L'école Maléfique 2

K-ro: Maintenant que les votes sont terminés, on peut dire que le jdr dans un milieu scolaire a remporté le prix!
Kefka: Faut croire qu'ils sont tous frustrés par leur études..
K-ro: Mmmh. *acquiesce* Quoi qu'il en soit, je me suis déjà permise de créer les lieux! *tire un rideau et le lycée apparaît*
Tous: Et si on avait choisi autre chose.
K-ro: Ben c'est ça que vous avez choisi, alors ça va, non?
Tous: -__- Mouais.. *pas convaincus*
K-ro: Ahem. Je laisse donc le soin au narrateur de présenter les lieux.


Au fin fond d'une vallée brumeuse se trouve le lycée Pannète. Au milieu de la forêt épaisse et près d'un lac sombre, serpente une petite route menant dans cet étrange endroit.
La première chose que l'on voit en arrivant est un imposant bâtiment de trois étages, dont la peinture a totalement disparu et avec des trous ça et là. Accolé à droite, se trouve un plus petit bâtiment d'où provient une étrange odeur de pourriture et de pommes. La pancarte à moitié effacée signale qu'il s'agit du réfectoire. Si on tourne un peu la tête à gauche, on peut voir une petite cabane tellement sombre qu'elle semble absorber la lumière. Le toit est déformé comme si quelque chose avait tenté d'en sortir. Des planches de bois cloués à l'entrée soutiennent le panneau: "INTERDICTION D'ENTREE" en jaune et rouge avec des lumières clignotantes.
En traversant le bâtiment principal, on peut apercevoir un autre bâtiment, plus long mais plus petit comportant plusieurs entrées avec un parking devant. C'est l'internat où les élèves iront dormir à leur risque et péril. Et enfin, à côté du réfectoire dans le dernier coin à côté d'un petit chalet apparait un grand terrain dont des croix sortent par endroit sur sol. Le terrain de sport, car c'est un terrain de sport, semble lutter contre la forêt qui mange petit à petit le champ. Entre deux arbres, un espace un peu plus grand laisse deviner un passage menant au lac où se pratiquaient anciennement les cours de natation.
Voici donc, mes chers amis, l'endroit où se déroulera la tragédie/comédie/film d'horreur de série Z que vous jouerez.
Mais ce lycée n'a pas toujours été comme ça. Il y a 20 ans, il s'agissait d'un lycée tout à fait ordinaire pour gens aisés. Du jour au lendemain, les lieux fermèrent après la disparition d'une dizaine de lycéennes. Certains murmurent que le proviseur voulait cacher un sombre secret et que la réponse se trouve dans un mystérieux sous-sol. D'autres disent de même qu'un grand trésor est enterré quelque part. Les derniers rajoutent que le lycée est maudit car il a été construit sur un ancien cimetière maya et que c'est pas étonnant qu'il s'y passe des choses étranges la nuit.
A vous de découvrir tous ces secrets et d'établir enfin la vérité... A vos risques et périls bien sûr...
AHAHAHAHAHAHAHAHAH!
*éclair*
Narrateur: *avec sa cape de Dracula* Alors? J'étais bien?
K-ro: Nickel! Si avec ça on les intéresse pas moins d'une semaine, c'est honteux!

