Cam'lautheu
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Re: Cam'lautheu
K-ro: Bah, nous on s'en fout... On regarde ça du paradis..
Kefka: J'ai jamais vu le paradis avec autant de flammes, de sang, et de cris d'agonies...
AA': Bon, c'est sûr que c'est pas le paradis pour tout le monde...
Les deux: ^____^
Kefka: -___-
Kefka: J'ai jamais vu le paradis avec autant de flammes, de sang, et de cris d'agonies...
AA': Bon, c'est sûr que c'est pas le paradis pour tout le monde...
Les deux: ^____^
Kefka: -___-
K-ro- Maitre du mond..forum ^^
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Re: Cam'lautheu
C'est la première partie de l'épisode, seulement...Hysteric Fairy a écrit:Tiens, personne n'est mort oO (hu hu)
Re: Cam'lautheu
En parlant de Kefka ça me rappelle qu'on ne l'a pas encore soumis à la torture depuis qu'on est arrivées au paradis *attache Kefka à une roue et le lance depuis le paradis*
Hysteric Fairy- Enorme floodeur
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Re: Cam'lautheu
Kefka: Hé! Mais je suis pas mort, moi!
*SPROUICH*
K-ro: Ben maintenant si.
*SPROUICH*
K-ro: Ben maintenant si.
K-ro- Maitre du mond..forum ^^
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Re: Cam'lautheu
Zut alors, comment va-t-on s'amuser avec lui maintenant ?
Hysteric Fairy- Enorme floodeur
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Re: Cam'lautheu
Kefka: Oooh! Je vais aller au paradis des nains!
ange nain: On t'a déjà dit que le paradis des nains n'acceptait que des nains! *coup de pied au fesse*
Kefka: Noaaaaaan!!
K-ro: Ayé, on peut recommencer à s'amuser avec lui...
ange nain: On t'a déjà dit que le paradis des nains n'acceptait que des nains! *coup de pied au fesse*
Kefka: Noaaaaaan!!
K-ro: Ayé, on peut recommencer à s'amuser avec lui...
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Re: Cam'lautheu
Ah justement j'ai un super jeu qui consiste à briser les os de la personne et... ahem
Hysteric Fairy- Enorme floodeur
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Re: Cam'lautheu
il a l'air trés fun ton jeu! Je peut jouer aussi? *sautille comme un gamin de 5 ans le matin de nowel*
squallgofsc- Sergent-recruteur Hartman
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Re: Cam'lautheu
Nina:Cessez de flooder la fic de IL, voyons!
IL: merci, mais tu fais quoi,là?*
Nina: Mais non, je ne floode pas....
IL: merci, mais tu fais quoi,là?*
Nina: Mais non, je ne floode pas....
Nina- Barbare floodeur
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Localisation : Dans son panier.
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Re: Cam'lautheu
Night-Beast a écrit:On peut flooder jusqu'à ce qu'on ait la suite, non ?
Euh...Comment dire....non
Re: Cam'lautheu
Après une trop longue attente et je m'en excuse encore...voila...ENFIN !
LA SUITE DE CETTE SAGA QUE MEME AVEUGLE SOURD ET MUET TU PLEURES TELLEMENT C EST BEAU ! ...ahem pardon...( merci encore à SR de m'avoir soutenu pendant la phase de correction...j'éspère quand même que je pourrais à nouveau un jour marcher et me reservir de mon pouce droit. Bon pour l'ortho j'ai encore pas mal de progrès à faire quoi....)
Quelques jours plus tard après l'ouverture du tournoi ...
Le seigneur Danlelac sifflotait gaiement en se regardant dans un grand miroir sur pied tandis que ses serviteurs ajustaient son imposante armure couleur nuit. Une fois que son plastron fut convenablement fixé, il les écarta d'un geste pour mieux se regarder dans la glace, puis coiffa son heaume surmonté d'une succube aux ailes déployées couleur sang brandissant une faux. Après un sourire à son reflet, il se tourna vers un petit homme habillé en guenilles ornées du symbole de la maison des Mortneant qui venait d'entrer tête baissée en faisant une révérence.
- Alors mon petit Viper as-tu fais ce que je t'ai demandé ?
- O...oui mon seigneur, répondit le gueux. Je lui ais apporté la gourde de vin que vous m'aviez ord....je voulais dire, demandé de lui porter ...
- Le seigneur Caravrogne a dût être ravi ... un cru aussi cher que corsé, dit distraitement le sir IL tout en prenant sa lance dans le râtelier contre le mur derrière lui.
- I ... oui mon seigneur ... il a même commencé à la boire quand je lui ai tendu messire ... il ne m’a même pas demandé qui m'envoyait, renchérit le serviteur avec une note d'espoir et de fierté dans la voix.
- Et il n'a même pas dût reconnaître l'emblème qui orne tes frusques je parie … tant mieux. Ah, Viper tu es un écuyer aussi compétent que je l'imaginais. Fais-moi penser à te trouver un meilleur lit dans les granges du château, tu l'as bien mérité. Au fait t'es tu enquérris de qui sera mon premier adversaire ?
- Oui messire. C'est ... le seigneur de Roo, il ... il vient d'El'tanye … on dit que c'est un brave.
- La manière polie de dire un chiot aussi sot et autosuffisant qu'inexpérimenté. Intéressant …
- Le ... messire souhaite-t-il que je lui offre également un ... présent ?
- Voyons Vipounet ! Fut-il réprimandé gentiment. Nous ne salirons pas notre honneur par de vils manigances ou procédés lâches et fourbes, même si c'est amplement suffisant pour de futurs ex-chevaliers comme cette baderne de Caravrogne, non … celui-là je le tuerai à la vue de tous et de la manière la plus voyante possible, je dois bien ça à toute les gentes demoiselles venues pour leur comptant de sang versé et de matières premières pour leur fantasmes lubriques.
- Messire est un exemple pour l'humble écuyer que je suis.
- Je sais mon petit, aller maintenant, va me chercher une bière et fais donc mander une servante, j'ai grand besoin de me détendre séant avant le combat.
*****************************
Les chevaliers s'élancèrent dans une parfaite synchronisation ; leurs destriers ne tardèrent point à se rencontrer, au centre de la ligne de joute. Là, en un éclair, sir IL donna le premier et unique coup de sa lance de cavalerie, envoyant son adversaire s'écraser violemment à terre dans un concert de bruits de ferraille. Hélas se faisant, il roula sous le noble étalon du vainqueur qui lui planta un sabot dans l'entrejambe écrasant maille protectrice, armure puis enfin chaire. Le hurlement d'horreur et d'agonie qui s'en suivit fut salué par les ovations de la foule en transe devant ce spectacle haut en couleur, tandis que le seigneur Danlelac prenait tout son temps pour dégager son cheval de ce carnage. Il fallut l'aide de quelques gardes pour transporter le vaincu hors de l'arène, bien que nul ne se faisait d'illusion sur son sort. Et en effet une dizaine de minutes plus tard, l'annonce du suicide du seigneur De Roo (dans une pièce fermée de l’extérieur) avec un trait d'arbalète qu'il s'était planté dans la nuque (après l'avoir utilisé pour se trancher la gorge) ne suscita que peu de surprise.
- Quelle boucherie, murmura le seigneur Aranvale qui assistait à la scène au côté du roi. Un peu surfaite quand même, cette mise à mort manquait de classe, vous ne trouvez pas mon Roi ?
- Ce ... c'était fort brutal en effet, lâcha le roi, le regard comme choqué par le spectacle auquel il venait d'assister. Peut-être un peu violent pour mon peuple …
- Non ! Au contraire Majesté, j'ai noté que la foule eut l'air de particulièrement apprécier quand le cheval a sorti son pied du pauvre vaincu et que le sang a jaillit telle une fontaine ... vous vous sentez bien votre grandeur ? Vous êtes devenue bien pâle.
- Le … la chaleur peut-être, mon ami. Le seigneur Danlelac a été fort brutal avec ce jeune chevalier vous ne trouvez pas … il ne devait même pas avoir 20 ans. Quel gâchis.
- En effet monseigneur, et je crois qu'il avait aussi des enfants et une mère terriblement malade. Le seigneur Danlelac aurait mieux fait de l'achever de suite dès le premier coup de lance … je lui en toucherai deux mots. Il va d'ailleurs falloir que j'y aille, cela va être mon tour. Votre Altesse …
Et sur ces mots, le seigneur Aranvale prit congé du roi tandis que l'on annonçait la prochaine joute contre lui et un jeune noble du nom de seigneur ''Delafarce".
Pendant ce temps, alors que les chevaliers entraient dans l'arène, Sa Majesté la reine s'était placée dans sa loge royale personnelle (au premier rang là où on avait le plus de chance de « bien voir chaque détail des mises à mort, chaque petites gouttelettes de sang et de se rendre compte de la fureur des combats », dixit elle-même) … et profitait du spectacle un verre à la main, entourée de ses dames de compagnie.
- Mamouuuur !!! Vas-y !
- Tsss, on voit au moins qui est le favori de Lady de Haulapin, dit la reine en lançant un regard désapprobateur à une de ses suivantes qui debout faisait des grands gestes à son mari.
- Et vous Majesté, avez-vous un champion ? Demanda une autre suivante en lui reversant du vin.
- Ma foi … dit-elle en prenant une gorgée de son verre tout en regardant le combat de messire Aran débuter. Mon royal époux ayant encore réussi à se défiler, nous opterons pour le sir Danlelac … voila au moins un chevalier qui n’a pas peur de se salir les mains.
- Il est tout de même assez rustre et sans gène dans ses habitudes, quand il n’est pas en service Votre Majesté … si je puis me permettre, répliqua la dame de sir Aranvale en se retournant tandis que son époux envoyait sa lance fracasser le casque de son adversaire faisant tomber celui-ci à terre. Il a tout de même osé encourager une de mes servantes à quitter mes appartements sans permission pour aller le rejoindre. Et cela en toute connaissance de cause, persifla d'un air maussade la dame de compagnie de la reine.
- Et qu'ont-ils fait de si ''sans gène'' ma chère amie ... ils n'ont quand même pas … dit la reine d'un sourire entendu, tandis qu'Aranvale descendait de son cheval son épée à la main et se dirigeait vers son adversaire encore au sol.
- Oh que si votre Altesse ! Soupira dame Nina d'un air outré. Et on ma rapporté qu'on entendait la pauvre fille hurler dans presque tout le château comme si elle était victime d'une bête sauvage ou sous l'emprise de quelques maléfices abjectes. Ecoeurant je vous dis !
- Quelle horreur en effet, et cette partie de jam … cette … ce triste spectacle de débauche a-t-il duré longtemps ? S'intéressa soudain la reine toute ouïe, délaissant l'arène où le chevalier du roi donnait de violents coups de pieds dans le ventre de son adversaire après lui avoir transpercé la jambe de son épée.
- Des heures m'a-t-on dit ! Bien assez en tout cas pour qu'on devine ce qui se passait dans la chambre de ce sir de Mortneant ! Et le pire c'est qu'après ça, cette idiote a errée une heure dans le château, les vêtements déchirés et dans un état lamentable avant de revenir s'excuser, sans quitter de la matinée un sourire niais de ses lèvres et un air béat des plus horripilants.
- Bigre, ça devait être … affreux ... il faudra que le seigneur Danlelac m'en touche deux mots … et me raconte cela au plus vite avec les détails, ajouta-t-elle pour elle-même d'un air rêveur (vicieux me semble mieux) alors que le chevalier Aranvale finissait le sir Delafarce en lui plongeant son épée dans la partie basse du ventre.
- De justes remontrances seraient une bonne idée en effet. Imaginez qu'il se mette à dévoyer d'autres chevaliers ! Le château deviendrait un antre du vice et de la débauche digne d'un pays barbare !
- C'est étrange, dit la reine en continuant de regarder le combat. Cela me rappelle une anecdote que j'ai entendue de la bouche d'une de vos servantes, sur des bruits tard dans la nuit et un lit complètement détruit …
- Oh … s'empourpra soudain dame Nina. C...ça n'avait rien à voir. Bon nous avions un peu bûs mais le lit était déjà fort abîmé et …
Un hurlement d'agonie la coupa, poussé par le sir Delafarce tandis que l'arme de son adversaire s'était enfoncée dans son postérieur et dont la pointe ressortait par le ventre.
- Je vois … il faudrait quand même que vous veniez en discuter avec moi ma chère. Mon mari s'absente en ce moment le soir, je pourrais avoir besoin de compagnie, lâcha t'elle distraitement avec un sourire de prédateur et en lui lançant un regard avide qui la fit rougir de plus belle.
