbling, then pushed a light sigh discreetly so that fury does not hear it.
« It is not me which... » began Erwan with nervousness. Mr.Magnum raised its hand and smiles nicely.
« I know, Erwan, I know... In any event, they all will know, and before long...
-And you really think, sincerely, that that can go? asked Draco which had been put at dimensioned of Mr.Magnum. You really think that you can give again the life to him?
-I hope for it of any heart, Draco... » He reached his car, of opened the doors and settled at the wheel, lost in his thoughts. Erwan and Draco took seat with the back, as on the way which had carried out them here, in this cemetery, and kept silence. At the end of a few minutes, Mr.Magnum engaged the engine, and passed the first while murmuring:
« ... I hope for it of any heart... »

2. Renvoi de script.
Après l’hécatombe du script anglais, on m’a envoyé une version française pour que je puisse corriger quelques fautes. J’ai abandonné à la fin de la première page : Je ne voyais plus les mots tellement je pleurais.

1. Réunion triste...
La pluie est silencieusement tombée tout autour d'eux.
Tous associés ensemble à cet endroit saint, tout sous le couvert d'une douleur ont récemment formé à leurs coeurs, ils sont restés immobiles devant le trou ouvert creusé là est peu dans la terre fraîche et humide. Le puits a semblé à eux avec tous les d'une façon disproportionnée grand et bon trop profondément en ce qui concerne le petit cercueil au-dessus du lequel a été équilibré lentement, en raison de la brise légère qui a balayé la totalité des personnes présentes dans le cimetière.
La majorité a regardé leurs pieds, sans mot, dans la méditation de la prière que le prêtre avait juste finie. D'autres sanglotaient péniblement, mais sans trop audacieux pour casser le silence ambiant. Une fille, à l'heure du réglage de la terre du cercueil, s'est jetée au corps perdu dans les bras des autres, près de lui, et qui pu réprimer de longs gémissements de la tristesse. L'autre femme a pleuré, il également, sans se cacher.
Mais les larmes n'étaient pas la prérogative des femmes, et certains hommes ont eu le visage coulant, et non seulement de la pluie. Droit devant le tombeau dorénavant complètement un jeune homme, les hirsutes de cheveux, les yeux d'embués de la douleur a été tenu, qui a été jugée les mains jointives pour fixer la cavité offerte à lui. Un deuxième homme, couvert d'une queue de cheval qui a flotté, approchée lui et une main a posé à lui sur l'épaule. Le premier homme a décomposé alors avec des genoux et l'éclat dans les sanglots sous rempli vers le haut des regards de la compassion de l'aide.
Le prêtre s'est excusé et à gauche la scène, laissant ces hommes et ces femmes à leur deuil. L'homme avec les longs cheveux joints a désespérément essayé de soulager ce qui était maintenant avec des genoux déchirant outre de grands morceaux de la terre à de pleines mains. Le groupe derrière elles n'a dit rien et n'a pas observé la scène d'un oeil impatient.
« Se calme, fureur... Svp... » connu en tant qu'homme avec la queue du cheval. Des autres ont approché et ont aidé Fury appelé à être vous remercient ont soulevé. « Satana, il ont besoin de toute l'aide possible dans ce moment...
-Je sais que. » a répondu à Satana, l'oeil vague. « C'est pourquoi que je suis là. » Alors, après un moment de l'hésitation: « Et pour elle également. »
Que l'homme avec la queue du cheval a convenu sans mot et a regardé les deux hommes s'écartant, fureur toujours en larmes. Il s'est tourné vers l'assemblée dont l'attention est demeurée fixe sur le cercueil plongé dans la terre qui est devenue petite par peu boueux. Il les a défigurés tous, presque un, et a reporté à lui également que son regard boite dessus où son ami s'est reposé. Il a senti les larmes pour perler dans ses yeux, et les a préféré les fermer.
Pas, je ne puis pas, je ne devrais pas commencer à fendre maintenant. Il sera grand temps après, si jamais tous qu'il avec ce que j'ai pensé à durer d'heures échoue, alors je pourrais mettre à moi pour verser la totalité des larmes de mon corps. Mais pas avant.
Pas maintenant.