La rentrée des professeurs:
Le petit car s'arrêta sur le parking devant l'internat. Devant le véhicule attendait un homme. Il semblait avoir la trentaine, plutôt petit et maigre dans un costume trop grand pour lui. Ses yeux, cachés par des lunettes noires, semblent émettre une faible lueur jaune. Ses cheveux roux étaient attachés et il portait un chapeau melon. Il s'approcha des professeurs sortant du car.
Principal: Bonjour à tous. Je me présente, je suis le principal. Bienvenue dans le lieu où vous enseignerez. Veuillez me suivre vers la salle de permanence pour notre réunion de pré-rentrée.
Les professeurs suivèrent l'étrange homme à l'intérieur du bâtiment tandis que le personnel du lycée portait les bagages dans les chambres. Le rez-de-chaussée était sombre et lugubre. Le principal indiqua la pièce vitrée où se trouvait plusieurs vieux bureaux.
Principal: Voici les bureaux de l'administration. Le mien se trouve dans la pièce du fond. Bien évidemment, il ne faut venir me voir que s'il y a de très graves problèmes.
Ils continuèrent dans le couloir principal et il fit entrer les professeurs dans une longue salle sans fenêtre. Les tables étaient organisés en cercle pour la réunion.
Principal: Bien, nous allons pouvoir commencer.
Il distribua des plans du site et du bâtiment à tout le monde, ainsi que les horaires de leur cours(ça c'est vous qui déciderez).
Principal: Pour une raison de sécurité, nous vous déconseillons tout voyage pendant la nuit, c'est pour cela que nous avons réouvert l'internat. A tour de rôle, vous devrez veiller à ce que les élèves ne sortent pas du site. Bien sûr, s'il devait arriver malheur, vous serez tenu comme responsable. Et maintenant, si vous avez des questions...

(Les plans:
)

L'arrivée des élèves:

Dans la ville de Skulltown, la plus proche du lycée Pannète, attendaient une centaine de jeunes gens. Le lieu de rendez-vous était fixé à 13h sur l'unique place du village. Parmi eux, se trouvait une jeune et jolie journaliste, avec son caméraman.
journaliste: Bon, commençons mon reportage. Tu es prêt? Comment sont mes cheveux? C'est bon? Très bien. *prend un air sérieux* Nous voici à Skulltown où attendent la nouvelle génération du lycée Pannète. Pour mémoire, ce lycée avait fermé voici 20 ans après la mystérieuse disparition de 15 élèves. Cet évènement avait causé un vif émoi et le principal avait alors fermer les lieux. Il est intéressant de voir comment se sentent les élèves avant d'aller dans cet établissement qui était l'un des plus côtés dans le temps. Mmmh.. *regarde autour d'elle* Ah! *chope par le bras une fille qui passait par là* Mademoiselle, qu'est-ce que ça vous fait d'étuder dans le lieu où des jeunes filles ont été kidnappés pour ne plus jamais réapparaître?
fille qui va pas survivre plus de dix jours: *salut la caméra* Bonjour papa! Bonjour maman! Salut Cowboy! C'est mon chien!
journaliste: Oui, tu dois être effrayée, n'est-ce pas? Tu n'as pas peur de mourrir dans des circonstances étranges?
future élève démembrée: J'espère que je vais me faire pleins d'amis!
journaliste: On coupera ça au montage. *vire la fille* Ahem. Comme vous pouvez le constatez, il n'y a qu'une centaine d'élève inscrit, ça ne fait malheureusement pas beaucoup pour un aussi grand lycée. Néammoins, le proviseur a indiqué que l'internat sera totalement rempli. Pourtant, l'internat est censé pouvoir contenir 300 élèves. Ah! Mais voici trois cars qui viennent de se garer devant nous.
Un bossu sortit du premier car, un vieux marin du second et un personne complètement caché des pieds à la tête apparut à l'entrée du dernier.
bossu: Les secondes par ici!
vieux marin: V'nez les pr'mières!
type caché: Quant à moi, je suis chargé de transporter les élèves de terminales, je vous en prie, installez-vous.
Les élèves se regardèrent puis se dirigèrent vers leur cars respectifs. Après que les dernièrs soient montés, les trois cars s'en allèrent vers la forêt.
journaliste: Suivons-les!
caméraman: On peut pas, la voiture est mystérieusement tombée en panne.
journaliste: C'est sûrement un sabotage pour nous empêcher de découvrir le secret du lycée!

(à vous de vous faire des amis avant votre arrivée au lycée)

( dans le car du bossu: Kikoonya (AA')
dans le car du capé: Keuvin(Aran) et Liu(Squall)

Kikoonya monta dans le bus, chargée d'un sac en bandoulière cousu de partout, et s'écroula sur le sol au deuxième pas qu'elle fit dans le couloir de bus.
-Gyaaaaaaaaaaa.....
Une protestation derrière elle la fit s'excuser maladroitement puis se relever pour trébucher sur un siège vide sur le côté du couloir. Elle n'en décolla plus tandis que les moqueries fusaient au fur et à mesure que les secondes passaient pour prendre place dans le bus.
-Pfiou ... Maieuh je comprends pas j'ai pourtant coupé ma jupe pour plus glisser dessus !