Pendant ce temps, le seigneur Aranvale lui finissait de faire le tour de l'arène avec son cheval en levant fièrement la tête de feu son ennemi sous les vivats d'une foule aussi excitée que des fauves sentant l'odeur du sang. La fin de ce spectacle fit changer la conversation entre la reine et sa demoiselle d'honneur sur le ravissant coloris de l'emblème de la maison du sir Aranvale qui allait si bien ''avec ces petites taches de sang, on dirait des étoiles''
Quelques minutes plus tard …
Ce fut alors au noble sir Caravrogne du Crabe de jouter. Hélas la foule déchanta vite au vu de la prestance de ce nouvel arrivant. En effet alors que jusqu’à présent chaque chevalier, même humble, avait un port fier et une armure rutilante, le sir du Crabe lui dodelinait à moitié sur la selle d'un coursier maladif, trottant à une vitesse prodigieusement lente et poussive, laissant amplement le temps de voir l'allure de son cavalier qui laissait plus qu'à désirer (nyé ? efface). Son armure était ébréchée et n'avait visiblement pas été nettoyée depuis des années. La lance qu'il tenait était décolorée tel un vieux bout de bois. Et pour couronner le tout, les premiers gradins purent constater que la forte odeur de vin qui accompagnait cette apparition était à la hauteur du reste.
De l'autre côté de l'arène, son adversaire lui bien que ne recevant pas non plus de vivats in d'applaudissements, imposait au moins un silence de respect mêler d'effrois. De haute taille, engoncé dans une armure rouge sang avec pour seul ornement un crâne d'un noir de jais, il tenait fermement une énorme hache à la lame dentelée dont on avait gravé dessus ''égorge pucelle" en lettre gothique. Seul sa tête n'était pas protégée permettant de voir un visage dur, couturé de cicatrices, et orné d'un sourire plus que malsain tandis que ses yeux se posaient sur le jouteur concurrent. Le cheval qu'il chevauchait devait faire à peu prêt le double de poids et de taille de celui du noble chevalier de la table roide, et semblait bien plus hargneux à entendre ses renâclements et son envie visible de galoper plutôt que de trotter, tout juste refreiné par son cavalier.
Il était clair aux yeux de tous que le combat n'allait pas durer très longtemps au vu de ces deux belligérants …
… ce qui fut d'ailleurs le cas.
Alors que les deux guerriers se dirigeaient l'un vers l'autre au triple galop, le sir du Crabe se laissa finalement entraîner par le poids de sa lance et tomba de lui-même de son cheval au moment de l'impact, provoquant un hurlement de rage et de frustration chez son adversaire proprement effrayant. Après quelques mètres, celui-ci sembla réussir cependant à reprendre le contrôle de lui-même et fit faire une violente embardée à son étalon pour revenir en arrière. Il donna un grand coup de pied en passant au seigneur Caravrogne qui se relevait péniblement avant de continuer et de cette fois planter sa lance dans la tête du malheureux destrier de celui-ci en poussant un rugissement de victoire. Il prit ensuite tout son temps, devant le regard médusé de tout le monde, pour descendre de son propre cheval pour aller arracher le coeur de l'animal à terre et de le dévorer proprement. Une fois ce met sanglant finit, il alla vers le vaincu assis et encore sous le choc, et lui crachat un glaviot sanglant sur le casque et de lui redonner un coup de pied sur le crâne avant de partir en riant grassement.
Sitôt la fin de ce triste spectacle, des serviteurs accoururent vers le vaincu pour tenter de le relever. Ils durent s'y mettre à plusieurs tant le chevalier en armure semblait peser lourd. Après maints efforts ils réussirent enfin à le mettre debout mais celui-ci retomba derechef avant d'essayer de lui-même de s'asseoir.
-Du vin !! Veut du viiiin, se mit-il alors à brailler de façon animal quand il eut enfin réussit à se lever sur son séant tel un ivrogne jeté d'une taverne comme inconscient de l'humiliation déshonorante qu'il venait de subir. Ce n'est que quand il fut rattrapé par les rires de la foule qu'il sembla finalement comprendre et se décida à partir d'une démarche chaloupée en hoquetant sous le regard consterné de son roi. Les seigneurs Danlelac et Aranvale, eux, esquissèrent des sourires amusés, tandis que la reine faisait tout son possible pour masquer sa fureur intérieure, lançant des regards de mépris pur au chevalier qui venait de se couvrir de honte tandis qu'il disparaissait enfin de sa vue.
Ensuite alors que la foule se remettait de son hilarité et attendait la suite des évènements, Sa Majesté le roi décréta la fin du tournoi pour aujourd'hui, à cause de l'arrivé du soir (il était à peine 15H) et que demain verrait le dernier jour des épreuves, ainsi que le début des réjouissances en l'honneur des vainqueurs (réjouissances payantes pour la plèbe parce qu'il fallait pas pousser quand même, oublia de préciser le roi). Cette déclaration fut accueillie assez froidement par le peuple fortement déçu et engendra quelques émeutes, qui furent heureusement vite réprimées, quoique dans le sang. Les participants eux accueillirent la nouvelle avec un « ouffe » de soulagement, du moins ceux encore en état de respirer voir de parler.
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LA SUITE DE CETTE SAGA QUE MEME AVEUGLE SOURD ET MUET TU PLEURES TELLEMENT C EST BEAU ! ...ahem pardon...( merci encore à SR de m'avoir soutenu pendant la phase de correction...j'éspère quand même que je pourrais à nouveau un jour marcher et me reservir de mon pouce droit. Bon pour l'ortho j'ai encore pas mal de progrès à faire quoi....)
Quelques jours plus tard après l'ouverture du tournoi ...
Le seigneur Danlelac sifflotait gaiement en se regardant dans un grand miroir sur pied tandis que ses serviteurs ajustaient son imposante armure couleur nuit. Une fois que son plastron fut convenablement fixé, il les écarta d'un geste pour mieux se regarder dans la glace, puis coiffa son heaume surmonté d'une succube aux ailes déployées couleur sang brandissant une faux. Après un sourire à son reflet, il se tourna vers un petit homme habillé en guenilles ornées du symbole de la maison des Mortneant qui venait d'entrer tête baissée en faisant une révérence.
- Alors mon petit Viper as-tu fais ce que je t'ai demandé ?
- O...oui mon seigneur, répondit le gueux. Je lui ais apporté la gourde de vin que vous m'aviez ord....je voulais dire, demandé de lui porter ...
- Le seigneur Caravrogne a dût être ravi ... un cru aussi cher que corsé, dit distraitement le sir IL tout en prenant sa lance dans le râtelier contre le mur derrière lui.
- I ... oui mon seigneur ... il a même commencé à la boire quand je lui ai tendu messire ... il ne m’a même pas demandé qui m'envoyait, renchérit le serviteur avec une note d'espoir et de fierté dans la voix.
- Et il n'a même pas dût reconnaître l'emblème qui orne tes frusques je parie … tant mieux. Ah, Viper tu es un écuyer aussi compétent que je l'imaginais. Fais-moi penser à te trouver un meilleur lit dans les granges du château, tu l'as bien mérité. Au fait t'es tu enquérris de qui sera mon premier adversaire ?
- Oui messire. C'est ... le seigneur de Roo, il ... il vient d'El'tanye … on dit que c'est un brave.
- La manière polie de dire un chiot aussi sot et autosuffisant qu'inexpérimenté. Intéressant …
- Le ... messire souhaite-t-il que je lui offre également un ... présent ?
- Voyons Vipounet ! Fut-il réprimandé gentiment. Nous ne salirons pas notre honneur par de vils manigances ou procédés lâches et fourbes, même si c'est amplement suffisant pour de futurs ex-chevaliers comme cette baderne de Caravrogne, non … celui-là je le tuerai à la vue de tous et de la manière la plus voyante possible, je dois bien ça à toute les gentes demoiselles venues pour leur comptant de sang versé et de matières premières pour leur fantasmes lubriques.
- Messire est un exemple pour l'humble écuyer que je suis.
- Je sais mon petit, aller maintenant, va me chercher une bière et fais donc mander une servante, j'ai grand besoin de me détendre séant avant le combat.
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Les chevaliers s'élancèrent dans une parfaite synchronisation ; leurs destriers ne tardèrent point à se rencontrer, au centre de la ligne de joute. Là, en un éclair, sir IL donna le premier et unique coup de sa lance de cavalerie, envoyant son adversaire s'écraser violemment à terre dans un concert de bruits de ferraille. Hélas se faisant, il roula sous le noble étalon du vainqueur qui lui planta un sabot dans l'entrejambe écrasant maille protectrice, armure puis enfin chaire. Le hurlement d'horreur et d'agonie qui s'en suivit fut salué par les ovations de la foule en transe devant ce spectacle haut en couleur, tandis que le seigneur Danlelac prenait tout son temps pour dégager son cheval de ce carnage. Il fallut l'aide de quelques gardes pour transporter le vaincu hors de l'arène, bien que nul ne se faisait d'illusion sur son sort. Et en effet une dizaine de minutes plus tard, l'annonce du suicide du seigneur De Roo (dans une pièce fermée de l’extérieur) avec un trait d'arbalète qu'il s'était planté dans la nuque (après l'avoir utilisé pour se trancher la gorge) ne suscita que peu de surprise.
- Quelle boucherie, murmura le seigneur Aranvale qui assistait à la scène au côté du roi. Un peu surfaite quand même, cette mise à mort manquait de classe, vous ne trouvez pas mon Roi ?
- Ce ... c'était fort brutal en effet, lâcha le roi, le regard comme choqué par le spectacle auquel il venait d'assister. Peut-être un peu violent pour mon peuple …
- Non ! Au contraire Majesté, j'ai noté que la foule eut l'air de particulièrement apprécier quand le cheval a sorti son pied du pauvre vaincu et que le sang a jaillit telle une fontaine ... vous vous sentez bien votre grandeur ? Vous êtes devenue bien pâle.
- Le … la chaleur peut-être, mon ami. Le seigneur Danlelac a été fort brutal avec ce jeune chevalier vous ne trouvez pas … il ne devait même pas avoir 20 ans. Quel gâchis.
- En effet monseigneur, et je crois qu'il avait aussi des enfants et une mère terriblement malade. Le seigneur Danlelac aurait mieux fait de l'achever de suite dès le premier coup de lance … je lui en toucherai deux mots. Il va d'ailleurs falloir que j'y aille, cela va être mon tour. Votre Altesse …
Et sur ces mots, le seigneur Aranvale prit congé du roi tandis que l'on annonçait la prochaine joute contre lui et un jeune noble du nom de seigneur ''Delafarce".
Pendant ce temps, alors que les chevaliers entraient dans l'arène, Sa Majesté la reine s'était placée dans sa loge royale personnelle (au premier rang là où on avait le plus de chance de « bien voir chaque détail des mises à mort, chaque petites gouttelettes de sang et de se rendre compte de la fureur des combats », dixit elle-même) … et profitait du spectacle un verre à la main, entourée de ses dames de compagnie.
- Mamouuuur !!! Vas-y !
- Tsss, on voit au moins qui est le favori de Lady de Haulapin, dit la reine en lançant un regard désapprobateur à une de ses suivantes qui debout faisait des grands gestes à son mari.
- Et vous Majesté, avez-vous un champion ? Demanda une autre suivante en lui reversant du vin.
- Ma foi … dit-elle en prenant une gorgée de son verre tout en regardant le combat de messire Aran débuter. Mon royal époux ayant encore réussi à se défiler, nous opterons pour le sir Danlelac … voila au moins un chevalier qui n’a pas peur de se salir les mains.
- Il est tout de même assez rustre et sans gène dans ses habitudes, quand il n’est pas en service Votre Majesté … si je puis me permettre, répliqua la dame de sir Aranvale en se retournant tandis que son époux envoyait sa lance fracasser le casque de son adversaire faisant tomber celui-ci à terre. Il a tout de même osé encourager une de mes servantes à quitter mes appartements sans permission pour aller le rejoindre. Et cela en toute connaissance de cause, persifla d'un air maussade la dame de compagnie de la reine.
- Et qu'ont-ils fait de si ''sans gène'' ma chère amie ... ils n'ont quand même pas … dit la reine d'un sourire entendu, tandis qu'Aranvale descendait de son cheval son épée à la main et se dirigeait vers son adversaire encore au sol.
- Oh que si votre Altesse ! Soupira dame Nina d'un air outré. Et on ma rapporté qu'on entendait la pauvre fille hurler dans presque tout le château comme si elle était victime d'une bête sauvage ou sous l'emprise de quelques maléfices abjectes. Ecoeurant je vous dis !
- Quelle horreur en effet, et cette partie de jam … cette … ce triste spectacle de débauche a-t-il duré longtemps ? S'intéressa soudain la reine toute ouïe, délaissant l'arène où le chevalier du roi donnait de violents coups de pieds dans le ventre de son adversaire après lui avoir transpercé la jambe de son épée.
- Des heures m'a-t-on dit ! Bien assez en tout cas pour qu'on devine ce qui se passait dans la chambre de ce sir de Mortneant ! Et le pire c'est qu'après ça, cette idiote a errée une heure dans le château, les vêtements déchirés et dans un état lamentable avant de revenir s'excuser, sans quitter de la matinée un sourire niais de ses lèvres et un air béat des plus horripilants.
- Bigre, ça devait être … affreux ... il faudra que le seigneur Danlelac m'en touche deux mots … et me raconte cela au plus vite avec les détails, ajouta-t-elle pour elle-même d'un air rêveur (vicieux me semble mieux) alors que le chevalier Aranvale finissait le sir Delafarce en lui plongeant son épée dans la partie basse du ventre.