Il a inspiré un grand coup d'air frais de cette fin de matin de bruineuse, et il a senti ses poumons à la suffisance d'air sain et humide. Il réfréna le désir pour tousser vis-à-vis de l'absorption des gouttelettes minuscules de l'eau dans des ses appareils respiratoires et réussit à décrire un pretence pour sourire avant l'énonciation d'une voix laquelle il a espéré calme et a posé:
« Bien, je pense que je continuerai les préparations au restaurant au sujet duquel je vous ai parlé dans mon mail. Vous savez tous où il est localisé, ? »
Certains ont secoué la tête, et l'homme avec la queue du cheval leur a renvoyé un sourire faible. Ceux qui avaient répondu apporteraient les autres dans des périodes désirées. Il a poussé un long soupir supplémentaire toujours d'une voix de serene: l' « espoir de I de vous trouver là à midi et demi, mais nous attendra jusqu'à une heure pour être sûrs jusqu'à ce que chacun soit présent. Pour ma part, je vais là. Tous par heure. »
Il a commencé son demi de tour, mais un cri de déchirure l'a arrêté dans son mouvement. La fille de tous avec le hor qui n'avait pas pu s'empêcher de pleurer dans la poitrine de son ami a soulevé vers l'homme à la queue du cheval un regard exaspéré, presque honteuse.
« Pourquoi infliger un tel traitement, Magnum à nous? elle a hurlé. Vous nous invitez à l'enterrement d'une personne très chère dans nos yeux, puis nous faites-vous des mystères en nous invitant à parler dans un restaurant ensuite cela? Ce qui ce moyens?!! »
Tout tourné vers Mr.Magnum à l'extrémité de ce tirade et ce dernier n'a pas trouvé quoi répondre, sur le coup. Il est ainsi resté pour regarder la fille sans énonciation de mot, tandis que celle-ci avait récupéré pour pleurer avec chauffe des larmes, mais en la regardant vis-à-vis de.
« I... Je ne pense pas que c'est l'endroit à parler à son sujet, K-RO. Je dois annoncer de l'information à vous, mais pas maintenant.
-Et pourquoi pas maintenant? elle a resserré.
-C'est un endroit de méditation, et je ne sens pas le courage d'aborder le sujet ici. » conclu Mr.Magnum d'un air grave peu commun. Il malheureusement a souvent soulevé ces visage et concentré sérieux puisqu'il avait appris les nouvelles terribles.
« Il est exact, K-RO... » murmured doucement RazaëlAurélie en entourant K-RO d'un bras. Un autre jeune homme a avancé dans son tour et rai d'un mélodieuse et d'une voix claire, une voix de chef de la masse:
« Qui ceux qui veulent suivre Magnum au début de restaurant de la suite. Pour ma part, je préfère rester toujours plusieurs fois ici.
-Très bien, DragonNoir. » a approuvé Mr.Magnum par la fabrication moitié-tournent encore et tout en se déplaçant d'une étape légère vers sa voiture. Elle s'est concentrée en vain sur son Renault cinq qui l'a approché, il a vu la décoration étant reproduite, puis pour trembler de chacune de ses étapes, et sentie finalement une larme puis deux à rouler sur ses joues. Elle maintient un sanglot et une promenade toujours accélérée, quand une voix au resound derrière lui.
« Magnum!! Magnum!!! François!!! » Erwan rattrapé par rapport à lui et a été placé à sa taille, convenant à sa vitesse d'étape. Il a été à peine soufflé et l'a regardé avec enthousiasme. Mr.Magnum a détourné un moment la tête pour essuyer les yeux, puis ralentit le taux « Qui est là?
-Il est vrai cette histoire de resurrection? » il a demandé tout en soulevant un sourcil interrogatif. Par Mr.Magnum le filet arrêté Erwan sa promenade, et a été pris avec privé et de refaire quelques étapes avec nous a laissés nous écarter.
« Qui vous a parlé à ce sujet?
-Draco, à l'heure d'une conversation sur MSN hier soir, avant un part. I. l'cOh! J'étais ignorant de cela que c'était un secret...
-Ne parle pas à son sujet avec les autres pour le moment, ici toute la. » tonalité était sèche et cassable, et Erwan a senti une boule pour apparaître dans sa gorge. Il ne l'avait jamais vu comme sérieux depuis les quelques années pendant qu'il le savait.
« Je conserve silencieux moi-même, affirmé lui. Vous leur parlerez là à son sujet?
-Je soumettrai l'information à eux ce que j'ai trouvé, et verrai ce qu'ils pensent. Mais je suppose qu'ils me prendront pour aliéné. Et si jamais cela ne fonctionne pas, je pense que je disparaîtrais complètement du forum... Des forum... »