La professeure de dissection s'éclaircit la voix en remontant ses petites lunettes aux verres épais.

_ Juste une petite chose, monsieur le Principal...Hum, Je suis mademoiselle ProSSAque, professeur de dissection, fit-elle en apparté aux autres professeurs. Je remarque que la question des contrôles de connaissance n'a pas été soulevé. Hum...A combien peut-on monter en nombre de contrôle par semaine en respectant le droit des élèves?

Elle se tassa dans son siège, gobant discrètement un comprimé sortit de sa saccoche.

Les lunettes du principal scintillèrent et un petit sourire naquit sur ses lèvres.
Principal: Je pense que vous êtes plus apte que moi pour décider de ce qu'il convient au élèves.
Puis il regarda sa montre.
Principal: Les élèves arriveront dans deux heures environ, cela vous laisse tous le temps de vous installez et de repérer un peu les lieux... bien que je vous conseille de ne pas trop les repérer... pour votre propre sécurité..

- Permettez-moi aussi une intervention, avant que toute le monde ne se sépare !
Son ton, pressant, laissait entendre que même si on ne lui permettait pas, elle parlerait.
- Mlle Mind, professeur de langues. Mais appelez-moi Peggy.
Elle se fendit d'une révérence.
- Où est située la bibliothèque ? Je ne vois aucun libellé s'y rapportant sur le plan que vous nous avez distribué ?
Le sourire qu'elle arborait ne collait décidément pas avec les émotions qui transpiraient dans sa voix.

Pendant que les professeurs posaient tour à tour leurs questions monsieur Baelish lui regardait la plan qu'on venait de lui donner. De temps à autre tout en le détaillant il regardait son emplois du temps. Tout en prenant des notes mentalement...

''Je serais donc la plupart du temps dans la salle qui ce trouve pile au centre de l'établissement, établissement qui ce trouve à distance égale de 13Km entre chaque bourgades de la région qui elle même ce trouve au milieu d'un triangle non euclidien ayant pour point 3 anciens lieux de cultes fermés pour cause d'incendie à 13 ans d'intervalle. Sachant que nous sommes traversé par le 8eme méridien qui traverse en plein centre 6 continents en comptant Mu, 6 océans et 6 capitales d'où on peut voir parfaitement Pluton......Mmhm intéressant nous sommes donc situés pile à l'endroit où la masse terrestre.... mhm donc si il arrivait un cataclysme Thermonucléaire la planète s'ouvrirait et projetterait l'école et les alentours sur 6 km carré dans une autre dimension...Mmhm....amusant.''

Keuvin jetta un oeil autour de lui, comptant le nombre de filles qu'il pouvait y avoir dans le car.
Le résultat n'était pas mal, une bonne moitié. Ca sentait encore els poils, mais bon, on ne pouvait pas tout aoir, et puis.. face aux trois nanas pour trois cent mecs de son ancien bahut, il y avait un sacré mieux.
Pas qu'il ait jamasi eu de problème pour en chopper, cela dit.

Il n'y avait plus qu'une place, et il s'assit avec une grimace. Le type a coté était silencieux. Tout a fait le genre "je m'la pète ténèbreux" qui l'agaçait. Sales petits intellos ! Un vampire comme lui aurait du pouvoir surfer toute sa vie, au lieu d'aller moisir dans un lycée pourris au fin fond de la cambrouse.

Il adressa un sourir charmeur a une fille à coté de lui, au travers de la rangée centrale du bus, et entama la conversation. La fille eut un rire idiot - qu'il adora - et rougit. C'était dans la poche, comme toujours.

Liu lacha un énorme soupir mental, aprés avoir constaté qu'il allais devoir se coltiner un espéce de neo-gothico-surfeur débilo-drageur pendant tout le trajet. Une pure tronche de cake, du genre a s'appeler (ou se faire appeller) Kevin.
Au moins, le Kevin était trop occupé a draguer une pouffe pour le faire chier! Ladite pouffe ayant une tronche a avoir un cerveau XXS, en raccord avec sa poitrine XXL.