- De justes remontrances seraient une bonne idée en effet. Imaginez qu'il se mette à dévoyer d'autres chevaliers ! Le château deviendrait un antre du vice et de la débauche digne d'un pays barbare !
- C'est étrange, dit la reine en continuant de regarder le combat. Cela me rappelle une anecdote que j'ai entendue de la bouche d'une de vos servantes, sur des bruits tard dans la nuit et un lit complètement détruit …
- Oh … s'empourpra soudain dame Nina. C...ça n'avait rien à voir. Bon nous avions un peu bûs mais le lit était déjà fort abîmé et …
Un hurlement d'agonie la coupa, poussé par le sir Delafarce tandis que l'arme de son adversaire s'était enfoncée dans son postérieur et dont la pointe ressortait par le ventre.
- Je vois … il faudrait quand même que vous veniez en discuter avec moi ma chère. Mon mari s'absente en ce moment le soir, je pourrais avoir besoin de compagnie, lâcha t'elle distraitement avec un sourire de prédateur et en lui lançant un regard avide qui la fit rougir de plus belle.
Pendant ce temps, le seigneur Aranvale lui finissait de faire le tour de l'arène avec son cheval en levant fièrement la tête de feu son ennemi sous les vivats d'une foule aussi excitée que des fauves sentant l'odeur du sang. La fin de ce spectacle fit changer la conversation entre la reine et sa demoiselle d'honneur sur le ravissant coloris de l'emblème de la maison du sir Aranvale qui allait si bien ''avec ces petites taches de sang, on dirait des étoiles''
Quelques minutes plus tard …
Ce fut alors au noble sir Caravrogne du Crabe de jouter. Hélas la foule déchanta vite au vu de la prestance de ce nouvel arrivant. En effet alors que jusqu’à présent chaque chevalier, même humble, avait un port fier et une armure rutilante, le sir du Crabe lui dodelinait à moitié sur la selle d'un coursier maladif, trottant à une vitesse prodigieusement lente et poussive, laissant amplement le temps de voir l'allure de son cavalier qui laissait plus qu'à désirer (nyé ? efface). Son armure était ébréchée et n'avait visiblement pas été nettoyée depuis des années. La lance qu'il tenait était décolorée tel un vieux bout de bois. Et pour couronner le tout, les premiers gradins purent constater que la forte odeur de vin qui accompagnait cette apparition était à la hauteur du reste.
De l'autre côté de l'arène, son adversaire lui bien que ne recevant pas non plus de vivats in d'applaudissements, imposait au moins un silence de respect mêler d'effrois. De haute taille, engoncé dans une armure rouge sang avec pour seul ornement un crâne d'un noir de jais, il tenait fermement une énorme hache à la lame dentelée dont on avait gravé dessus ''égorge pucelle" en lettre gothique. Seul sa tête n'était pas protégée permettant de voir un visage dur, couturé de cicatrices, et orné d'un sourire plus que malsain tandis que ses yeux se posaient sur le jouteur concurrent. Le cheval qu'il chevauchait devait faire à peu prêt le double de poids et de taille de celui du noble chevalier de la table roide, et semblait bien plus hargneux à entendre ses renâclements et son envie visible de galoper plutôt que de trotter, tout juste refreiné par son cavalier.
Il était clair aux yeux de tous que le combat n'allait pas durer très longtemps au vu de ces deux belligérants …
… ce qui fut d'ailleurs le cas.
Alors que les deux guerriers se dirigeaient l'un vers l'autre au triple galop, le sir du Crabe se laissa finalement entraîner par le poids de sa lance et tomba de lui-même de son cheval au moment de l'impact, provoquant un hurlement de rage et de frustration chez son adversaire proprement effrayant. Après quelques mètres, celui-ci sembla réussir cependant à reprendre le contrôle de lui-même et fit faire une violente embardée à son étalon pour revenir en arrière. Il donna un grand coup de pied en passant au seigneur Caravrogne qui se relevait péniblement avant de continuer et de cette fois planter sa lance dans la tête du malheureux destrier de celui-ci en poussant un rugissement de victoire. Il prit ensuite tout son temps, devant le regard médusé de tout le monde, pour descendre de son propre cheval pour aller arracher le coeur de l'animal à terre et de le dévorer proprement. Une fois ce met sanglant finit, il alla vers le vaincu assis et encore sous le choc, et lui crachat un glaviot sanglant sur le casque et de lui redonner un coup de pied sur le crâne avant de partir en riant grassement.
Sitôt la fin de ce triste spectacle, des serviteurs accoururent vers le vaincu pour tenter de le relever. Ils durent s'y mettre à plusieurs tant le chevalier en armure semblait peser lourd. Après maints efforts ils réussirent enfin à le mettre debout mais celui-ci retomba derechef avant d'essayer de lui-même de s'asseoir.
-Du vin !! Veut du viiiin, se mit-il alors à brailler de façon animal quand il eut enfin réussit à se lever sur son séant tel un ivrogne jeté d'une taverne comme inconscient de l'humiliation déshonorante qu'il venait de subir. Ce n'est que quand il fut rattrapé par les rires de la foule qu'il sembla finalement comprendre et se décida à partir d'une démarche chaloupée en hoquetant sous le regard consterné de son roi. Les seigneurs Danlelac et Aranvale, eux, esquissèrent des sourires amusés, tandis que la reine faisait tout son possible pour masquer sa fureur intérieure, lançant des regards de mépris pur au chevalier qui venait de se couvrir de honte tandis qu'il disparaissait enfin de sa vue.
Ensuite alors que la foule se remettait de son hilarité et attendait la suite des évènements, Sa Majesté le roi décréta la fin du tournoi pour aujourd'hui, à cause de l'arrivé du soir (il était à peine 15H) et que demain verrait le dernier jour des épreuves, ainsi que le début des réjouissances en l'honneur des vainqueurs (réjouissances payantes pour la plèbe parce qu'il fallait pas pousser quand même, oublia de préciser le roi). Cette déclaration fut accueillie assez froidement par le peuple fortement déçu et engendra quelques émeutes, qui furent heureusement vite réprimées, quoique dans le sang. Les participants eux accueillirent la nouvelle avec un « ouffe » de soulagement, du moins ceux encore en état de respirer voir de parler.
******************************
Dernière édition par le Lun 19 Mar - 5:59, édité 1 fois
Re: Cam'lautheu
- Voila qui est fâcheux, ce barbare aurait dût le finir. Enfin, il a au moins donné matière à rire de ce sac à vin, soupira le sir Danlelac tandis qu'une soubrette lui servait à boire.
Sitôt le combat fini, il était retourné dans ses appartements, ne prenant même pas la peine d'enlever son armure. À quelques mètres de lui, à genoux, se tenait son écuyer au regard fuyant.
- Le vin n'était peut être pas assez fort … je regrette messire j'aurais cru qu'il aurait bu toute la bouteille ...
- Tu n'as donc pas été attentif mon bon ? Mais il l'a bu ça crevait les yeux ! Il a seulement eu une meilleure résistance à l'alcool que je n'aurais crû. Remarque, j'ai peut être mes tords, ce mercenaire à été incapable de comprendre que la grosse mule pleine et à l'aire pas très fine dont je lui avait parlé était le sir Caravrogne et pas sa monture, bien que j'admet la confusion était possible. Pfff, bon au moins je l'aurais ridiculisé.
- Il va donc falloir quelqu'un pour finir le travail … enfin je suppose … mon seigneur.
- C'est là que cela va être un peu bourrin. Il va maintenant falloir que je trouve la bonne poire et le couteau pour la cueillir.
- Mais comment monseigneur va-t-il trouver malandrin pour si affreuse besogne ?
- Voyons mon sot écuyer, c'est simple, toujours faire soi-même ce que d'autres répugneraient à faire pour autrui, quand on est pressé. Va falloir se salir, les mains pour une fois. Fais dire à la garde qu'ils m'attendent ce soir. Dis leur que je sens qu'il risque d'y avoir du grabuge, vers la taverne habituelle du sir Du crabe.
******************
- Qu … que m'est-il arrivé ? S'interrogea le sir Night alors qu'il émergeait de l'oubli humide où il était tristement étalé.
Il venait en effet de se réveiller dans une ruelle sombre empestant l'alcool. La tête douloureuse, il réussit seulement au bout de 2 essais à se relever péniblement à l'aide d'un mur, mais sa mémoire semblait être restée sur ces derniers, tant les évènements qui l'avaient conduit là restaient flous et incertains. Il se souvenait avoir bu un peu, puis le seigneur Mortneant était partit tôt prétextant un mal de tête, puis le sir Caravrogne avait payé sa tournée et … tout n'était que brouillard ensuite.
- Dernière fois que je suis Cara dans un jeu à boire ... aïeu ma tête … ‘tain on voit rien. Et où suis je bon sang ...
Son pied buta soudain contre un objet lourd. Malgré l'obscurité sir Night réussit à l'attraper. Là, à la faible lueur des étoiles, il reconnut un long poignard maculé d'une substance sombre et gluante une fois qu'il l'eut ramassé.
- Oh merde ... fit-il quand son cerveau se réveilla soudainement.
C'est alors qu'il fit un nouveau pas en avant et marcha cette fois sur quelque chose de mou.
- Oh non, se lamenta-t-il. Faîtes que ça soit pas ce que je pense, faîtes ce que ça soit pas ce que je pense …
Il se résolut à baisser alors les yeux et entrevit quelque chose de pâle ressemblant à une main.
- Et merde. Bon, réfléchit Nightounet, reste zen. Zeeen ... ouffe ... on respire … après tout y a pas encore eu mort d'homme … ahaha......
Le reste de la scène se passa ensuite, se rappela-t-il, comme dans un très mauvais rêve. Il entendit d'abord le ferraillement de bottes, puis la lumière aveuglante de torches lui fit lever le couteau qu'il tenait avant qu'une main recouverte de maille lui attrape le poignet et l'abaisse violemment, tandis qu'une voix qu'il connaissait bien criait de se saisir de lui. Il essaya de protester mais le très suremployé ''je peux tout vous expliquez'' n'eu pas l'effet escompté et il se retrouva par terre, les dents contre le pavé et une botte contre sa nuque.
- Seigneur Night, dit le sir Danlelac. Vous n'imaginez pas à quel point cela me navre de devoir faire ça, se désola-t-il sans essayer le moins du monde de réprimer un large sourire.
Puis ce fut un nouveau plongeon dans le noir total.
*traveling horizontal sur la scène*
*générique*
Let the bodies hit the floor
Let the bodies hit the floor
Let the bodies hit the floor
Let the bodies hit the...
FLOORRR!!!!
Beaten, why for (why for)
Can't take much more
here we go, here we go, here we go now
One
Nothing wrong with me
Two
Nothing wrong with me
Three
Nothing wrong with me
Four
Nothing wrong with me
One
Something's got to give
Two
Something's got to give
Three
Something's got to give
, now..
Let the bodies hit the floor
Let the bodies hit the floor
Let the bodies hit the...
FLOOORRRRRRRRR!!!!!!!
Let the bodies hit the floor
Let the bodies hit the floor
Let the bodies hit the....
FLOORRRRRRRR!!!!!
Move...
Push me again (again)
This is the end
here we go, here we go, here we go now
One
Nothing wrong with me
Two
Nothing wrong with me
Three
Nothing wrong with me
Four
Nothing wrong with me
One
Something's got to give
Two
Something's got to give
Three
Something's got to give , now...
Let the bodies hit the floor
Let the bodies hit the floor
Let the bodies hit the floor...
Let the bodies hit the floorrr!!!
Let the bodies hit the floor
Let the bodies hit the floor
let the bodies hit the floor
Skin against skin, blood and bone
Your all by yourself but your not alone
You wanted in, now your here
Driven by hate, consumed by fear
Let the bodies hit the floor
Let the bodies hit the floor
Let the bodies hit the floor
Let the bodies hit the...
FLOOOOOOR - AAAAAAAAAAAAAH
One
Nothing wrong with me
Two
Nothing wrong with me
Three
Nothing wrong with me
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One
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Two
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Let the bodies hit the floor
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Let the bodies hit the floor
Hey...
Go!
Hey...
Go!
Hey...
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Hey...
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- Tu n'as donc pas été attentif mon bon ? Mais il l'a bu ça crevait les yeux ! Il a seulement eu une meilleure résistance à l'alcool que je n'aurais crû. Remarque, j'ai peut être mes tords, ce mercenaire à été incapable de comprendre que la grosse mule pleine et à l'aire pas très fine dont je lui avait parlé était le sir Caravrogne et pas sa monture, bien que j'admet la confusion était possible. Pfff, bon au moins je l'aurais ridiculisé.
- Il va donc falloir quelqu'un pour finir le travail … enfin je suppose … mon seigneur.
- C'est là que cela va être un peu bourrin. Il va maintenant falloir que je trouve la bonne poire et le couteau pour la cueillir.