Le regard a perdu dans ses pensées désastreuses, tandis qu'Erwan a attentivement balayé les moindres changements des dispositifs de son visage, qu'ils ont été rendus doubles par quelques groupes de personnes qui se sont retournés à leurs véhicules. Le temps avait été rendu laid et il a plu maintenant avec de grandes baisses. Les nuages noirs colossaux ont mangé le ciel et ont menacé de faire à tonnerre le tonnerre bientôt. Une rafale de vent plus fort que les autres a tiré Mr.Magnum de ses pensées, et elle a regardé Erwan attentivement.
« Peut-être même disparaîtrait entièrement I... »
Sans lui pour laisser l'heure de répondre, il a attrapé son ami par les épaules et l'a fait participer de lui, faisant encore son tour. Un sourire misdeal à son visage a fatigué un air du clown triste, et un moment, Erwan a été pris de la pitié vers lui. Mr.Magnum du sentiment lui et lui ont tourné la tête, soulevant toujours son sourire qui a semblé indiquer que Tout est bien, pourquoi être fait certains, tous se produiront comme envisagé, t'en ne fait pas mon ami! considérant que ses yeux ont trahi un important affligez et peut-être même...
...de la crainte.
« Mais cessons de parler à ce sujet maintenant, joyeusement protesté de Mr.Magnum. Et nous revenons avant les autres au restaur... Han!!
-Vous pourriez prêter l'attention où vous fait un pas! »
K-RO a fixé Mr.Magnum d'un mauvais oeil en frottant la hanche, l'air évidemment gêné de cette confrontation brutale. Son colorant était empourpré malgré le froid qui a régné et ses paupières ont été gonflées par les larmes qu'il avait versées... Il reniflait sans compter que du temps à autre entre deux breathings.
« Je suis affligé, K-RO, je ne vous avais pas vu et...
-La discussion trop occupée pour voir les autres, n'est pas ceci? » elle d'une tonalité de dédain lui a envoyé. Une larme a été formée déjà au bord de son oeil droit, sans mêmes qu'il réalise qu'il « Juste comme vous doit y avoir essai trop occupé de vous inciter à reconnaître avec vos idées de penser serait un moment avec la douleur qui on se sent? »
Erwan a regardé K-RO, puis Mr.Magnum, sans mot. Draco les a joints, car RazaëlAurélie qui a été placé légèrement dans le retrait derrière K-RO. Celui-ci pas démordait et continué à causer Mr.Magnum du regard.
« K-RO... l'a commencé.
-Pas, il est trop facile de présenter des excuses, juste comme à à l'inciter nous à briller les impossibles... Il est mort, beau et tout à fait mort, et il est inutile de nous bourrer la tête avec des manques de justesse comme le fait de pouvoir en mesure le ressusciter!! »
Le tirade réalisé, Mr.Magnum a jeté un regard court avec Erwan, qui est revenu à lui tout en soulevant les épaules surreptitiously. Pas, il n'était pas lui ce qui avait vendu la mèche, et Mr.Magnum a suspecté que la totalité de la communauté ait dû suspecter la raison vraie de leur présence ici. Il a préféré s'abstenir de n'importe quel commentaire, et a été satisfait pour regarder K-RO d'air démissionné et solennel.
Celui-ci a semblé irriter bien plus d'attitude de l'homme vis-à-vis de lui, et a envoyé son petit poing dans l'épaule de Mr.Magnum, alors faite moitié-tournent sans ajouter un mot. Mr.Magnum a montré le coup sans trébucher, puis a poussé un soupir léger discrètement de sorte que la fureur ne l'entende pas.
« Il n'est pas moi ce qui... » a commencé Erwan par l'énervement. Mr.Magnum a soulevé sa main et sourires bien.
« Je sais, Erwan, je sais... Quoi qu'il arrive, ils tous sauront, et d'ici peu...
-Et vous pensez vraiment, sincèrement, cela qui peut disparaître? Draco demandé ce qui avait été mis à dimensionné de Mr.Magnum. Vous pensez vraiment que vous pouvez lui donner encore la vie?
-Espoir de I pour lui de tout coeur, Draco... »
Il a atteint sa voiture, de a ouvert les portes et a arrangé à la roue, perdue dans ses pensées. Erwan et Draco ont pris le siège avec le dos, comme sur le chemin qui avait effectué eux ici, dans ce cimetière, et le silence gardé. À la fin de quelques minutes, Mr.Magnum a engagé le moteur, et a passé le premier tout en murmuring:
« ...j'espère lui de n'importe quel coeur... »