"On serait dans un film d'horreur" se dit-il " ces deux-là seraient impec pour ralentir le tueur, pendant que je me barrerais vers la sortie" Et pour souligner cette remarque mentale, Liu se fendit d'un discret demis-sourire sarcastique. Sourire qui s'effaca automatiquement, lorsque le bus se mangeat le premier des 1684 nids de poules recensés sur la route menant au lycée.

Le trajet promettait d'étre TRES long!

Nina Prosaque eut un bref sourire sadique à la réponse du principal. Elle s'éclaircit de nouveau la voix et demanda:

_Serait-il possible d'obtenir une salle réservée au travaux de dissection? Vous comprenez, j'aimerai que les élèves puissent laisser leur matériel de dissection dans la salle. Je n'aime pas *du tout* quand ils l'oublient ou qu'ils s'en servent pour jouer entre eux C'est fragile! et il arrive que les dissection soient....salissantes, vous voyez?

Elle jouait distraitement avec un scalpel bien aiguisé à la lame scintillante de propreté tout en consultant le plan qu'elle avait à sa disposition.

_La salle 311 serait parfaite pour mon cours.

L'autre silencieux avait tout l'air du prétentieux qui désaprouvait son attitude. Encore un de ces types qui passait sa vie devant son ordnateur et se la jouait je-m-en-futiste parce que cela dark et mystérieux. De vrais tarés, a se prendre pour des héros de jeux vidéos ou il ne savait trop quoi..
Sans doute avec un prénom étranger. Asiatique, peut-être, c'était la mode, en ce moment.

Il brancha en douceur la copine de la blonde qu'il baratinait. La drague devenait interessant a partir de quatre ou cinq spécimen dragué a la fois, et ce sans donner l'impression a l'une que l'on s'interesse aux autres.
Un art.

Le principal se tourna vers la professeur de dissection.
Principal: Je vous déconseille le troisième étage pour ce qui peut être dissection. Mais si vous avez déjà fait votre choix, on n'y peut rien...
Un courant d'air passa dans la salle, bien que la salle soit hermétiquement close. Le principal acquiesca à un interlocuteur invisible, puis se tourna vers les professeurs.
Principal: Il est temps de se séparer. Si vous avez d'autres questions.... Et bien tant pis. Les élèves devront être dans leur chambre à 20h et ne surtout pas en sortir. Bien, au revoir.
Il retourna à son bureau, laissant les professeurs entre eux.




Dans le bus des secondes, la fille à côté de Kikoonya s'adressa à cette dernière. Par une pure coincidence, il s'agissait de la fille qui s'était fait interviewer auparavant et qui dont le corps découpés en morceaux sera découvert dans les toilettes des filles d'ici deux semaines.
fille: Bonjour! Comment ça va? Tu veux devenir mon amie?! ^___^

Kikoonya : Kikoo ! ça va bien et toi tu vas bien ?? hi hi, t'as pas peur de la rentrée, il paraît qu'il y a plein de monde ! Au fait tu as vu ma jupe, tu vois j'ai encore glissé dessus tout à l'heure, tu crois pas que c'est logique, tu crois pas que c'est un méchant lutin qui m'a poussée, ça t'est déjà arrivé ?
Puis après avoir fait une aussi longue phrase avec autant de verbes sans avoir repris son souffle, elle reprit haleine en reprirant bruyamment.

_ Bien, bien, bien. Je vais aller installer ma chambre avant de préparer ma petite salle...Mes chers collègues, fit-elle en les saluant d'un signe de tête

Nina Prosaque se leva en serrant sa saccoche contre elle d'un bras et en relevant ses lunettes de sa main libre. Quittant l'administration, elle

Les chambres des professeurs étaient à l'image du lycée: étranges. Mademoiselle Prosaque emplia ses boites de neuroleptiques qu'elle avait commander en masse sur un site illégal avant d'arriver au lycée. Si tout se passait bien, elle n'aurait pas besoin de s'en faire relivrer en cours d'année. Si tout se passait bien.