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- Voyons mon sot écuyer, c'est simple, toujours faire soi-même ce que d'autres répugneraient à faire pour autrui, quand on est pressé. Va falloir se salir, les mains pour une fois. Fais dire à la garde qu'ils m'attendent ce soir. Dis leur que je sens qu'il risque d'y avoir du grabuge, vers la taverne habituelle du sir Du crabe.
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- Qu … que m'est-il arrivé ? S'interrogea le sir Night alors qu'il émergeait de l'oubli humide où il était tristement étalé.
Il venait en effet de se réveiller dans une ruelle sombre empestant l'alcool. La tête douloureuse, il réussit seulement au bout de 2 essais à se relever péniblement à l'aide d'un mur, mais sa mémoire semblait être restée sur ces derniers, tant les évènements qui l'avaient conduit là restaient flous et incertains. Il se souvenait avoir bu un peu, puis le seigneur Mortneant était partit tôt prétextant un mal de tête, puis le sir Caravrogne avait payé sa tournée et … tout n'était que brouillard ensuite.
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- Et merde. Bon, réfléchit Nightounet, reste zen. Zeeen ... ouffe ... on respire … après tout y a pas encore eu mort d'homme … ahaha......
Le reste de la scène se passa ensuite, se rappela-t-il, comme dans un très mauvais rêve. Il entendit d'abord le ferraillement de bottes, puis la lumière aveuglante de torches lui fit lever le couteau qu'il tenait avant qu'une main recouverte de maille lui attrape le poignet et l'abaisse violemment, tandis qu'une voix qu'il connaissait bien criait de se saisir de lui. Il essaya de protester mais le très suremployé ''je peux tout vous expliquez'' n'eu pas l'effet escompté et il se retrouva par terre, les dents contre le pavé et une botte contre sa nuque.
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Hey...
Go!
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Re: Cam'lautheu
Le nouveau tube des HFFH?
K-ro- Maitre du mond..forum ^^
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Localisation : En train de préparer un autre plan pour la conquête du monde
Date d'inscription : 11/01/2005
Re: Cam'lautheu
Mais, mais, que fait Drowning Pool à la fin ?
...
Ca a le mérite d'être un bon morceau.
...
Ca a le mérite d'être un bon morceau.
Gorgon_Roo- Général
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Localisation : Entre deux différents mondes pourtant si proches
Date d'inscription : 13/01/2005
Re: Cam'lautheu
HS : épisode bonus : 9999 ans plus tard.: Blood fiction
Une grande ville au nord est du Royaume fédéral de Bretagnie, an 2346 du calendrier post chrétyn 08H08
Une voiture roule à tombeau ouvert dans une rue presque déserte, dans une violente embardée elle évite un petit chat au milieu de la route et écrase violemment le petit Kevin 9 ans sur le trottoir dans son beau t-shirt Naruto powa. Puis dans un violent crissement de pneu reprend sa position initial sur la route. Le sang s'écoule sur la plaque numérologique du bolide où est gravé en lettres couleur d'encre sur fond blanc maintenant rougie : IL L1VE F4 EVER.
Dans cette voiture qui file vers le quartier dit ''populaire'' ( la façon aimable pour ''bidonville des paumés" ) deux employés de la Highrabbit corp s'échangaient des propos débonnaires.
- Tain ça fait peur ce qu'on voit dans les rues...Me dis pas que c'est normal de laisser des gosses dehors à cette heure..Enfin, donc tu disais, en fait c'est la plèbe qui élit son dirigeant ?
- Voila et ensuite celui ci nomme les ministres de son gouvernements, ils appellent ça le suffrage universel.
- Donc celui qui leur aura le plus bourré le moue en leur disant ce qu'ils veulent entendre donc ?
- Heins, heins, pathétique je sais, mais attend y a pire. Tout le monde peu voter sans distinction.
- Même les clodos camés qui enculent des rats dans les égouts ?
- Pour peu qu'ils aient une carte d'électeur, oui.
- Barbare et après on s'étonne que leur pays sois en pleine guerre civile. Et la bouffe ?
- Immonde j'ose même pas en parler. Tiens tu sais ce qu'ils mettent sur leurs pizza las bas ?
- Non.
- Des ananas.
- Les salauds !
- Mwahaha... Ouais pas la peine que je te fasse un tableau. Le pire c'est qu'ils en deviennent hilarant ces cons avec leurs conneries.
- Genre ?
- Tiens devine comment ils appellent les sodas las bas.
- Boissons pétillantes ?
- Nann ! D'ailleurs ces cons disent même pas boissons mais breuvage, va comprendre. Non ils disent une ''liqueur''.
- De quoi passer pour un alcolo après avec leur langage à la noix.
- Clair.
Au bout de quelques minutes de route la voiture se garra enfin devant un vieille immeuble d'aspect miteux. Là les deux hommes tout en continuant à discuter sortirent de leur véhicule et ouvrirent le coffre de celui ci pour y sortirent chacun un revolver.
- Au fait y a combien de gars. Demanda celui portant des lunettes de soleil et ayant sur sa chemise noire un badge au nom de Sozeyh B. Danlac, HR. Corp. tout en chargeant son arme.
- 3 ou 4, nous attendent pas, des petites frappes normalement pas armées. Lui répondit celui dont le nom sur son badge était Nayte Biste. tout en rangeant son arme pour soupeser un fusil à pompe.
- Normalement ? C'est à dire ils ont probablement pas eux le temps de s'acheter des flingues ou bien ils ont ''normalement" pas compris qu'ils allaient être bon pour une exécution sommaire ?
- Ils ont été jugés trop cons pour avoir compris qu'ils s'étaient attirés les foudres du plus gros caïd du coin. C'est déjà suffisant pour qu'on cherche pas plus loin.
- Mouais. Maugréa celui appelé Sozeyh en remettant à sa place le pistolet automatique pour prendre un vieux revolver dénotant fortement au milieu de toutes ces armes à feux plus modernes dont il vérifia le barillet avant de le prendre avec lui. Faudrait quand même qu'ils me sortent la définition de normalement ceux qui tapent les ordres de mission. Puis après que son coéquipier est fait son choix il ferma le coffre et lui emboîta le pas vers l'immeuble.
- Au fait ils ont fait quoi ceux là ?
- Parait qu'ils ont refilés à un de nos agents des contres façons d'oeuvres d'arts ça aurait passés si ils avaient pas maquillé une statue en plâtre vite faite avec un jolis made in elta dessus pour faire croire que c'était un totem de dieu lapin. Pas de pot pour eux le boss l'avait prit pour faire un cadeau à madame.
- C'est tout ? Juste pour une putain de statue de lapin ?
- Une fausse statue, parait que quand sa femme la déballée les oreilles sont tombée, foutant par la même occasion du plâtre sur la précieuse moquette du très chic salon de monsieur et madame Haulapin. Parait qu'il à même fait bloquer toute les frontières du pays en graissant la patte aux flics desfois que ces cons essayent de ce barrer.
- Moche. En même temps c'est pas un peu...Abusé ? Bon ok ils méritent ce qui va leur arriver mais bon un tabassage en règle aurait pas suffit ?
- C'est le boss tu sais il a toujours eu ce côté impulsif, et c'est encore pire depuis qu'il est marié. Ajouta Nayte alors qu'ils arrivaient devant l'ascenseur qui commençai déjà à s'ouvrir comme si il les attendaient. Tiens tu te souviens de Winnie le gars qui ce fringuait comme un Yakusa angel et qui ressemblait à un vieil acteur de série B, même qu'on l'appelait Tom Selleck à cause de ça . Eh ben monsieur le PDG n'a pas aimé une de ses frasques par rapport à sa femme et la énuclé à coup de crochet de boucher. C'est le 4ème étage.
- Non ? Tu vas pas me dire que ce con a essayer de draguer la meuf du patron ? Ce mit à sourire Sozeyh tandis que son doigt ce posait sur le panneau de contrôle.
- Non, il lui à juste fait un baise main et là le boss l'a passé par la fenêtre de son apparte avant de lui arracher les yeux, parait qu'il avait mal interprété le geste.
- Tu m'étonne. Bon en même temps c'est comme un voiture ou une brosse à dent c'est perso une nana....Mais bon là il a dut tellement morflé qu'il devait même plus ce souvenir de pourquoi on lui faisait ça.
- Les petits désagréments quand on punis trop sévèrement. Je trouve que là c'était même carrément du pétage de cable si tu veus mon avis.
- Bah en même temps il avait peut être aussi envie de faire un exemple, genre je sais pas marquer son territoire en montrant que nous n'étions tous que de simples mortels....
Nayte le coupa alors que les portes de l'ascenseur s'ouvraient à nouveau.
- Attend, ça marque son territoire un lapin ? C'est pas les chats ou les loups qui pissent partout pour que les autres mâles s'approchent pas ?
Sozeyh s'esclaffa tout en cherchant des yeux quelque chose dans le couloir qui s'offrait a eux.
- Qu'est ce que j'en sais ? je veux dire juste que métaphoriquement il a voulu montrer où était la frontière à ne pas franchir. Toujours plus classe que de pisser sur les murs de son bureau.
Une grande ville au nord est du Royaume fédéral de Bretagnie, an 2346 du calendrier post chrétyn 08H08
Une voiture roule à tombeau ouvert dans une rue presque déserte, dans une violente embardée elle évite un petit chat au milieu de la route et écrase violemment le petit Kevin 9 ans sur le trottoir dans son beau t-shirt Naruto powa. Puis dans un violent crissement de pneu reprend sa position initial sur la route. Le sang s'écoule sur la plaque numérologique du bolide où est gravé en lettres couleur d'encre sur fond blanc maintenant rougie : IL L1VE F4 EVER.
Dans cette voiture qui file vers le quartier dit ''populaire'' ( la façon aimable pour ''bidonville des paumés" ) deux employés de la Highrabbit corp s'échangaient des propos débonnaires.
- Tain ça fait peur ce qu'on voit dans les rues...Me dis pas que c'est normal de laisser des gosses dehors à cette heure..Enfin, donc tu disais, en fait c'est la plèbe qui élit son dirigeant ?
- Voila et ensuite celui ci nomme les ministres de son gouvernements, ils appellent ça le suffrage universel.
- Donc celui qui leur aura le plus bourré le moue en leur disant ce qu'ils veulent entendre donc ?
- Heins, heins, pathétique je sais, mais attend y a pire. Tout le monde peu voter sans distinction.
- Même les clodos camés qui enculent des rats dans les égouts ?
- Pour peu qu'ils aient une carte d'électeur, oui.
- Barbare et après on s'étonne que leur pays sois en pleine guerre civile. Et la bouffe ?
- Immonde j'ose même pas en parler. Tiens tu sais ce qu'ils mettent sur leurs pizza las bas ?
- Non.
- Des ananas.
- Les salauds !
- Mwahaha... Ouais pas la peine que je te fasse un tableau. Le pire c'est qu'ils en deviennent hilarant ces cons avec leurs conneries.
- Genre ?
- Tiens devine comment ils appellent les sodas las bas.
- Boissons pétillantes ?
- Nann ! D'ailleurs ces cons disent même pas boissons mais breuvage, va comprendre. Non ils disent une ''liqueur''.
- De quoi passer pour un alcolo après avec leur langage à la noix.
- Clair.
Au bout de quelques minutes de route la voiture se garra enfin devant un vieille immeuble d'aspect miteux. Là les deux hommes tout en continuant à discuter sortirent de leur véhicule et ouvrirent le coffre de celui ci pour y sortirent chacun un revolver.
- Au fait y a combien de gars. Demanda celui portant des lunettes de soleil et ayant sur sa chemise noire un badge au nom de Sozeyh B. Danlac, HR. Corp. tout en chargeant son arme.
- 3 ou 4, nous attendent pas, des petites frappes normalement pas armées. Lui répondit celui dont le nom sur son badge était Nayte Biste. tout en rangeant son arme pour soupeser un fusil à pompe.
- Normalement ? C'est à dire ils ont probablement pas eux le temps de s'acheter des flingues ou bien ils ont ''normalement" pas compris qu'ils allaient être bon pour une exécution sommaire ?
- Ils ont été jugés trop cons pour avoir compris qu'ils s'étaient attirés les foudres du plus gros caïd du coin. C'est déjà suffisant pour qu'on cherche pas plus loin.
- Mouais. Maugréa celui appelé Sozeyh en remettant à sa place le pistolet automatique pour prendre un vieux revolver dénotant fortement au milieu de toutes ces armes à feux plus modernes dont il vérifia le barillet avant de le prendre avec lui. Faudrait quand même qu'ils me sortent la définition de normalement ceux qui tapent les ordres de mission. Puis après que son coéquipier est fait son choix il ferma le coffre et lui emboîta le pas vers l'immeuble.
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- Parait qu'ils ont refilés à un de nos agents des contres façons d'oeuvres d'arts ça aurait passés si ils avaient pas maquillé une statue en plâtre vite faite avec un jolis made in elta dessus pour faire croire que c'était un totem de dieu lapin. Pas de pot pour eux le boss l'avait prit pour faire un cadeau à madame.
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- Une fausse statue, parait que quand sa femme la déballée les oreilles sont tombée, foutant par la même occasion du plâtre sur la précieuse moquette du très chic salon de monsieur et madame Haulapin. Parait qu'il à même fait bloquer toute les frontières du pays en graissant la patte aux flics desfois que ces cons essayent de ce barrer.