Magnum... Je t'en prie.... Renonce à la version anglaise....

Pourquoi, c'est marrant ^^?

Non, c'est monstrueux.

Mais c'est ça qu'est bon.

Aucun interêt.

J'ai écrit une scène chaude dans un chapitre, et je me suis rendu compte que c'était un peu too much par rapport à l'habituelle narration... J'ai donc coupé cette partie qui figurera dans un des bonus futurs.
Voilà l'intérêt.

les scènes coupés, oui, les scnènes doubblées, non.
:p

Pourtant, il y en aura encore, na!

Damned!!

Beuh.

Gniark!

T'en fais pas, c'est pas pour tout de suite... Snirfl...

Dans mes bras Magnum bienvenus dans le club des auteurs de fics à sortis annuels


Magnum :

Je n'ai que quatres chapitres de retaaaard!!

Et, euh... C'est normal que le récit soit bourrés de fautes de français?

Papy, tu es désobligeant !

...

Tant de fautes que ça? C'est la faute à NB

Non, ces chapitres-là étaient un délire de traduction si tu avais lu Popolman! C'est fait pour!! Allez, pour vous montrer ma bonne foi et fêter mon retour, un petit bonus:

En dédicace à Aran et Nina, et surtout en espérant qu'ils le lisent, eux-seuls et certains occupants de la dernière réunion du nouvel an à nantes comprendront cette private joke. Ce 'chapitre' se situe lors de l'arrivée d'Aran et Nina à Paris, où ils sont suivit par un policier alors qu'ils cherchent à rejoindre DragonNoir...