Assise sur son lit, elle astiqua avec amour les instruments de sa trousse à dissection favorite.

Ce levant de sa chaise Monsieur Baelish jetta un dernier regard à son emplois du temps avant de le ranger dans une mallette noire qu'il avait prit avec lui. Quittant ensuite la salle sans un mot à ses collègues, il ce dirigea vers la salle qui lui était assigné aujourd'hui.

Étrange pensa t il tandis qu'il marchait. Les couloirs donnent l'impression que les murs ne sont pas droits...Est ce mon imagination ?

Arrivé ensuite dans sa salle de classe, il prit place derrière le bureau du professeur avant de s'y asseoir. Puis il fouilla dans sa mallette pour en sortir une trousse noire et une règle à l'aspect curieusement aiguisée avant de ce relever et de ce retourner vers le tableau. Prenant une craie il entreprit d'écrire son nom. Curieusement alors qu'il ponctuait son action par l'apposition du point sur le ''i'' de son nom le son de la craie sur l'ardoise fit l'effet déplaisant du son d'un couvercle que l'on refermerait sur un cercueil.

La jeune fille aux cheveux roses reprenait son souffle avec force en battant avec précipitation les bras comme pour faire entrer plus d'air en même temps. Enfin elle s'arrêta dans sa gymnastique étrange et lança un sourire des plus niais à sa voisine de car.
-Hi hi j'ai le coeur qui bat trop vite regarde, lui dit-elle en pressant la main de sa camarade contre sa poitrine.

La nouvelle amie eut l'air surprise.
fille: oooh! ça alors!! ^__________^
Et autour d'elles, les jeunes garçons commençaient à les regarder avec un air envieux. Le chauffeur bossu s'adressa aux élèves.
bossu: On arrive!
De même que le marin conduisant le car des premières.
marin: Nous vlà à bon port!
Et le type caché du car des terminales.
type: Désolé de vous déranger, mais nous arrivons bientôt à destination.

De la fenêtre fêlée et poussiéreuse de sa chambre, La professeur Prosaque apperçut les cars des élèves. "Ah oui, songea-t-elle, nous sommes sensés les acceuillir".

Elle sortit de sa chambre avant de savoir qu'elle ne savait même pas ou emmener ses élèves.

-Où ai-je mis ce plan?

Elle prit le parti d'attendre devant le bâtiment scolaire, petite silhouette ronde et grise dans le vent. Un spectacle étrange pour les lycéens qui arrivaient.

Kikoonya se ramassa lamentablement la poire en descendant du bus et récolta une nouvelle fois une volée de jurons de la part des élèves derrière elle.
Elle se releva maladroitement et eut à nouveau un sourire niais, en s'appuyant, sans lui demander son avis, sur sa "nouvelle" camarade.
"-Hi hi que je suis maladroite ^o^"

Liu sortait sans hâte du bus, attendant tranquillement que tout le monde soit passé devant lui, histoire que nul ne vienne lui casser les bonbons; ce qui lui permis d'assister au voutrage en régle de miss "1,5 de QI".
"ca doit étre fun de s'envoyer en l'air avec miss-airbag" se dit-il "a condition de lui avoir arraché les cordes vocales juste avant!"

Il fut tiré de ces réflexions - essentielles pour la survie de l'humanité s'il en est- par le spectacle d'une petite silhouette ronde et grise -une prof, a priori-, paumé au milieu des bâtiments a moitié ruinés, bâtiments pompeusement baptisés "lycée".

Le regard de Liu navigat de la silhouette aux bâtiments pendant 40 bonnes secondes, avant de se fixer définitivement sur la femme. Vus qu'elle avais une belle tête de prof, et comme il tenais a se fondre dans le décor (histoire d'éviter que les emmerdes inutiles n'arrivent trop vites), Liu cessais ses activités optiques; pour se concentrer sur ce qui devait immanquablement arriver: le soporifique discours de bienvenue!

(je foudroie personne du regard, je suis juste planté là comme une conne dans le vent parce que je sais pas quoi faire d'autre en dehors de disséquer un élève)

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