- Moche. En même temps c'est pas un peu...Abusé ? Bon ok ils méritent ce qui va leur arriver mais bon un tabassage en règle aurait pas suffit ?
- C'est le boss tu sais il a toujours eu ce côté impulsif, et c'est encore pire depuis qu'il est marié. Ajouta Nayte alors qu'ils arrivaient devant l'ascenseur qui commençai déjà à s'ouvrir comme si il les attendaient. Tiens tu te souviens de Winnie le gars qui ce fringuait comme un Yakusa angel et qui ressemblait à un vieil acteur de série B, même qu'on l'appelait Tom Selleck à cause de ça . Eh ben monsieur le PDG n'a pas aimé une de ses frasques par rapport à sa femme et la énuclé à coup de crochet de boucher. C'est le 4ème étage.
- Non ? Tu vas pas me dire que ce con a essayer de draguer la meuf du patron ? Ce mit à sourire Sozeyh tandis que son doigt ce posait sur le panneau de contrôle.
- Non, il lui à juste fait un baise main et là le boss l'a passé par la fenêtre de son apparte avant de lui arracher les yeux, parait qu'il avait mal interprété le geste.
- Tu m'étonne. Bon en même temps c'est comme un voiture ou une brosse à dent c'est perso une nana....Mais bon là il a dut tellement morflé qu'il devait même plus ce souvenir de pourquoi on lui faisait ça.
- Les petits désagréments quand on punis trop sévèrement. Je trouve que là c'était même carrément du pétage de cable si tu veus mon avis.
- Bah en même temps il avait peut être aussi envie de faire un exemple, genre je sais pas marquer son territoire en montrant que nous n'étions tous que de simples mortels....
Nayte le coupa alors que les portes de l'ascenseur s'ouvraient à nouveau.
- Attend, ça marque son territoire un lapin ? C'est pas les chats ou les loups qui pissent partout pour que les autres mâles s'approchent pas ?
Sozeyh s'esclaffa tout en cherchant des yeux quelque chose dans le couloir qui s'offrait a eux.
- Qu'est ce que j'en sais ? je veux dire juste que métaphoriquement il a voulu montrer où était la frontière à ne pas franchir. Toujours plus classe que de pisser sur les murs de son bureau.
Re: Cam'lautheu
- Mwahaha rah c'est malin j'ai l'image en tête maintenant. C'est là, appartement B. Ta pris quoi au fait ?
- Mon single Action Army model ''Ocelot''. A cette heure les voisins doivent tous être au boulot de toute façon.
- Tu as encore cette vieillerie ? J'en reviens pas qu'ils fabriquent encore les balles pour ce truc.
- Mon grand père à tué pleins de vils ennemis de notre belle nation avec ce truc comme tu dis pendant la guerre. Ajouta Sozeyh sur un ton de reproche avant d'appuyer sur la sonnette de l'appartement que lui avait indiqué son équipier.
- Ouais et aussi sa femme et un voisin qui passait la tondeuse un Dimanche matin également d'ailleur.
- Toujours joindre l'utile à l'agréable, devise familiale. Eu t'il le temps de rétorquer avant que la porte s'ouvre et que surgisse dans l'ouverture un jeune homme au regard mal réveillé et à la mine de celui qui a trop abusé des charmes de certaines substances chimique .
- Spourkoi ?
- Agent Mulder et Scully, FBI. Se présenta Nayte.
- Laule, c'est vrai ?
- Non, pas là, non. Lui répondit Sozeyh. Et alors que l'échos de ses derniers mots s'estompaient il sortit son revolver à qui il fait faire un 360 degrés dans sa main avant de coller le canon sur le front du jeune homme aux yeux vitreux et de presser la détente. Le corps tomba à la renverse tel un sac poubelle jetté au sol qui fut enjambé sans un regard par Sozeyh et Nayte devant le regard médusé des deux autres locataires présent dans la pièce dans laquelle ils venaient d'entrer.
- Salut les kikoos HR corp service nettoyage à domicile. Annonça Sozeyh avec un grand sourire aux deux occupant des lieux. On reste pas désolé c'est juste le temps de repeindre les murs avec vos cervelles.
- Ouate zeu Feuque ? S'exclama une des deux futures victimes avant d'être touchée en pleine poitrine par Nayte et de s'écrouler à son tour dans un garguouillie d'agonie.
- Oh my god oh my god oh my god....Se mit à gémir pour sa part l'autre propriétaire des lieux tandis qu'il était soudain atteint de tremblements sur tout le corps.
- Attend je t'emmène le voir. Lui dit Sozeyh avant de lui mettre deux balles au niveau du coeur.
Tout cela n'avait duré que quelques secondes mais cela avait suffit pour changer radicalement l'atmosphère de la pièce et ce malgré une télé qui diffusait Madame est servie dans un coin.
- Déjà ? Constata l'agent Danlac alors que son camarade s'assurait que sa victime était bien morte en lui donnant un coup de pieds dans le ventre.
- Ouais. Je suis presque déçus pour le coup.
C'est alors qu'une autre personne j'aillis de derriere un canapé un katana à la main le visage congestioné par la peur et fonça tête baissé vers les deux agents.
- J'VAIS VOUS PWNED BANDES D'ENFOIREEEEEES !!
Il fut hélas proprement et calmement mis en joue puis mitraillé par les tirs des deux agresseurs de ses amis qui ne lui laissairent guère plus de chance.
- Pff..Tocard. Soupira Sozeyh en rechargeant son arme. Tu sais c'est quand même bizzare...
- Quoi donc ?
- J'ai l'impression d'avoir toujours fait ça, cette routine sanglante à base d'extorsion, de meurtre et de sales boulots. Et tout ça sans jamais être lassé en plus. Zarbe heins ?
- Ouais je vois ce que tu veus dire.
- Doit être karmique ptet ou le destin aussi. Bon aller je te paye un ptit dej ça me donne faim ces conneries....
A suivre ( dans un autre temps, mais avec le même karma)
Désolé retards toussa j'ai eu une grosse coupure d'inspi ( Pulp fiction ma bien aidé ) J'ai voulu tenter quelque chose de différent j'éspère que sa va plaire ^^
- Mon single Action Army model ''Ocelot''. A cette heure les voisins doivent tous être au boulot de toute façon.
- Tu as encore cette vieillerie ? J'en reviens pas qu'ils fabriquent encore les balles pour ce truc.
- Mon grand père à tué pleins de vils ennemis de notre belle nation avec ce truc comme tu dis pendant la guerre. Ajouta Sozeyh sur un ton de reproche avant d'appuyer sur la sonnette de l'appartement que lui avait indiqué son équipier.
- Ouais et aussi sa femme et un voisin qui passait la tondeuse un Dimanche matin également d'ailleur.
- Toujours joindre l'utile à l'agréable, devise familiale. Eu t'il le temps de rétorquer avant que la porte s'ouvre et que surgisse dans l'ouverture un jeune homme au regard mal réveillé et à la mine de celui qui a trop abusé des charmes de certaines substances chimique .
- Spourkoi ?
- Agent Mulder et Scully, FBI. Se présenta Nayte.
- Laule, c'est vrai ?
- Non, pas là, non. Lui répondit Sozeyh. Et alors que l'échos de ses derniers mots s'estompaient il sortit son revolver à qui il fait faire un 360 degrés dans sa main avant de coller le canon sur le front du jeune homme aux yeux vitreux et de presser la détente. Le corps tomba à la renverse tel un sac poubelle jetté au sol qui fut enjambé sans un regard par Sozeyh et Nayte devant le regard médusé des deux autres locataires présent dans la pièce dans laquelle ils venaient d'entrer.
- Salut les kikoos HR corp service nettoyage à domicile. Annonça Sozeyh avec un grand sourire aux deux occupant des lieux. On reste pas désolé c'est juste le temps de repeindre les murs avec vos cervelles.
- Ouate zeu Feuque ? S'exclama une des deux futures victimes avant d'être touchée en pleine poitrine par Nayte et de s'écrouler à son tour dans un garguouillie d'agonie.
- Oh my god oh my god oh my god....Se mit à gémir pour sa part l'autre propriétaire des lieux tandis qu'il était soudain atteint de tremblements sur tout le corps.
- Attend je t'emmène le voir. Lui dit Sozeyh avant de lui mettre deux balles au niveau du coeur.
Tout cela n'avait duré que quelques secondes mais cela avait suffit pour changer radicalement l'atmosphère de la pièce et ce malgré une télé qui diffusait Madame est servie dans un coin.
- Déjà ? Constata l'agent Danlac alors que son camarade s'assurait que sa victime était bien morte en lui donnant un coup de pieds dans le ventre.
- Ouais. Je suis presque déçus pour le coup.
C'est alors qu'une autre personne j'aillis de derriere un canapé un katana à la main le visage congestioné par la peur et fonça tête baissé vers les deux agents.
- J'VAIS VOUS PWNED BANDES D'ENFOIREEEEEES !!
Il fut hélas proprement et calmement mis en joue puis mitraillé par les tirs des deux agresseurs de ses amis qui ne lui laissairent guère plus de chance.
- Pff..Tocard. Soupira Sozeyh en rechargeant son arme. Tu sais c'est quand même bizzare...
- Quoi donc ?
- J'ai l'impression d'avoir toujours fait ça, cette routine sanglante à base d'extorsion, de meurtre et de sales boulots. Et tout ça sans jamais être lassé en plus. Zarbe heins ?
- Ouais je vois ce que tu veus dire.
- Doit être karmique ptet ou le destin aussi. Bon aller je te paye un ptit dej ça me donne faim ces conneries....
A suivre ( dans un autre temps, mais avec le même karma)
Désolé retards toussa j'ai eu une grosse coupure d'inspi ( Pulp fiction ma bien aidé ) J'ai voulu tenter quelque chose de différent j'éspère que sa va plaire ^^
Re: Cam'lautheu
Minute culturelle :
Les lapins marquent effectivement leur territoire, en frottant leur menton. (Ils ont une glande à cette endroit pour ça)
Certains mâle pisse également en plus.
_ _ _ _
Bref, sinon... bah voilà, quoi.
L'inspi pulp fiction se sent à fond, mais c'est pas un mal.
Les lapins marquent effectivement leur territoire, en frottant leur menton. (Ils ont une glande à cette endroit pour ça)
Certains mâle pisse également en plus.
_ _ _ _
Bref, sinon... bah voilà, quoi.
L'inspi pulp fiction se sent à fond, mais c'est pas un mal.
Re: Cam'lautheu
Et parfois aussi, ils pissent sur les pieds de tables.
Sinon, à propos de la fic: moi, j'aime les ananas dans les pizzas, na.
Sinon, à propos de la fic: moi, j'aime les ananas dans les pizzas, na.
Nina- Barbare floodeur
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Re: Cam'lautheu
Episode 4 Massacre et volte face !
Alors que le palais de Bretagnie subit une vague d'accident des plus douteuses (note du meurtrier : hey un meurtre par definition c'est pas propre non plus hein !) Sa majesté le roi organise un tournois pour faire surtout plaisir à dame son épouse. Hélas cette seine competition sportive ( bon un peu violente ok) trouve une fin incroyable et dramatique avec l'arrestation de Sir Nayte chevalier du Roy pour meurtre et trafique de nains de jardin. Celui ci clamant son innocence en demande à un procès équitable. Après recherche de la définition de ce mot le Roy Artifur donna son accord et decida d'arbitrer ce procès. Et pendant ce temps le MAAAAL tisse sa toile en feuilletant une revue démonique au titre évocateur de ''Demonlord mag : être une ordure, mais une ordure classe'' dans ses toilettes.
- Messire !! Appela Viper le jeune valet du sir de Mortenant tandis qu'il rejoignait celui ci entrain de ce diriger dans la grande salle où allait ce jouer le procès de Sir Nayght. Messire je... Est il bien raisonnable que ce soit vous qui fassiez l'accusation ? Je veux dire, on va peut être ce mettre à soupçonner que...
Le sir Danlelac l'interrompis en stoppant sa marche.
- Tu as peur qu'il comprennent que j'essaye de faire de Nayght le bouc émissaire. Qu'ils découvrent que je suis l'instigateur de tout les complots possibles et imaginables. Sans parler du fait que mes flagorneries envers la reine se voient tellement que ça en est vulgaire et pire que le roi en y restant aveugle passe pour le dernier des idiots ? Non franchement mon serviteur aussi zélé qu'imaginatif tu te fais des idées sur l'intelligence feinte de tout les minables qui nous entourent. Et puis qui me suspecterait dit moi ?
- Euh.....Ne pu que répondre le zélé serviteur tandis qu'une dizaine de personnes qui passaient dans ce même couloir à ce moment là les regardent d'un aire choqué devant ce qu'avait dit à haute voix son sir qui pour sa part ne semblait pas s'en préoccuper plus que ça.