4. Rencontre imprévue…
Nina sortit du métro et regarda le post-it. Les indications pour se rendre chez DragonNoir étaient claires et elle n’avait eu aucun mal à semer celui qui les filait depuis le train. Il lui fallait maintenant simplement trouver le lieu exact de la résidence de DragonNoir. Une fois chez lui, ils seraient moins repérables.
Elle examina encore quelques seconde le morceau de papier et le rangea, avant de se mettre en route au hasard. La première chose à faire était de sortir du métro, ensuite elle aviserait. Aran s’en sortira certainement très bien de son coté, songea-t-elle.
Les couloirs paraissaient sans fin. Ils semblaient s’étendre sous Paris comme des centaines de tunnels réduisant les sous-sols de la capitale à un véritable gruyère. Ou à un dédale habité par un Minotaure légendaire. Nina frissonna. Elle s’attendait presque à voir apparaître la bête cornue au détour d’une rame de métro.
Les gens la bousculaient, pressés. Les odeurs, la cohue, le vacarme ambiant des wagons et des voyageurs, tout ceci oppressait la pauvre Nina qui ne trouvait que difficilement son chemin. Elle finit par s’asseoir sur un siège en plastique, crasseux mais moins que ses congénères, et souffla une minute.
« Ce n’est pourtant pas si compliquer de sortir de ce métro, si ?! » se dit-elle. Elle ressortit le post-it. et le regarda à nouveau.
Une forte odeur lui assaillit les narines alors qu’un homme s’asseyait à coté d’elle, à même le sol. À vrai dire, elle n’aurait pas su dire s’il s’agissait d’un homme ou d’une femme, tant elle n’osait jeter un œil vers l’être nauséabond. Celui-ci s’installait et prenait ses aises, certainement dans le but de passer un moment à quémander à cette station.
Nina refoula le besoin de partir en courant de cette puanteur incarnée. Elle fut prise de pitié pour le pauvre homme, ou la pauvre femme, qui s’était manifestement retrouver ans moyen de s’en sortir. La spirale infernale de la déchéance avait encore frappée.
Elle tourna lentement la tête, pour découvrir un visage crasseux.
Un visage qui la regardait.
« Vous z’auriez bien une tite pièce, madame… » grésilla la voix grave de l’homme. Nina entraperçut, fugace image d’horreur, les dents de l’homme qui ressemblaient à d’immondes tessons de bouteilles jaunies par des années de tabac. Comme pour répondre à ses pensées, le clochard s’alluma une cigarette, ou plutôt un résidu de mégot.
« À vot’bon cœur ! » grommela d’une voix forte le clochard, les dents tellement serrées sur sa ‘clope’ qu’on pouvait se demander comment il faisait pour aspirer la fumée. Il sortit un écriteau sordide qu’il déposa devant lui, près d’un pot où il espérait récolter des fonds. Nina se pencha discrètement.
‘JUSTE QUELQUE PIECE POUR MANGÉ’ lu-t-elle. Puis son regard se porta sur le pot de mayonnaise, vide, qui tenait lieu de récipient pour la petite monnaie d’éventuels donneurs. Le clochard se mit à se dandiner devant elle, mais Nina n’osait pas se dégager. Elle avait peur que l’homme ne la poursuive.
« Alors ? Z’avez pas d’l’argent pour un vieux comme moi ? »
Nina secoua la tête, sans émettre de son. L’odeur semblait lui accaparer les narines, et les pensées. Le clochard fit un autre pas en avant, et les effluves rances de sueur, de crasse et de moisissures redoublèrent. Nina mit sa main à sa bouche.
« Nan ? J’veux pas vous déranger, hein, mais juste un ou deux euros, quoi…
-Je… Je n’ai pas de monnaie… bredouilla Nina en collant le plus possible à son siège.
-Ouais… Bien sûr… »
Il resta encore un instant braqué sur elle, puis cracha par terre aux pieds de Nina, qui frissonna d’horreur. Le clochard se gratta le menton mal rasé et s’assit devant son pot de mayonnaise vide en grommelant.
Une main se posa sur l’épaule de la jeune fille, et elle étouffa un cri de surprise. Mais en se retournant, et vit que c’était la main d’Aran et non celle d’un autre mendiant qui s’en prenait à elle. Nina lui sauta au cou et il l’enlaça.
« Qu’est-ce qu’il y a ? lui demanda-t-il.
-Rien je… Je suis contente de te voir, c’est tout… répondit-elle avec sincérité. C’est juste ce clodo qui m’a un peu fait peur. »
Aran lui jeta un coup d’œil vague. Ce n’était qu’un simple SDF qui quémandait, comme il en existe tant. Pourtant, quelque chose dans le visage du type rappelait quelqu’un à Aran. Il chassa l’idée de son esprit.
« Viens, dit-il à Nina. Il est temps d’aller chez DragonNoir. Tu sortiras en premier de la bouche du métro, et moi je vous rejoindrai peu après. Je pense qu’on a semé le type.
-Tu crois ? dit-elle en se dégageant de ses bras.
-Ouais. Mais il ne faudrait pas tout foutre en l’air et qu’il nous retrouve ensemble une fois arrivés. »
La rame de métro surgit à ce moment précis, et les passagers embarquèrent ainsi que les deux Trauméniens, laissant le clochard à ses préoccupations. Celui-ci regarda le couple monter dans la rame et prendre place.
Un jour, il avait été comme eux : Jeune et insouciant. Mais maintenant, Frédéric Végas avait tout perdu et il se retrouvait à devoir mendier dans le métro de la capitale, une capitale dont il avait fait mainte et mainte fois le tour en voiture, avant qu’il ne la revende.
« Ignare de la vie… » cracha-t-il avec amertume.

XD
J'aime!

Si réaliste !

Mr.Magnum a écrit:Un jour, il avait été comme eux : Jeune et insouciant. Mais maintenant, Frédéric Végas avait tout perdu et il se retrouvait à devoir mendier dans le métro de la capitale, une capitale dont il avait fait mainte et mainte fois le tour en voiture, avant qu’il ne la revende.

Ca me fait penser à un auteur (au féminin, il me semble) Parisienne qui s'appelle Fred Vargas
Ecrivains, esclaves sous-traités ? OUI !

Hey, mais, j'y songe.. si ce chapitre entre dans la chronologie, ça veut dire que je rencontre le lézard, dans ce récit ?

J'espère au moins que je lui refait le portrait !

J'imagine...


Aran: *voit DN* ....Salut.
DN: *voit Aran* .... Ouais.
Aran: *lui file un direct du droit*

Rien que pour l'entendre couigner comme un goret que l'on égorge, ça vaudrait le coup.