Quelques couloirs plus tard arrivé enfin à destination il fut accueillis devant la porte du tribunal par le mage royale qui pour l'occasion portait une chemise bleu et avait enlevé son chapeau de mage laissant apparaître une coiffure faisant penser à un hérisson fraîchement électrocuté.
Ah seigneur Danlelac ! Prêt pour faire justice et mettre à jour la vérité ? Appela gaiement le mage.
''Si tu savais ce que j'aimerais faire sortir en plein jour de ta poitrine illusionniste de foire.'' Pensa le sir chevalier avant d'offrir son plus beau sourire hypocrite à Squalloumane et de le saluer.
- Oui espérons que nous pourrons mettre en lumiere certains fait étranges de ces derniers jours avec ce procès.
- En effet...A dire vrai je soupçonne quelques complots ourdis par de sombres puissances. J'ai fait un rêve bizarre voyez vous cette nuit, il y avait une forêt en flammes et au centre ce qui ressemblait à une fée. Je dis ressemblait car elle était atrocement défigurée déjà qu'elle ne devait pas être une beauté à la base vous comprenez mieux mes doutes. Ses ailes étaient déchirées et elle même était maculée de sang et ahah....C'est idiot maintenant que j'y pense....
- Quoi donc ? Interrogea messire ''IL''.
- Et bien alors que son sang coulait de toute part et que ses yeux vident me regardaient ses mains pales tenait une pancarte et dessus il y avait marqué, avec son sang biensur, ''tu vas t'en prendre plein la tronche dans ce chapitre mais t'inquiete ça sera pas long''. Mais attendez il y a encore mieux...alala ça ne devait être que l'alcool finalement je ne devrais pas vous ennuyez avec ça....
- Roh allons y cher amis c'est tout à fait amusant.
- Bon d'accord, et là alors que je m'approchait pour demander à cette fée pourquoi ce message elle fut brusquement tirée en arrière par un démon en armure noire avec d'énormes cornes et des yeux rouge effrayant qui ce mit à l'invectivée en lui promettant qu'il allait la finir pour de bon cette fois...alala. Maintenant j'en ris mais sur le coup j'ai vraiment cru à un signe envoyé par les dieux.
- AHAHAHAHA, non mon amis il m'arrive de faire ce genre de rêves aussi. Je pencherais plus pour des messages de votre inconscient trahissant des désirs contre natures que je peut vous pardonnez. Aahahaha.... Bien l'audience ne va pas tarder je vous souhaites bonne chance messire. Et sur un clin d'oeil de petit vieux pervers le sir chevalier s'en alla talonné par son valet.
Enfin le procès commença, le roi avait prit place sur son trône au centre de la pièce tandis que de chaque côtés les deux avocats commis d'offices préparaient leur plaidoiries.
- Mes sujets ! Tonna le roi pour marquer le début de la sceance. Aujourd'hui nous sommes réunis pour juger sir Nayghte de Beast chevalier de moi même accusé de meurtre et de ne pas répondre à ses èmepés. Seigneur Mortneant, s'il vous plait.
- Merci votre majesté. Répondit le seigneur Danlelac en ce levant en faisant des effets de manche. Messieurs les jury le seigneur De Beast pendant un soir de beuverie et d'excès en tout genre à froidement assassiné le sir Du crabe après que celui ci est refusé ses avances dans une ruelle, de rage celui ci tua la victime qui tentait de s'enfuir malgré ses 15 litres d'alcools ingurgités. Après enquête il semblerait même que celui ci entretenait une liaison trouble avec une secte végétarienne et avait des amis chez...
C'est à ce moment là que Squalloumane ce leva d'un bon et tandis tout droit son majeur avant de crier d'une voix de stentor :
- OBJECTION !
Mais n'eus pas l'aire d'avoir été entendu. En effet imperturbable le chevalier du roi continuait.
- ...Ainsi qu'un fils caché Elt'anyien impliqué dans un trafic de nains qui....
- Il n'y a aucune preuve ! OBJECTION ! Continua le mage qui commençait à avoir mal au bras à rester dans la même position.
- ....Sans oublié sa triste habitude de manger la pizza avec des couverts.....
- OBJECTION ! Retenta le magicien. C'est pas un crime que je sache......
- .....Biensur je demanderais la clémence de la coure pour ces crimes pour qu'elle puisse ce pencher sur le principal chef d'accusation....
- Ah on y vient....
- D'avoir pactisé avec de sombres puissances avec le mage royale ici présent dans un but clairement pas net peut être en lien avec cette fée retrouvée morte dans la forêt du roi !
- Objection ! Cria ledit mage en frappant la petite table où il avait mis ses affaires et en regardant l'autre serviteur du roi de façon colérique. Messire Danlac fait un étalage d'accusations sans fondements et sans preuves ! J'ajouterais qu'il à l'aire dans savoir beaucoup sur l'accusé. Qu'il nous disent comment il à eu tout ces renseignements !
Le seigneur Danlelac toisa un moment son accusateur puis dans une parodie de révérence il prit la parole.
Mais tout simplement en perquisitionnant dans la chambre de l'accusé...et dans la votre.
- Quoi ?! Souffla Squalloumane dont le visage devint soudain blanc
- Eh oui par ordre de notre majesté j'ai eu la difficile mission d'enquêter sur ces tristes fait. Et poussé par une sombre intuition j'ai été voir du côté de vos appartements que vous aviez omis de fermer.
- Mais mes sortilèges de protections étaient...
Le seigneur IL ce permit un haussement d'épaule dédaigneux.
- Pas vu.
- Mais...
Imperturbable mais avec un sourire de prédateur devant sa proie il continua...
- ...C'est donc là que j'ai trouvé les preuves accablante qui attestent du fondement de mes accusations. Ce fut alors au seigneur IL de pointer du doigt de façon rageuse le magicien. Avouez Squalloumane ! Avouez vos ténébreuses forfaitures !
- Mais mais....je...OBJECTION VOTRE MAJESTÉ !
C'est alors que la salle entière remarqua l'insoupçonnable...Le roi c'était endormis et se bavait allègrement dessus.
- AH ! Je reconnais votre perfidie mage sournois, ainsi vous vous êtes abaissé par votre à endormir notre monarque pour garantir vos ténébreux agissements ! Mais la justice éclair le chemin de la vérité et je vois, oui je vois messire que je vais vous...
- Mmmh ? Hein ? Quoi c'est l'heure de manger ? Intervint le monarque d'une voix pâteuse en se réveillant.
- Ma magie sournoise vous disiez messire chevalier ?
Rah il pouvait pas pioncer encore un peu. Eu le temps de penser le seigneur Danlelac avant que les portes du tribunal s'ouvrent laissant passer le sir Aranvale tenant attaché devant lui Vyper le serviteur de l'accusateur du tribunal.
Pardonnez cet interruption votre majesté mais après quelque recherche pour démêler cette étrange affaire j'ai découvert enfin la vérité. Dis le seigneur Haulapin arrivé à hauteur du roi sans prêter attention au regard de haine du préposé à l'accusation.
- Dites nous donc cela messire. Demanda sa majesté enfin à peu prêt réveillé.
Le sir Aranvale donna alors un violent coup à son prisonnier.
- Parle chien !
Alors avec une aversion visible le seïde baissa la tête et se mit à parler.
Alors que le palais de Bretagnie subit une vague d'accident des plus douteuses (note du meurtrier : hey un meurtre par definition c'est pas propre non plus hein !) Sa majesté le roi organise un tournois pour faire surtout plaisir à dame son épouse. Hélas cette seine competition sportive ( bon un peu violente ok) trouve une fin incroyable et dramatique avec l'arrestation de Sir Nayte chevalier du Roy pour meurtre et trafique de nains de jardin. Celui ci clamant son innocence en demande à un procès équitable. Après recherche de la définition de ce mot le Roy Artifur donna son accord et decida d'arbitrer ce procès. Et pendant ce temps le MAAAAL tisse sa toile en feuilletant une revue démonique au titre évocateur de ''Demonlord mag : être une ordure, mais une ordure classe'' dans ses toilettes.
- Messire !! Appela Viper le jeune valet du sir de Mortenant tandis qu'il rejoignait celui ci entrain de ce diriger dans la grande salle où allait ce jouer le procès de Sir Nayght. Messire je... Est il bien raisonnable que ce soit vous qui fassiez l'accusation ? Je veux dire, on va peut être ce mettre à soupçonner que...
Le sir Danlelac l'interrompis en stoppant sa marche.
- Tu as peur qu'il comprennent que j'essaye de faire de Nayght le bouc émissaire. Qu'ils découvrent que je suis l'instigateur de tout les complots possibles et imaginables. Sans parler du fait que mes flagorneries envers la reine se voient tellement que ça en est vulgaire et pire que le roi en y restant aveugle passe pour le dernier des idiots ? Non franchement mon serviteur aussi zélé qu'imaginatif tu te fais des idées sur l'intelligence feinte de tout les minables qui nous entourent. Et puis qui me suspecterait dit moi ?
- Euh.....Ne pu que répondre le zélé serviteur tandis qu'une dizaine de personnes qui passaient dans ce même couloir à ce moment là les regardent d'un aire choqué devant ce qu'avait dit à haute voix son sir qui pour sa part ne semblait pas s'en préoccuper plus que ça.
Quelques couloirs plus tard arrivé enfin à destination il fut accueillis devant la porte du tribunal par le mage royale qui pour l'occasion portait une chemise bleu et avait enlevé son chapeau de mage laissant apparaître une coiffure faisant penser à un hérisson fraîchement électrocuté.
Ah seigneur Danlelac ! Prêt pour faire justice et mettre à jour la vérité ? Appela gaiement le mage.
''Si tu savais ce que j'aimerais faire sortir en plein jour de ta poitrine illusionniste de foire.'' Pensa le sir chevalier avant d'offrir son plus beau sourire hypocrite à Squalloumane et de le saluer.
- Oui espérons que nous pourrons mettre en lumiere certains fait étranges de ces derniers jours avec ce procès.
- En effet...A dire vrai je soupçonne quelques complots ourdis par de sombres puissances. J'ai fait un rêve bizarre voyez vous cette nuit, il y avait une forêt en flammes et au centre ce qui ressemblait à une fée. Je dis ressemblait car elle était atrocement défigurée déjà qu'elle ne devait pas être une beauté à la base vous comprenez mieux mes doutes. Ses ailes étaient déchirées et elle même était maculée de sang et ahah....C'est idiot maintenant que j'y pense....
- Quoi donc ? Interrogea messire ''IL''.
- Et bien alors que son sang coulait de toute part et que ses yeux vident me regardaient ses mains pales tenait une pancarte et dessus il y avait marqué, avec son sang biensur, ''tu vas t'en prendre plein la tronche dans ce chapitre mais t'inquiete ça sera pas long''. Mais attendez il y a encore mieux...alala ça ne devait être que l'alcool finalement je ne devrais pas vous ennuyez avec ça....
- Roh allons y cher amis c'est tout à fait amusant.
- Bon d'accord, et là alors que je m'approchait pour demander à cette fée pourquoi ce message elle fut brusquement tirée en arrière par un démon en armure noire avec d'énormes cornes et des yeux rouge effrayant qui ce mit à l'invectivée en lui promettant qu'il allait la finir pour de bon cette fois...alala. Maintenant j'en ris mais sur le coup j'ai vraiment cru à un signe envoyé par les dieux.
- AHAHAHAHA, non mon amis il m'arrive de faire ce genre de rêves aussi. Je pencherais plus pour des messages de votre inconscient trahissant des désirs contre natures que je peut vous pardonnez. Aahahaha.... Bien l'audience ne va pas tarder je vous souhaites bonne chance messire. Et sur un clin d'oeil de petit vieux pervers le sir chevalier s'en alla talonné par son valet.
Enfin le procès commença, le roi avait prit place sur son trône au centre de la pièce tandis que de chaque côtés les deux avocats commis d'offices préparaient leur plaidoiries.
- Mes sujets ! Tonna le roi pour marquer le début de la sceance. Aujourd'hui nous sommes réunis pour juger sir Nayghte de Beast chevalier de moi même accusé de meurtre et de ne pas répondre à ses èmepés. Seigneur Mortneant, s'il vous plait.
- Merci votre majesté. Répondit le seigneur Danlelac en ce levant en faisant des effets de manche. Messieurs les jury le seigneur De Beast pendant un soir de beuverie et d'excès en tout genre à froidement assassiné le sir Du crabe après que celui ci est refusé ses avances dans une ruelle, de rage celui ci tua la victime qui tentait de s'enfuir malgré ses 15 litres d'alcools ingurgités. Après enquête il semblerait même que celui ci entretenait une liaison trouble avec une secte végétarienne et avait des amis chez...
C'est à ce moment là que Squalloumane ce leva d'un bon et tandis tout droit son majeur avant de crier d'une voix de stentor :
- OBJECTION !
Mais n'eus pas l'aire d'avoir été entendu. En effet imperturbable le chevalier du roi continuait.
- ...Ainsi qu'un fils caché Elt'anyien impliqué dans un trafic de nains qui....
- Il n'y a aucune preuve ! OBJECTION ! Continua le mage qui commençait à avoir mal au bras à rester dans la même position.
- ....Sans oublié sa triste habitude de manger la pizza avec des couverts.....
- OBJECTION ! Retenta le magicien. C'est pas un crime que je sache......
- .....Biensur je demanderais la clémence de la coure pour ces crimes pour qu'elle puisse ce pencher sur le principal chef d'accusation....
- Ah on y vient....
- D'avoir pactisé avec de sombres puissances avec le mage royale ici présent dans un but clairement pas net peut être en lien avec cette fée retrouvée morte dans la forêt du roi !
- Objection ! Cria ledit mage en frappant la petite table où il avait mis ses affaires et en regardant l'autre serviteur du roi de façon colérique. Messire Danlac fait un étalage d'accusations sans fondements et sans preuves ! J'ajouterais qu'il à l'aire dans savoir beaucoup sur l'accusé. Qu'il nous disent comment il à eu tout ces renseignements !
Le seigneur Danlelac toisa un moment son accusateur puis dans une parodie de révérence il prit la parole.
Mais tout simplement en perquisitionnant dans la chambre de l'accusé...et dans la votre.
- Quoi ?! Souffla Squalloumane dont le visage devint soudain blanc
- Eh oui par ordre de notre majesté j'ai eu la difficile mission d'enquêter sur ces tristes fait. Et poussé par une sombre intuition j'ai été voir du côté de vos appartements que vous aviez omis de fermer.
- Mais mes sortilèges de protections étaient...
Le seigneur IL ce permit un haussement d'épaule dédaigneux.
- Pas vu.
- Mais...
Imperturbable mais avec un sourire de prédateur devant sa proie il continua...
- ...C'est donc là que j'ai trouvé les preuves accablante qui attestent du fondement de mes accusations. Ce fut alors au seigneur IL de pointer du doigt de façon rageuse le magicien. Avouez Squalloumane ! Avouez vos ténébreuses forfaitures !
- Mais mais....je...OBJECTION VOTRE MAJESTÉ !
C'est alors que la salle entière remarqua l'insoupçonnable...Le roi c'était endormis et se bavait allègrement dessus.
- AH ! Je reconnais votre perfidie mage sournois, ainsi vous vous êtes abaissé par votre à endormir notre monarque pour garantir vos ténébreux agissements ! Mais la justice éclair le chemin de la vérité et je vois, oui je vois messire que je vais vous...
- Mmmh ? Hein ? Quoi c'est l'heure de manger ? Intervint le monarque d'une voix pâteuse en se réveillant.
- Ma magie sournoise vous disiez messire chevalier ?
Rah il pouvait pas pioncer encore un peu. Eu le temps de penser le seigneur Danlelac avant que les portes du tribunal s'ouvrent laissant passer le sir Aranvale tenant attaché devant lui Vyper le serviteur de l'accusateur du tribunal.
Pardonnez cet interruption votre majesté mais après quelque recherche pour démêler cette étrange affaire j'ai découvert enfin la vérité. Dis le seigneur Haulapin arrivé à hauteur du roi sans prêter attention au regard de haine du préposé à l'accusation.
- Dites nous donc cela messire. Demanda sa majesté enfin à peu prêt réveillé.
Le sir Aranvale donna alors un violent coup à son prisonnier.
- Parle chien !
Alors avec une aversion visible le seïde baissa la tête et se mit à parler.
Dernière édition par le Sam 7 Juil - 16:57, édité 1 fois
Re: Cam'lautheu
- C'est le sir Danlelac qui a tout manigancé ouida, c'est lui qui a tué le sir Caravrogne. C'est lui qui ma fait mettre un maléfice dans la part de gateau de dame Karodoc. Il a même planifié le soulèvement du royaume et il voulait que je l'aide à tuer messire le mage royale avec des lapins piégés pour faire porter le chapeau au seigneur Haulapin. En fait il est cruel ouida mon roi moi je voulais pas faire du mal mais il ma forcé ! Il a tué mon p'pa et ma moman parce qu'ils étaient El'tanyen et a fait des choses pas disables à ma soeur puis il ma utilisé comme esclave pour ses besognes. Je pouvais pas m'enfuir parce qu'il fait de la magie noire et il avait dit que si je le trahissait mon sort serait pire que la mort et...
Il fut hélas coupé dans son discourt quand le seigneur Danlelac dégaina un poignard et l'envoya ce ficher dans la gorge du malheureux.
- Messire voyons ! Il n'avait même pas finit ! S'exclama le roi Artifur visiblement sous le choc.
- Traître j'en étais sur ! Vocifera le sir Aranvale en dégainant son épée.
- Mwahahahahahaha vous aurez mis le temps ! Explosa le chevalier félon qui affichait maintenant un masque de joie perverse et un regard de pure malveillance. Arch ! Soit yé souis découvert mais il en faudra plus pour m'arrêter si prêt du but ! Muhahahahahahaha Fou zauriez dut faire plous atteinzione au signe royale pétit z'enchanteur cette frauliene ailée à faillit tout faire échouer eine vous prévenant mais votre stoupidité fut d'eine grand secour.
- Tu montres ton vrai visage démon impie ! Répliqua Squalloumane avant de sortir son baton de mage.
- Da ! .....Quoique là l'accent c'est parce que je trouvais que ça en rajoutait à l'aspect dramatique. Mais sinon oui je suis bien le diabolique félon méchant vilain qui manipulait tout le monde dans l'ombre tout au long de cette fanfic. Bon je dirais pas que ce fut dur mais j'admets vous m'aurez pas aidés non plus.
- Alors depuis le début..Vous n'étiez qu'un traître ! ..Vous...Vous n'avez donc jamais été mon amis ? Gémit le roi.
- Amis ? D'un simple mortel incapable de voir le monde autrement qu'au travers d'un bienheureux brouillard de niaiserie et de bon sentiment horripilant ? Ton innocence serait presque drôle . Pff pathétique, je sais pas quoi j'arrive du jour au lendemain alors qu'on t'annonce que tu es de corvée de quête divine et tu ne te rends pas compte que je suis le gros salopard qui va essayé de t'occire par derrière ? Non pardon mais même moi j'en revenais pas avec quel facilité j'ai pu vous embobinez mon petit roitelet et pourtant avec ma grosse armure noire et mes manières de maniaque psychopathe on peut pas dire que je l'ai joué subtilement..Mais bon je parle je parle alors que j'ai plus urgent à faire.
Disant ces derniers mots le seigneur IL sortis son épée de son fourreau et se dirigea vers le seigneur Aranvale qui c'était mis en position d'attaque.
C'est alors que soudain prenant son courage à deux mains le mage royale s'interposa.
- Inutile que vous risquiez votre vie messire chevalier, je m'occupe de le renvoyer dans la fange infernal qui la vue naître !
Disant ces mots ses yeux rencontrairent ceux du traître. Il sentait sa résolution vacillé devant tant de haine et de volonté de destruction qui émanait d'un seul homme, mais il savait qu'il était trop tard maintenant.
- Vous ne passerez pas !!!!!
- C'est toujours le même refrain avec les magiciens. Bon il faut bien qu'un figurant se sacrifie inutilement. La lame du sir Morneant prit alors une teinte rouge vif luminescente. Bon tu préfère comment ? Boyaux dehors ou boyaux dedans ?
- Vous....ne passerez...PAS ! Hurla finalement l'enchanteur en frappant le sol de son baton provoquant une puissante lumière blanche.
...Le temps s'arrêta.
...Tout aurait pu finir à ce moment là......
.....Et le monde reprendre un court normal avec ses joies, ses peines, ses petits lapins forniquant dans les hautes herbes......
...Libre de ce mal impie qui tenta de détruire le fragile équilibre de la nature et les fougères aussi.....
.....Si seulement le sort du mage avait eu un autre effet que d'éblouir tout le monde dans la salle pendant quelques secondes et un trou dans le parquet à l'endroit où le baton avait frappé.....
....Et si seulement ledit mage n'avait pas été seulement niveau 5....
- Bon je peut le trouer ayait ? J'ai des crampes la à force de tenir la pose.
Narrateur : - Heins ? Ah pardon. Oui oui vas y.
- Merci.
Or donc le ténébreux chevalier leva son épée pour achever le brave Squalloumane quand celui ci par désespoir jeta un jet de feux qui rata sa cible de 10 mètres pour carboniser les spectateurs de la scene qui c'étaient réfugiés à l'autre bout de la pièce.
- Jolis ! Dit le seigneur IL avec étonnement. Même moi j'aurais pas fait mieux.
- Non !! Qu'ai je fait !? NOOOOOOOOOON !!! Pleura chaudement Squalloumane.
- Un beau carnage.
- NOOOOOOOOOOOOOON !
- Sisi. Et profitant du fait que son ennemis avait baissé sa garde le seigneur Danlelac le chargea et l'embrocha avec son épée dont il fit tourner la lame une fois bien plantée dans le ventre de feu le mage royale.
- N.... Ahargllle....Garguouilla t il avant de rendre l'âme tandis que l'arme de son assassin ce retournait dans la plaie qu'elle avait faite déchaînant une véritable rivière de sang.
- Mon roi ! Ce mit soudain à crier le seigneur Aranvale. Quittez cet endroit je me charge de le retenir ! Allez....Puis il ce retourna vers l'endroit où ce tenait sa majesté le roi il y avait encore quelques instants. Artifur roi de Bretagnie avait déjà fuit.
Il fut hélas coupé dans son discourt quand le seigneur Danlelac dégaina un poignard et l'envoya ce ficher dans la gorge du malheureux.
- Messire voyons ! Il n'avait même pas finit ! S'exclama le roi Artifur visiblement sous le choc.
- Traître j'en étais sur ! Vocifera le sir Aranvale en dégainant son épée.
- Mwahahahahahaha vous aurez mis le temps ! Explosa le chevalier félon qui affichait maintenant un masque de joie perverse et un regard de pure malveillance. Arch ! Soit yé souis découvert mais il en faudra plus pour m'arrêter si prêt du but ! Muhahahahahahaha Fou zauriez dut faire plous atteinzione au signe royale pétit z'enchanteur cette frauliene ailée à faillit tout faire échouer eine vous prévenant mais votre stoupidité fut d'eine grand secour.
- Tu montres ton vrai visage démon impie ! Répliqua Squalloumane avant de sortir son baton de mage.
- Da ! .....Quoique là l'accent c'est parce que je trouvais que ça en rajoutait à l'aspect dramatique. Mais sinon oui je suis bien le diabolique félon méchant vilain qui manipulait tout le monde dans l'ombre tout au long de cette fanfic. Bon je dirais pas que ce fut dur mais j'admets vous m'aurez pas aidés non plus.
- Alors depuis le début..Vous n'étiez qu'un traître ! ..Vous...Vous n'avez donc jamais été mon amis ? Gémit le roi.
- Amis ? D'un simple mortel incapable de voir le monde autrement qu'au travers d'un bienheureux brouillard de niaiserie et de bon sentiment horripilant ? Ton innocence serait presque drôle . Pff pathétique, je sais pas quoi j'arrive du jour au lendemain alors qu'on t'annonce que tu es de corvée de quête divine et tu ne te rends pas compte que je suis le gros salopard qui va essayé de t'occire par derrière ? Non pardon mais même moi j'en revenais pas avec quel facilité j'ai pu vous embobinez mon petit roitelet et pourtant avec ma grosse armure noire et mes manières de maniaque psychopathe on peut pas dire que je l'ai joué subtilement..Mais bon je parle je parle alors que j'ai plus urgent à faire.
Disant ces derniers mots le seigneur IL sortis son épée de son fourreau et se dirigea vers le seigneur Aranvale qui c'était mis en position d'attaque.
C'est alors que soudain prenant son courage à deux mains le mage royale s'interposa.
- Inutile que vous risquiez votre vie messire chevalier, je m'occupe de le renvoyer dans la fange infernal qui la vue naître !
Disant ces mots ses yeux rencontrairent ceux du traître. Il sentait sa résolution vacillé devant tant de haine et de volonté de destruction qui émanait d'un seul homme, mais il savait qu'il était trop tard maintenant.
- Vous ne passerez pas !!!!!
- C'est toujours le même refrain avec les magiciens. Bon il faut bien qu'un figurant se sacrifie inutilement. La lame du sir Morneant prit alors une teinte rouge vif luminescente. Bon tu préfère comment ? Boyaux dehors ou boyaux dedans ?
- Vous....ne passerez...PAS ! Hurla finalement l'enchanteur en frappant le sol de son baton provoquant une puissante lumière blanche.
...Le temps s'arrêta.
...Tout aurait pu finir à ce moment là......
.....Et le monde reprendre un court normal avec ses joies, ses peines, ses petits lapins forniquant dans les hautes herbes......
...Libre de ce mal impie qui tenta de détruire le fragile équilibre de la nature et les fougères aussi.....
.....Si seulement le sort du mage avait eu un autre effet que d'éblouir tout le monde dans la salle pendant quelques secondes et un trou dans le parquet à l'endroit où le baton avait frappé.....
....Et si seulement ledit mage n'avait pas été seulement niveau 5....
- Bon je peut le trouer ayait ? J'ai des crampes la à force de tenir la pose.
Narrateur : - Heins ? Ah pardon. Oui oui vas y.
- Merci.
Or donc le ténébreux chevalier leva son épée pour achever le brave Squalloumane quand celui ci par désespoir jeta un jet de feux qui rata sa cible de 10 mètres pour carboniser les spectateurs de la scene qui c'étaient réfugiés à l'autre bout de la pièce.
- Jolis ! Dit le seigneur IL avec étonnement. Même moi j'aurais pas fait mieux.
- Non !! Qu'ai je fait !? NOOOOOOOOOON !!! Pleura chaudement Squalloumane.
- Un beau carnage.
- NOOOOOOOOOOOOOON !
- Sisi. Et profitant du fait que son ennemis avait baissé sa garde le seigneur Danlelac le chargea et l'embrocha avec son épée dont il fit tourner la lame une fois bien plantée dans le ventre de feu le mage royale.
- N.... Ahargllle....Garguouilla t il avant de rendre l'âme tandis que l'arme de son assassin ce retournait dans la plaie qu'elle avait faite déchaînant une véritable rivière de sang.
- Mon roi ! Ce mit soudain à crier le seigneur Aranvale. Quittez cet endroit je me charge de le retenir ! Allez....Puis il ce retourna vers l'endroit où ce tenait sa majesté le roi il y avait encore quelques instants. Artifur roi de Bretagnie avait déjà fuit.
Re: Cam'lautheu
Pendant ce temps......
Il fuyait, poursuivit par les visions du carnage que ses yeux s'efforçaient d'oublier. Artifur courrait pour sa vie. Les cris s'étaient tuent, seul restait les bruits de sa respiration haletante et le sang qui battait à ses tempes. Tout esprit logique, tout raisonnement, toute forme d'intelligence humaine l'avait désertée pour faire place à un instinct primaire, animal. Un violent sentiment de peur lié à un besoin égoïste mais humain d'auto conservation le faisait fuir.
Qu'importe qu'il est abandonné ceux qui avaient confiance en lui, qu'importe que son royaume fut menacé, il devait survivre, il devait fuir ! La pensée soudaine de son sort si il restait là fit reflué de la bile dans sa gorge alors qu'il grimpait les escaliers menant à sa chambre. Prendre des affaires, une épée, s'enfuir loin, très loin...Tel était les seuls pensées cohérentes que le roi arrivait à avoir tandis qu'il franchissait la porte de ses appartements en regardant par dessus son épaule à chaque pas.
Puis une voix surgit du dehors de son champs de vision manqua de lui faire perdre le contrôle de sa vessie.
- Quel est donc tout ce tintouin mon époux ?
- Je...ouffe...ahem ma mie..Nous....Nous devons partir ! VITE ! I...il va tous nous tuer ! Il nous a trahis il veut mon royaume....Il faut qu'on parte hâtez vous ! Nous...Je sais nous allons allez chez mon cousin et.....
- Vous comptez donc le laissez prendre votre place et tuer vos gens ? Vous me décevez mon maris je ne vous pensais pas si lâche. Rétorqua la reine qui pour l'heure prenait son petit déjeuner en regardant le ciel où volait ce qui ressemblait à des corbeaux sûrement pas nourris aux graines végétal.
- Mieux vos être un lâche vivant qu'un héros mort ma chère. Répondit le monarque au bord de l'hystérie. Vite mais qu'est ce que vous faites ! Dépêchez vous il va s'en prendre à nous quand il aura tué tout le monde ! Vite !
C'est alors que la reine consentie seulement à ce retourner, elle jeta un regard fugace à son maris tremblant puis se resservit du thé sans plus lui prêter attention.
- Vous me lassez mon chère Artifur. Soupira dame sa femme après une minute qui fut atrocement longue pour son maris. Je crois qu'il est temps que vous preniez un peu de repos. Puis remettant en place une mèche de cheveux elle prit une petite clochette sur la table et la fit teinter.
- Ma mie il n'est plus tant il faut qu...Soudain le roi Artifur fut paralysé par ce sentiment de frayeur qui l'avait prit tout à l'heure. Des pas ce firent entendrent puis la voix qui ce manifesta ensuite fit pour de bon céder la royale vessie.
- Ma reine à sonnée ?
- Oui messire. Répondit la reine entre deux gorgées. Soyez gentil de finir ce à quoi je vous utilise je voudrais continuer mon petit déjeuner en paix.
- Aux ordres de sa grâce. Répondit le sir ''Danlelac'' de Mortneant avant de sortir son épée d'un geste décidé.
- Ma...dame....Renifla Artifur alors que son visage était soudain inondé de larmes et d'une compréhension de la vérité cruel des évènements. Je....n..nous...aimions....
La reine soupira encore et posant sa tasse ce tourna vers son maris.
- Mais voyons mon cher l'amour n'a rien avoir la dedans, ce régicide est strictement politique.
- Amen. Ajouta le chevalier renégat avant de donner un violent coup de pieds dans le dos du sir qui tomba à plat ventre pour enfin lui enfoncer son arme entre les omoplates.
- Vous aurez mis le temps. Fit remarquer sa majesté la reine quand tout fut finit.
- Désolé votre grandeur il ma fallu un peu tailler ma route et le sir Aranvale à réussit à m'échapper , je pense qu'il est partis chercher du renfort.
- Bien, occupez vous en seigneur Mortneant, ne laissez aucun survivant...et.....prenez soin qu'en même d'épargner dame Haulapin, j'ai l'intention de la réconforter quand la triste nouvelle de la mort de son maris lui arrivera...huhuhuhu....ahem....pardon....allez y !
- Cela sera fait ma reine. Dit le seigneur Danlelac dans un soupir chuintant avant de partir en fredonnant the imperial march.
Pendant ce temps le dernier chevalier encore en état de combattre n'avait pas chommé, malgré le chaos provoqué par la trahison du seigneur IL il avait réussit à réunir le corp de garde du palais et l'avait envoyé sauver la reine, trouver le chevalier félon et sauver le personnel du château qui n'avait pas encore fuit, puis bravement il alla trouver sa femme pour un adieux touchant et larmoyant et mettre une armure parce que sauver le monde habillé comme un dieu de la classe ça le fait mais la soie encaisse mal les coups de hallebarde. Ainsi préparé il retourna à la poursuite de l'ennemie de son royaume qui pour sa part finissait les derniers gardes royaux et entreprenait de repeindre les murs du palais avec leurs sang.
Le sir de Haulapin finit par le trouver dans la coure du château entrain de finir les derniers gardes restants... Qu'il laissa evidement ce faire massacrer desfois qu'ils réussissent à lui mâcher le travail. Mais ce fut sans succès, puis, alors que le dernier soldat rendait l'âme. Tel un héros sortis de quelques conte de fée dark pour adulte le seigneur de Haulapin s'avança pour son combat final. Le seigneur De Mortneant a son approche ce contenta d'un geste de détruire un mur et de sortir à l'extérieur du palais avant d'inviter son adversaire à le suivre.
10 minutes de marche plus tard les deux chevaliers convinrent qu'ils s'étaient assez éloignés pour pouvoir s'entre massacrer sans être dérangé par des badauds ou autres curieux.
- Cela sera l'endroit parfait pour votre défaite messire. Cracha Aranvale. maintenant faites moi fasse en homme et finissons là.
Il fuyait, poursuivit par les visions du carnage que ses yeux s'efforçaient d'oublier. Artifur courrait pour sa vie. Les cris s'étaient tuent, seul restait les bruits de sa respiration haletante et le sang qui battait à ses tempes. Tout esprit logique, tout raisonnement, toute forme d'intelligence humaine l'avait désertée pour faire place à un instinct primaire, animal. Un violent sentiment de peur lié à un besoin égoïste mais humain d'auto conservation le faisait fuir.
Qu'importe qu'il est abandonné ceux qui avaient confiance en lui, qu'importe que son royaume fut menacé, il devait survivre, il devait fuir ! La pensée soudaine de son sort si il restait là fit reflué de la bile dans sa gorge alors qu'il grimpait les escaliers menant à sa chambre. Prendre des affaires, une épée, s'enfuir loin, très loin...Tel était les seuls pensées cohérentes que le roi arrivait à avoir tandis qu'il franchissait la porte de ses appartements en regardant par dessus son épaule à chaque pas.
Puis une voix surgit du dehors de son champs de vision manqua de lui faire perdre le contrôle de sa vessie.
- Quel est donc tout ce tintouin mon époux ?
- Je...ouffe...ahem ma mie..Nous....Nous devons partir ! VITE ! I...il va tous nous tuer ! Il nous a trahis il veut mon royaume....Il faut qu'on parte hâtez vous ! Nous...Je sais nous allons allez chez mon cousin et.....
- Vous comptez donc le laissez prendre votre place et tuer vos gens ? Vous me décevez mon maris je ne vous pensais pas si lâche. Rétorqua la reine qui pour l'heure prenait son petit déjeuner en regardant le ciel où volait ce qui ressemblait à des corbeaux sûrement pas nourris aux graines végétal.
- Mieux vos être un lâche vivant qu'un héros mort ma chère. Répondit le monarque au bord de l'hystérie. Vite mais qu'est ce que vous faites ! Dépêchez vous il va s'en prendre à nous quand il aura tué tout le monde ! Vite !
C'est alors que la reine consentie seulement à ce retourner, elle jeta un regard fugace à son maris tremblant puis se resservit du thé sans plus lui prêter attention.
- Vous me lassez mon chère Artifur. Soupira dame sa femme après une minute qui fut atrocement longue pour son maris. Je crois qu'il est temps que vous preniez un peu de repos. Puis remettant en place une mèche de cheveux elle prit une petite clochette sur la table et la fit teinter.
- Ma mie il n'est plus tant il faut qu...Soudain le roi Artifur fut paralysé par ce sentiment de frayeur qui l'avait prit tout à l'heure. Des pas ce firent entendrent puis la voix qui ce manifesta ensuite fit pour de bon céder la royale vessie.
- Ma reine à sonnée ?
- Oui messire. Répondit la reine entre deux gorgées. Soyez gentil de finir ce à quoi je vous utilise je voudrais continuer mon petit déjeuner en paix.
- Aux ordres de sa grâce. Répondit le sir ''Danlelac'' de Mortneant avant de sortir son épée d'un geste décidé.
- Ma...dame....Renifla Artifur alors que son visage était soudain inondé de larmes et d'une compréhension de la vérité cruel des évènements. Je....n..nous...aimions....
La reine soupira encore et posant sa tasse ce tourna vers son maris.
- Mais voyons mon cher l'amour n'a rien avoir la dedans, ce régicide est strictement politique.
- Amen. Ajouta le chevalier renégat avant de donner un violent coup de pieds dans le dos du sir qui tomba à plat ventre pour enfin lui enfoncer son arme entre les omoplates.
- Vous aurez mis le temps. Fit remarquer sa majesté la reine quand tout fut finit.
- Désolé votre grandeur il ma fallu un peu tailler ma route et le sir Aranvale à réussit à m'échapper , je pense qu'il est partis chercher du renfort.
- Bien, occupez vous en seigneur Mortneant, ne laissez aucun survivant...et.....prenez soin qu'en même d'épargner dame Haulapin, j'ai l'intention de la réconforter quand la triste nouvelle de la mort de son maris lui arrivera...huhuhuhu....ahem....pardon....allez y !
- Cela sera fait ma reine. Dit le seigneur Danlelac dans un soupir chuintant avant de partir en fredonnant the imperial march.
Pendant ce temps le dernier chevalier encore en état de combattre n'avait pas chommé, malgré le chaos provoqué par la trahison du seigneur IL il avait réussit à réunir le corp de garde du palais et l'avait envoyé sauver la reine, trouver le chevalier félon et sauver le personnel du château qui n'avait pas encore fuit, puis bravement il alla trouver sa femme pour un adieux touchant et larmoyant et mettre une armure parce que sauver le monde habillé comme un dieu de la classe ça le fait mais la soie encaisse mal les coups de hallebarde. Ainsi préparé il retourna à la poursuite de l'ennemie de son royaume qui pour sa part finissait les derniers gardes royaux et entreprenait de repeindre les murs du palais avec leurs sang.
Le sir de Haulapin finit par le trouver dans la coure du château entrain de finir les derniers gardes restants... Qu'il laissa evidement ce faire massacrer desfois qu'ils réussissent à lui mâcher le travail. Mais ce fut sans succès, puis, alors que le dernier soldat rendait l'âme. Tel un héros sortis de quelques conte de fée dark pour adulte le seigneur de Haulapin s'avança pour son combat final. Le seigneur De Mortneant a son approche ce contenta d'un geste de détruire un mur et de sortir à l'extérieur du palais avant d'inviter son adversaire à le suivre.
10 minutes de marche plus tard les deux chevaliers convinrent qu'ils s'étaient assez éloignés pour pouvoir s'entre massacrer sans être dérangé par des badauds ou autres curieux.
- Cela sera l'endroit parfait pour votre défaite messire. Cracha Aranvale. maintenant faites moi fasse en homme et finissons là.
Dernière édition par le Sam 7 Juil - 6:21, édité 1 fois
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